Résumé : Après une contextualisation historique opposant les approches française et italienne, la question même de la possibilité de distinguer la langue de l’auteur de la langue des copistes est posée à partir de l’opposition entre « substance » et « forme », actuellement en cours de réexamen. L’auteur plaide pour une extension de la surface au-delà des phénomènes grapho-phonétiques et montre à partir d’exemples que la surface touche les domaines syntaxique et lexical.