Résumé : Dans Arsace et Isménie, que Montesquieu rédige vingt ans après les Lettres persanes, rien ne se passe tout à fait comme on s’y attendrait a priori. S’y alignent notamment un épisode sentimental très critique pour son genre, un Miroir des Princes qui enjoint surtout de ne jamais violenter le cours ordinaire des choses, et un curieux Bon usage du suicide.