Résumé : Cet article se propose d’analyser comment les dispositifs lumineux du metteur en scène Claude Régy, caractérisés par la prédominance de l’obscurité, fondent pour le spectateur une expérience singulière propre à faire entendre l’énigme d’écritures paradoxales, qui « écrivent l'effacement », selon la formule de Bernard Alazet.