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Classiques Garnier

Table des matières

703

Table des matières

Abréviations   7

Préface   9

Introduction   13

Première partie

Des hommes

Ladministration des travaux publics du Languedoc   29

Une des plus vastes provinces du royaume   29

La genèse de ladministration des travaux publics
du Languedoc   34

Le personnel administratif   37

Les syndics généraux   38

Les commissaires des travaux publics   40

Les syndics et commissaires diocésains   40

Le système des préciputs   41

Les relations avec lintendant   43

Le personnel technique    44

1712-1740 Le premier directeur des ouvrages
de la province   44

1740-1790 Lorganisation hiérarchique   49

Les sous-inspecteurs et inspecteurs   51

Les directeurs   53

Dautres pays détats : autres lieux, autres règles   56

704

La Bretagne    57

La Bourgogne    59

1791 : La fusion avec le corps des Ponts et Chaussées    61

Les hommes des travaux publics en Languedoc    65

Questions de vocabulaire    65

Des directeurs, des inspecteurs, des ingénieurs    65

Des ingénieurs et des architectes    67

Un partage des rôles emblématique du xviiie siècle    70

Des ingénieurs qui ne sont pas architectes    72

Questions de recensement     76

Les directeurs des travaux publics :
des astronomes aux ingénieurs    80

La Société royale des sciences de Montpellier    80

Des experts dutilité publique    84

Un vivier de compétences
au service des États de Languedoc    88

Une première génération : des directeurs académiciens    89

Une deuxième génération :
des inspecteurs promus directeurs    91

Une troisième génération :
des enrôlements exclusivement familiaux    92

La pérennité dun groupe uni     93

Un nombre considérable dinspecteurs     98

Tant dans les sénéchaussées…    98

… que dans les diocèses   102

Des Irlandais en Languedoc   103

Des ingénieurs des Ponts et Chaussées en Languedoc   106

Des ingénieurs du Génie en Languedoc   111

Comment devient-on ingénieur en Languedoc ?   115

De longue date, un enseignement scientifique
de haut niveau   116

Des collèges jésuites parmi les plus importants
du royaume   116

Des Jésuites ingénieurs et architectes   117

705

Sorèze, une réputation internationale   120

La formation des directeurs : les relations interpersonnelles   121

À lOuest : familles et académies   121

À lEst : familles dabord   126

Les inspecteurs, des parcours diversifiés
et des points communs   129

Un recrutement local   129

Des milieux sociaux diversifiés   131

Le rôle des Académies toulousaines   133

Un apprentissage au contact des anciens   137

Sur le modèle des ingénieurs du roi   139

Les ressources de formation   141

Les bibliothèques des collèges   142

La bibliothèque de lAcadémie des sciences,
inscriptions et belles-lettres   143

La bibliothèque de François et Bertrand Garipuy   144

La bibliothèque de Joseph Marie
et Charles François de Saget   146

Lesquisse dun portrait intellectuel   150

La vie quotidienne   155

Les rémunérations : une mise en place progressive   156

Trois directeurs bien rétribués   157

Les inspecteurs : des appointements homogènes   159

Les pensions à la discrétion des États   162

Des rémunérations en apparence élevées…   163

… mais peu lucratives   164

Lenvironnement de travail   168

Les locaux   168

Les instruments   170

Les déplacements   170

Les documents de travail et les « modelles »   171

Le goût des arts   176

Une moralité scrupuleuse   179

Conclusion   183

706

Deuxième partie

Des savoirs

Introduction à la deuxième partie   189

Rassembler et diffuser les savoirs

Les Académies des sciences   191

La Société des sciences de Montpellier, les sciences de la vie   193

LAcadémie des sciences de Toulouse, les sciences physiques   200

Une approche scientifique du toisé   201

Les prémices du calcul de structures   203

Réduire en art les pratiques   205

Des concours peu fructueux   209

Lexemple dune ambition scientifique sans lendemain   211

