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Classiques Garnier

Sources et ressemblances

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : Les Contens. Comédie
  • Pages : 145 à 168
  • Réimpression de l’édition de : 1993
  • Collection : Société des Textes Français Modernes, n° 125
  • Thème CLIL : 3436 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques
  • EAN : 9782406108641
  • ISBN : 978-2-406-10864-1
  • ISSN : 2777-7715
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-10864-1.p.0221
  • Éditeur : Société des Textes Français Modernes
  • Mise en ligne : 02/09/2020
  • Diffusion-distribution : Classiques Garnier
  • Langue : Français
221
SOURCES ET RESSEMBLANCES


Prologue (zo-S 8) Cf. Ler AbureZ, Prologue :... Dites moy

~er vostre ame, que pensez-vous qu'ilz vous demandent ? vous dy qu'ilz ne cherchent avoir autre chose de vous, que vostre bonne grace et qu'il vous plaise prendre la cognoissance de leurs engins; à ce que scachez qui l'a
gros, et qui l'a menu ; et que vous dissiez, cestuy me plaint, cestuy me desplaist :afin, pour le moins, que ceux qui ne vous agréront, puissent tourner leurs fantasies alieurs, et entendre à autre vocation... Au reste, mes Dames, je pense que vous avez la memoire si profonde que tout y entrera facilement sans grand-peine.
Cf. aussi le prologue de La Notte pour des Équivoques semblables.
(6o-t) Cf. Ler Erbabir, II, uI
Ha poltron, ce n'est pas pour toy

Que le four chauffe.
(99) Cf. Ler Erbabir, I, u :Qu'il en torche hardiment sa bouche.
(tIs-6) Cf. Ltr Erbabir, III, v
Or je prie à Dieu que ce soit
Pour le salut de tous les deux.

(143-5) Cf. Rabelais, II, 16 En moins de deux jours, il
sceut toutes les rues, ruelles et tavernes de Paris comme son Deur det.
(16z-q) Cf. 1! Marinaio, III, II :... gli voglio dar un sguardo cosi spaventoso et erribile ch'io vogliq ch'egli dira, b terra apriti e nascondeme, tanto sarà lo spavento ch'io gli metterb tra l'osa.
(I] -IHf)) Cf. Desportes, Ler Amours dt Diane, Ie7 livre, complainte (éd. Vtctor E. Gtaham p. 141)
222 t46 LES CONTENS
Quand je voy ces combats dressez pompeusement, A l'espée, à la hache, à la picque, à la lance, Las I (ce dy-je), qu'Amour me bat bien autrement I D'un mortel contre un dieu faible est la resistance.
(t85-r 89) Cf. La Sorella, III, vt Sappiati, che gli occhi
balevanti e altitonanti de vostra figlia han fatto piû effetto nel mio cuore che le bombarde e artigliarie ne' fianehi de baluardi :onde io, che prendo le città, castelli e campi, son preso e ligato dalle sue bellezze.
(233-235) Cf. L'Ale.r.randro, I, vt : Si vede ben che tu non sei ptatico ne la guerra.
Cf. aussi L'Olimpio, I, v : Tu sei poco pzattieo nelle guerre, perd non li conosci.
(242-247) Cf. L'Olimpia, I, v Io non conosco se non i popoli panettari, piscatori, tavernari e salcicciari che mi donano da mangiare :con questi prattico e fo le mie scaramuCce.
(269-270) Cf. Henri Estienne, Deux dialoguer, I, Zoé : a Et que diriez-vous si vous oyiez un tailleur, disant à celuy auquel il essaye quelque habillement (et principallement si c'est un pourpoint) Monsieur, test accousttement vous arme bien.
(z78-280) Cf, Le.r E.rbabit, II, n
Ha cousin I qu'il vous est aisé Cependant qu'estes en santé, De conseiller un tormenté I Mais si aviez à votre tour Espionné que c'est de l'amour Comme j'ay faict, je ne dy rien.
(Z9o-t) Cf. Ler E.rbabi.r, V, ttt : Je voy bien que tu veux gosser.
(;os-;t3) Cf. La Natte, II, tt Et di questo mi ramarico per la pietà ch'io ho della sua scontentezza.
(3t4-3tq) Cf. L'Olimpia, II, vt : Sappi che quando la vecchia manda a chiamare Olimpia da S erno, la voleva maritare con un certo capitano sciagurato.
(3t7-33o) Cf. La Cele.rtina (trad. Lavardin), Acte XVIII Je pourrais faire trois saulx qu'un blanc ne me tomberait de l'escarcelle :nul ne donne ce qu'il n'a. Je suis logé en une maison telle yue tu vois. Un tailloüer de bois roulerait par toute icelle, sans trouver où se heurter. Mes ustensiles
223 SOURCES ET RESSEMBLANCES t47
sont un pot de terre esbreché, une broche espointée. Le lict où je dors est armé par dessus de cercles de boucliers que j'ay rompuz aux combats la toile de mes matelas est toute de fine maille que mon espée a fait tomber à mes pieds és rencontres et dures batailles. J'ay un plein sac de cartes, et de dez pour oreiller. Et quand j'aurois envie de vous donner la collation, je n'ay rien pour enga- ger :fors cette meschante cappe que je porte, eneoze ent- elle toute hachée et pleine de coutellades.
Cf. aussi ci-dessous, le monologue de Niveler (Acte I, sc. v[, 483-492)•
(324-5) Cf. Menot, Ser~ronr, p. ;07 sic nostri abbates
de trois cuiaes.

