Résumé : Cet article confirme que la source de l’imprimé du Florimont édité chez Olivier Arnoullet en 1529 est la version d’Aimon de Varennes et non la mise en prose du fonds Wavrin. Une comparaison entre ce manuscrit bourguignon (Paris, BnF, ms. fr. 12566) et l’imprimé montre qu’on n’y retrouve pas la conquête par Florimont de l’ensemble du monde méditerranéen, spécifique de la mise en prose bourguignonne. Reste un récit qui vise à l’efficacité et qui se veut d’abord un roman d’aventures chevaleresques.