Résumé : Face à la propagation du terme de « mœurs » dans le discours littéraire, les critiques du xixe siècle ont tenté de retrouver dans le roman les catégories avant tout théâtrales de mœurs, d’intrigue et de caractère. Cette tripartition a son efficacité, mais il n’est guère possible d’en rester à une séparation franche de ces sous-genres romanesques ni à une périodisation stricte : ils représentent bien plutôt des constantes, plus ou moins accentuées, de tout roman.