Résumé : Zola présente son esthétique comme virile, marquant ainsi une distance à l’égard du romanesque associé à un public féminin. Mais il lui faut investir cette répartition genrée en associant le sérieux scientifique considéré comme masculin à une réception plus démocratique des Rougon-Macquart. Zola déplace alors les attendus génériques pour ménager aussi une place à ses lectrices, quitte à finir par assumer pleinement le romanesque initialement contourné.