(331-5) Cf. L'Olimpia, III, tv :Che il çappitan Trasilogo patir£ che gli nia farta cotanta ingiuria ? Ibid., II, v Dunque un romano arâ canto ardimento da farmi un simile inganno ?
(;;g-;65) Cf. Ler Erbabir, IV, II
Veu qu'encore qu'il soit tout près
Des nopces,, il ne peuh attendre
Sans sur la fournée entreprendre...
(;6;-4) Cf. •La Luce!!e, V, ut :Qui n'a qu'une heure de bien
en toute sa vie, il a cela tousjours sur et-tant-moins.

(;66-7) Cf. Ler Erbabir, II, tI
S'il ne tient que de la ravir,
Je hasarderay mon honneur.
(37f-38o) Cf. Ler Erbabir, II, tv
.. c'est que j'essayeray,
Ou par promesse, ou autrement
D'emprunter cet habillement
Qu'il porte, et je t'asseure bien
Que, s'il nous veult faire ce bien
Monsieur fera un bon message,
S'il veult jouer son personnage
Avecque moy premiZrement
Dessoubz ce faulx habillement
Je le mettray dans la chambrette
De Aladelon...

(40o-408) Cf. Let Erbabu, II, u
Jamais ne receutes que ppeeine
Poursuyvant vostre Madalêne.
Ores fasché, ores pensif,

224 14H LES CONTENS
Ores haeé, ores tardif,
Le jour mourant cinquante fois
Pour son amour, et toutefois
Si, vous regardant d'un bon mil
Elle nous monstroit quelque accueil,

Il estoit de peu de durée ;
La volonté mal asseuréc
Vous en monstroit assez l'issue...
(4i1-4) Cf. Les Ercollier.r, II, v : Un jour me dure mille ans;

tant il me tarde venir ces jeunes amoureux cueillir ensemble
le fruict de leurs amours. Mais que le seigneur Lattante
ne pense pas joyr de !a pucelle que premicrement, et en
ma presence, il ne luy promette l'espouser.
(448-So) Cf. I Contenu, V, u : Egli è pur vero, chc lo Amorc

e l'ira fanno piu d'ogni altra coca, apparir gli huomini
pazzi e stolti.
(46z-66) Cf. Ler Eabahi.r, I, rt
Fiez-vous hardiment en moy.
Ibid., IV, v
Si estes-vous ma seule garde ;
Et j'espere qu'en tel besoing
Comme il est, vous aurez le coing
De mon honneur et de ma vie...