Un franc-tireur   214

Lemprise de la tradition   215

Voyager « pour acquérir des connaissances »   219

1768, Garipuy en Hollande   220

1785 Des voyageurs sur les côtes
de Méditerranée et de locéan   222

1786, un ingénieur en Hollande   233

Former des ingénieurs

Les écoles des ponts et chaussées du Languedoc   253

La source : les écoles de dessin   254

Le dessin, base de la formation technique   255

Le besoin dune formation spécifique
aux travaux publics   257

Un antécédent : lécole du génie du Canal du Midi   259

Lessor dune initiative privée   262

Des écoles de dessin à celles des ponts et chaussées   265

707

Lécole du génie pour les ponts et chaussées de Toulouse   268

Le projet de Mondran   268

Un règlement qui reprend le projet de Mondran   271

Les cours du corps professoral toulousain :
lenseignement par lexemple   275

Lécole des ponts et chaussées de Montpellier   282

Un fonctionnement réglé dans les moindres détails   283

Des ressources pédagogiques de qualité   287

Un plan de cours soigneusement coordonné    291

Un paysage national   293

Autre pays détats, autre modèle : la Bretagne   293

Montpellier, Toulouse, Paris :
des écoles sœurs, mais pas jumelles   295

Les écoles provinciales, un élan interrompu   298

Les relations province-Paris   298

Des élèves lancés    300

À Toulouse, un enseignement technique
de qualité qui nest pas remplacé   302

Conclusion   307

Troisième partie

Des constructions

Introduction à la troisième partie   311

Une déférence envers le passé   317

Persistance de traditions romaines ?   317

Fierté dun patrimoine   321

La construction des ponts, un processus mal maîtrisé   325

De la décision de construire à la passation dun contrat   325

Des décisions longuement mûries   326

Le devis, clé de voûte du processus constructif   331

708

Un travail solitaire   332

Une ébauche timide de standardisation   335

Un support de communication essentiel   336

Des annexes contractuelles   337

Quoi faire mais pas comment faire   340

Ladjudication   343

Les commissaires organisent les enchères publiques   344

Des contrats sources de litiges   347

Les péripéties du contrat du pont de Lavaur   348

Des difficultés révélatrices   352

Lexécution des travaux et le suivi des chantiers   354

Commissaires et inspecteurs,
interlocuteurs quotidiens des entrepreneurs   355

Le directeur ne conduit pas le chantier   356

Le directeur et linspecteur agréent le personnel   357

Lentrepreneur garde son indépendance   358

Les ingénieurs des Ponts et Chaussées
dirigent le travail et tiennent les délais   360

Des chantiers mouvementés   361

Des risques non maîtrisables   361

Des options techniques qui impliquent des difficultés   362

De nombreux changements en cours de construction   364

Dinnombrables litiges avec les entrepreneurs   365

Le cas emblématique de Lavaur   366

Des difficultés récurrentes   367

La remise en cause du contrat en bloc   368

Un cintre exceptionnel   369

Lentrepreneur conçoit le cintre   373

La résiliation du contrat   377

Le décintrement sopère sans difficulté   378

Le cintre comme révélateur   380

Chauvet dessine   380

Perronet commente   404

Des préoccupations esthétiques   409

Un certain archaïsme formel    409

709

Une ambition esthétique   411

Une simplification parfois nécessaire   416

Une collaboration prestigieuse   418

Des « ingénieurs-artistes »   419

Le projet comme idéal   421

Des États en marge de linnovation   421

Le projet comme grille danalyse   422

Ponts et Chaussées, la maîtrise rationnelle   424

Province de Bourgogne, le budget à tout prix   425

Province de Languedoc, lempirisme persistant   426

La puissance financière des États   428

Conclusion   431

Conclusion générale   433

Annexe

Dictionnaire biographique   439

Remerciements   635

Sources et Bibliographie   637

Index des noms   681

Index des lieux   687

Index des institutions   693

Index des matières   695