Résumé : Cet exposé examine si le choix d’une méthode d’édition a une incidence sur les descriptions linguistiques qui figurent dans les introductions et sur la normalisation linguistique du texte édité ; la différence entre le comportement des éditions interventionnistes et des éditions conservatrices ne semble pas très marquée. Au passage, il en vient à critiquer la notion de « langue du copiste » lorsqu’elle est conçue statiquement : une philologie diachronique a besoin d’introductions dynamiques.