... Je m'en repose
Du tout sur vous.
(481 et 497-f o4) Cf. L.a Notte, II, tIt : Argens fe tout, Cor-

nacchia. O ti dito the cosi alle giovane tome aile vecchie
piace l'oro, e chi crede altramente è Zucca serza vento,
egli pli ha mandato a donare vinti braccia di raso pavonazzo
per farci una veste, e vintiquattro di damasec, due collane
di valuta di vend ducati Puna, anella, l'altza egli gli pro-
mette per suo maritare quattrocento ducati in banco
Parti the questi siano partiti da lasciare, se egli fusse .piu
vecchio the melchisedech, piu puzzolente the un cesso,
pi~ brutto the un diavolo, queste cosc non havrebbon
forza di fado parer di vinticinyue anni, odoroso tome un
muschio, e bello corne un cherubino ?
(T 64-g(6) Cf. La Faret der trayt brus et denlx hermite.r (Retutil

géxéral des .rottie.r, éd. Picot, III, n~ zz), ve. zzq-3z
Quand nous sommes aulx bonnes villes,

Itious faisons des freres frapars ;
Mais aube champs droietz dem}> liepars

A poursuyvre SIles et femmes.
225 SOURCES ET RF,SSEMBLANCES 149
Cf. aussi La Farce de deux jeunes femmes qui coijfirent leurs

maris (Nouveau recueil de farter franFaises, éd. Picot et Nyrop), vv. 74-81
II y a un apoticaire,
Ainsi qu'on m'a dit à l'escart,
Qui se nomme maistre Frappant,
Qui dit tousjours en ses sermons
Que tousjours nous nous en allons

Traisner nos queues ça et la ;
Qu'a il affaire de cela ?
Par ma foy il a beau preschcr.
Cf, aussi le personnage dans la Farce dt !a femme qui fut

desrobie à .non mari (Recueil de farter jranFaises, éd. Cohen,
pp. 17o-18S).
{5 74-6) Cf. Menot, Sermons, p. I j j : Certe autant de testes, autant d'oppinions et autant d'oppinioris qu'il y a de
chansons.
{S89-S97) Cf. I_'Alessandro, III, n1 :... rra Lutte le belle parte the sono in voi e the m'hanno acceso de l'amor vostre, è stata la vostra honestà, e the io ve la turbasse mai, e le congiurassi contra, prima morirci... Io non moverô pur un dito, ne piu quà ne piu là, the voi medcsima non voliate.
(600-604) Cf. La Notty I, v :Tutti gli huomini sanno tutte le cose, perb consigliate, e specialmente con i vecchi,
the si suol dire the il diavolo c astuto perche è vecchio.
{615-617) Cf. Dialogo de !a Bella crean•~a (éd. Zonta), pp. Io

« Non sai the '1 Signore dite ne !a messa de la Madonna
` Aiuta il prossimo tua' ? »
{617-6zz} Cf. Mistere du Vir,1 Testament (éd. Rothschild),

I,zz:
Ur est nostte ange Lucifer
Tresbuché, luy et ses complices
Es abismes palus d'Enfer
Pour leurs faulx et ozgueilleux vices.
Voir aussi sur ce genre de sermon l'Apologie pour

Flirodote, II, chap. xxly et xxxu.
(6zz-;) Dans Bradamante de R. Garnier (ISSz}, Aymon qua-

lifie sa fille d'ingrate, et Béatrix lui reproche son ouhecui-
dance (v. gzS et Szq).
(F,z6-8) Cf. L.'Alessandro, III, 111 : Non sd quasi corne negar- vela.
(GS7-8} Cf. I! Pellegrino, III, rv Ho fatto in puisa ehe
226 If0 LES CONTENS
sta sera andarai in querra casa, e parlarai con la tua diva, ch'ella se ne contenta, e c'è tornato commodo che il padee ha detto non voler cenare in casa, tu n'andrai à un'hora à punto, e fischiarai che da la faute sua ti sarà
aperto l'uscio.
Cf. La Nottt, 1V, vt Corre a casa, e se non ci fusse cercalo altrove fin che tu lo ritrovi, e digli che alle ventidue hore sema un fallo al mondo, ei si ritrovi nella chiera di Santa Marina, ch'io gli voglio parlarc.
(7to-z) Cf. Rabelais, I, 4z «Car comment (disoit-il) pour- roy-je gouverner aultruy, qui moy-mesures gouverner ne sçaurois ? »
(7z4-f) Cf. Ler Esprits, III, tt Il ne m'avoir pas apereeu,
je toutneray la truye au foin.
(~f8-76o) Cf. Les E.rprlts, Prologue :Messieurs et Dames, vous nous ferez ceste faveur de vous tenir chacun en vos places, et de ne parler d'encherir le pain.
(76f-6) Cf. La Lucellt, II, n :J'en cognois desja une à qui vous donnez le martel en teste.
(766-7) Cf. Henri Estienne, Deux dialoguer, II, I f 3 « Je
congnoy l'humeur du personnage. »

(Sot-z) L'expression est un lieu commun. Cf. les exemples suivants. (I) Rabelais, Pantagruelrne prognosticatiox, Au liseur bénévole (ouvres complètes) Et tout le Tu auteur ay icy en peu de chapitres redigé. (z) I.e Morfondu, I, tt :Puisqu'il n'est point plus tard, le veux qu'en sachiez tout le tu auteur. (3) Ler Escolliers, V, n : Si veux-je sçavoir tout le tu auteur de cecy. Cf. aussi Picot et Nyrop, Nouveau recueil, p. I]I.
(8z1-z) Cf. Menot, Sermons, p. 444 ~ Heu, soror, non opus est ultra procedere, neque amplius manifestare ; scitis bene quid volo dicere et ubi iaceat punctus ; les petis enfaxs en vont d la moutarde.
(Sf I-z). Cf.' Les Esbahis, IV, rv
Marion, voicy le galant.
Voy-tu son ¢il estincellant ?
Le voy-tu gaillard ec dispose ?
Comme il sent desjà tout son rost ?
(879-881) Cf. Les Esbahis, I, ut
Qui est-ce qui parle si hault ?
C'est Anthoine, le serviteur
Du sire Josse, et tant meilleur.
227 SOURCES ET RESSEMBLANCES 151
Ores je luy pourray tirer
Ixs vers du nez, et l'attirer
De nostre part, s'il peuls faire...
Ha par ma foy, fin contre fin
Ne vault rien ~ faire doubleure.
Cf. aussi I.a Farce dt celuy qui se conft.rrt à sa vor.rine (Recueil dt farter franfai,rtr, éd, Cohen, p. Iq, vv. 584-86) Mal suis fortunez,
Vous m'avez du nez
Bien tirez les vers.

(884-7) Cf. Menot, Sermons, p. 367: Est una macquerella . que posuit multas puellas au me.rtrer, ad malum ; ibis, elle .r'en ira le Brant galot ad omnes diabolos.
Cf. aussi Dialogo de la bella creanZa (éd. Zonta, p. 7)
Margarita Oh, ben venga, madonna Raffaella ! N'è pur tempo the voi veniate a star un volta da me !Che n'é di voi ?
Raffaella : Peccati.e fatica, tome de le vecchie. Che vuoi the ne sia ?
Margarita : Sedete un poco qui da me. Come la fate ? Raffaella : Vecchia, povera piû the mai, col capo ne la fossa d'or' in ora.
(925-931) Cf. L.a Vefue, II, u1 : Or je suis de son pais, où je l'ay tousjours cogneu, sa femme et toute sa famille, d'autant que j'estois sa proche voisine ; mesure, par le moyen d'une sienne servante que je hantois, ils n'eussent sceu tourner un æuf que je n'en fusse advertie ; de mode que je sçavois plus de leurs affaires que des miennes propres,
(945-953) Cf. Dialogo de /a bclla crtarr.~a (p. 7)
Raffaella :... ma quel the mi duole è ch'io mi veggo piena di peccati, e ogni giorno ne fo piû.
Margarita : Oh I the diranno le altre, se voi, the Sète cale the io vi tengo una Santa, pensate di aver tanti pec- cati ?
(984-5) Cf. Lct Etbahit, I, n
.. et si j'ose
Vous bien avertir d'une chose,
Qu'ell' entend que c'est du message.
(993-8) Cf. Il Viluppo, I, I : Bella bellezza tu n'hai la tua parte,

ne t1 accade adoprar cosa alcuna, the la satura t'ha voluto
bene.
228 I f 2 LES CON7'ENS
(qq6-Io36) Pour Reynier (Origines du roman réaliste, p. 31t), ce passage, où Eustache et Françoise «opposent la fraî- cheur saine de Geneviefve aux charmes arrangés de coqquettes », montre encore l'influence directe de La Celertlna, car il rappelle « de très près le couplet de Calixte célébrant la grâce virginale de Mélibée ». Cf. le passage correspondant de la traduction de Lavandin (Acte VI) « Aucunes se pcllent les sourcils avec pincettes, font eer- taines meslanges de poix de cire, et mille autres vilanies pour s'oster le poil. Plusieurs cherchent les herbes dorées, racines, rameaux, et fleurs pour faire laissive avec laquelle leurs cheveux puissent devenir semblables aux siens outragent leur face avec diverses ordures, et onctions, avec eauës fortes, mixtures blanches, et rouges, que pour breveté je tais... Un peu d'eau sans plus, et un peigne d'yvoire luy suffisent pour devancer en gentillesse toutes celles qui sont icy bas. »Mais, pour le catalogue des fards et des ruses des courtisanes, on trouve plusieurs textes, tout aussi accessibles à Turnèbe, auxquels ressemble la tirade d'Eustache dans bien plus de ses détails.
Cf. par exemple La Courtisane repentie de Du Bellay, que l'on trouve justement publiée en appendice à la tra- duction de Lavandin
Adieu donc, fards, dont mon visage est pcingt,
Boetes, ou sont les couleurs de mon teinct,
Eaux et empoix, dont la face on déguise,
Croye, et Céruse, et Biaque de Venise.
Je prens de vous congé pour tout jamais,
Je ne veuix plus me peindre désormais,

Ains des icy abandonner l'usage
Du fard menteur, qui Baste le visage
De la beauté je me veuix contenter,
Que m'a voûlu nature présenter,
Et ne veuix plus, pour me faire plus belle,
Changer par art ma forme naturelle.
Plus de pincette et miroir je ne veuix
Adieu le soing de friser les cheveux,
Eaux et unguents par lesquels on efface
Taches, rougeurs et rousseurs de la face...

(Chamard, V, pp. r39-tqo, vv. 63-78).
Cf. aussi (r) I Contenti, II, u :... voglw cire, che non Li piacciono cosi quei visi imascarati cosi troppo effeminati, imbiaeati, parenti del' Bran turco sapete donne, sulima-
229 SOURCES ET RESSEMBLANCES Ifj
nati voglio dire, questo e quel donne mie care, che è cagione che non sete guardate in visa, che volete che gli huomini cerchino di che sapore è la biacca ? il sulimato 2 il verzino ? il bianco de l'ovo ? il bianco de pignuoli ? il talco calcinato ? l'arzento vivo congellato ? l'orina ? il solphore ?Pacqua di vite ? e mille altre case che l'am- bicate abbrusciate, distilate, e sotterate, per imascararvi, e finalmente per guastarvi insieme il visa, i denti e anco.
(z) Le Dialogo dt la bel/a crtartZa. Il fut traduit en français au moins deux fois avant 1 f 8 [ (Voir Brunet, Manuel, II, 667 et J. Baudrier, Bibliographie lyonnaise, III ([897), [88), et Turnèbe a sans doute connu celle de son ami François d'Amboise, qui parut à Lyon en 1; 77 (voir la bibliographie). Je ne cite pas celle-ci, que je n'ai pu consulter, mais l'impression de 158;
« Mais les fards qui ont espesseur et corps, sont tres
mal-seans et dommageables et les femmes qui sont
pplastrees, different peu d'un masque, principalement aux
Rambeaux, et quand par l'haleine de beaucoup de gens
elles sont eschauffees. D'avantage, ils corrompent l'aleine,
qui est ]a chose à quoy doit plus prendre garde une femme.
Car c'est grand'peine à un homme qqui prend plaisir d'ouyr
et de regarder une demoiselle, et de la baiser aucunefois,
selon que permet nostre coustume, qu'il luy faille tourner
la teste en arriere, ou endurer une puanteur. »

Le catalogue des fards se rencontre déjà dans le De medicamint faclei d'Ovide et on le retrouve souvent au Moyen Age et à l'époque de la Renaissance. Cf. par exemple le fabliau Ricbeut (éd. Lecompte, Romanic Review, IV (Iq[;), z61-;os) ; le De Ca.ribut virorum illuttrium de Boccace, chap. xvu1, « In mulieres » ; l'Arciprette de Talavera, II, chap. ;, « De coma las mugeres aman a dyestro e a synies- tro par la Bran cobdicia que tyenen » ; La Cele.rtina, Acte I ; La Emilia, I, vn1 ;les Ragionamenti de l'Arétin, IIQ partie, Ire journée. Pour une collection des recettes de beauté dont on se servait au xv[e siècle, voir Olinda Guerrini, Ricettario galante del principio de! recala XVI.
(Iooz-o6) Cf. Henri Estienne, Deux dialoguer, I, 176: « ... ce sont des cheveux (qui, le plus souvent, sont empzuntez) tirez sur un fer en demi cercle de chacun costé :lequel fer est eslevé haut sur leurs tempes et front : au milieu duquel il vient un peu en abbaissant... pareillement quelque gen-
230 z S 4 T.Es coxrsxs
tilhomme bien godronné, bien fraisé, bien frisé, ou fricoté,
bien crespillonné, bien passefillonné ».
(toso-5S) Cf. Gl' Ingiu.rti Sdegni, III, uT
Carlo :... vi so ben dir sella guarirà, havete una giovane

che ha poco pari...
Flavio :Che male è il suo ?
Carlo :Che credete che sia, una postema sono la poppa

dritta, per quanto m'ha detto una vostra vecchia, con cui
ella communica ogni suo secreto...
(ToB~-8g) Cf. Apologrt pour Hérodote, II, tg Je croy sans

faute que Dieu m'a envoyé son ange Raphaël, comme il fit à Thobie, .pour trouver un parfaict espoux à vostre fille.
(t T zz-z4) Cf. La Sorella, III, vT e volendo informarvi ehè sia, andate in Persia, e dimandath di me, che feci nella guerra fra turchi e persiani ;andate in Tartaria e diman- date al Gran Can.
(tTG8-8G) Cf. L'Alertandro, II, v
Cornelio .. quà furbetto.
Furbetto Signor.
Cornelio Vien da basso.
Furbetto Eccomi Signore.
Cornelio Va via, corri presto a casa d'Alessandro ;

vien quà ; doue vai ?
Furbetto : A casa d'Alessandro.
Cornelio Che vi farai ?
Furbetto Non, so, Signore.
Cornelio : O Bran forca, digli ch'io l'aspetto a desinar

meco, che mio padre non mangia in casa... Entriamo
in casa.
(ITg8-I2I0) Cf. La Vefve, II, vT Nous avions d'entrée
la fricassée, le poulet en potage, le bizet aux choux, la
caille sur l'assiette, et le gros coq dinde tout farcy de clous
de giroffle, et si tendre qu'il avoir les os plus douilletz
que la cosse d'une feuille de choix... Je vous laisse penser
comme j'ay galloppé des ,machoires ; j'en escrimois de
tous costez, de manière que j'ay finablement esté contraint
faire trève a~~c les viandes, tant mon menton estoit las
de branler.

(TZT8-z;) Cf. Lt.r Etbabit, III, Tt
Claude Ha Monsieur, c'est bien la plus belle Que vous puisez voir des deux yeux...
231 SOURCES E7 RESSEMBLANCES tf3
Le Gentilhomme .. Quelque demeurant

De chanoine, cela s'entend.
(tzz8y;) Cf. la Fasce de quatre femmer (Recuer! de farter fran-

fairer, éd. Cohen, n~ XLVI, v. 349-bot)
J'ay commis des peehés mains
Contre mon Dieu et par oultrage,

Faignant faire pellezinage,
Contrefaisant la devotte
Et d'aller jouer au village
Pour avoir la verte cotte...
Cf. aussi Menot, Sermonr, p. 3 t; je vous veulx bien advenir qu'elle se donne du bon temps.
Apologie pour Hérodott, II, 3z3 J'ajousteray seulement ce qu'on raconte de Nostre-Dame-de-Liesse c'est que les femmes qui ne peuvent avoir enfants, tirent à belles dens (au moins souloyent tirer) les cordes des cloches de son temple.
(tz35-;g) Cf. Ler Erbahrr, III, n
Le Gentilhomme Mais vien çà, dy, Claude à la voir
Quelle bague ?

Claude Il le fault sçavoir La veuë n'en coustera rien.
(tz47-48) Cf. la Fasce nouvtlle à rix perronnager (Recuer! de farter franFairer, éd. Cohen, n~ VII) dont l'un s'appelle Godin Fallot. Cf. aussi goud fallot, Rabelais, III, 47.
(t249-So) Cf. la Farce de !'ordre de mariage (Recueil de forcer
franFairer, éd. Cohen, no XXXI, v. 56-59)
Hee f ne vecy motz nouveaux ?
Pour neant je me rompu la teste
Curès d'oyseaux ! les motz sont beaux,

Mais encore suis-je plus beste.
(tzSt-S z) Cf. Menot, Sermonr, p. 36z : C'ertait unggror aillain gourmant, qui non curabat nisi de pansa sua ; comedebat delicatos morsus et cibos exquisitos, erat grossus infamis g~rlosus, !er frianr morreaulx et viander txqurrer, bibebat vinum preciosum et delicatum...
(tz33-f4) Cf. La Farct nouvtlle du patté (Recueil de far~er
franFairer, éd. Cohen, no XIX, v. t63-66)
Ha ! ventre bleu 1 c'est la plus fine
Macquerelle qui soit jusques à Romme.

232 156 LES CONTENS
(t;zz-z3) Cf. Ltr Erbabir, III, u
Pour cinquante livres d'ennui
On ne s'en vit jamais plus riche.
(r 3 5 0-5 t) Cf. ber Erbahir, V, ut
Mon maistre
A si bien l'amoureuse rage
Qu'il ne croit Dieu yue sur bon gage.
(t464-66) Cf. La Notte, V, vI Horsu ascondetevi tutti
quinci oltre, e allhor che io fard segno, siamogli adosso
ch'egli non ci fugga che guadagnaremo un buon beve-

raggio.
(t495) Cf. Menot, Sermonr, p. ;83 : On luy fait viraige de boys,

fit illi vultus ligneul.
(1496-97) Cf. Ler Erbahir, III, t
Qu'il n'y aura protenotaire
Ny courtizan, tant brave soit,
Qui ose regarder le toict
De mon logis sans beste vendre.
(t5t3-t4) Cf. Ler Erbahir, V, II
Car je l'ay veu sortir tantost
De chez vous, et, Baignant le hault
Il s'est sauvé diligemment.
(t5 39-40) Cf. La Farte joyeuse de mairtre Mrmrn (Ancien

Tbldtrt franfoir, II, i5 t)
Pour luy raprendre son langage,
Nous le mettrons en une cage
On y apprend bien les oyseaux
A parlez.
(x544) Cf. Menot, Sermonr, pp. 373 : Facitis pauperibus, pzo
habenda vines sua, sieur fecit Iezabel Naboth; quia facitis
eis credere quod comederunt unum vehiculum, une char-

rette jerrle.
(t 578-79) Cf. La Norte, V, x :Horsu non mi romper il capo.
Va pe'1 tuo camino, et fascia ch'anch'io vada pel mio.
(tbt 8-z3) Cf. l'Amourette du ze livre des Merlanger de Ronsard
(CEuvrer compliter, éd. Laumonier, STFM, t. X, pp. t zo-zt,

v. tg-z6)
Ne fuyez pas, maistresse, je voy bien
Au clin des yeux que vous le voulez bien,
Je vous cognois en voyant vostre mine
Que pour mourir de bouche ne diriez

233 SOURCES ET RESSEMBLANCES If%
Qu'on vous baisast, bien que le desiriez
Car toute fille, encor' qu'elle ait envye

Du jeu d'aymcr, desire cstre ravie.
Cf, aussi Ler Erbahir, II, rv
la tendrette
Ne sera du tout si mauvaise
Qu'ell' n'endure bien qu'on la baise
Ell' ne sera pas si farouche,
Que dessus le coing de sa couche
Elle ne soubticnne aisément
La peine d'un si doux tourment.
(t6;r) Cf. la Farte moralirée à quatre perronnager (Antiert théâtre JrarrFair, I, r 6 t)
Je fay veu à Dieu, voylà raige !
Est-il rien plus doulx et plus beau ?
Ilz s'entreleschent le morveau
Comme les chatz au moys de 1\1ay.
(tG29- 4) Cf. Ler Corrrvaux, I, rv : De ma nature, je ne me veux point vouër à une seule sainte, et quand je,trouve des chausses de mesures mon pourpoint, je les prens. Aussi la bonne sourys a-t-elle bas plus d'un trou à se retirer ? Ainsi par touts les Diables, faut-il faire, non point s'amusez, comme les amoureus de Quaresme, à faire l'Alquemie en amour et en tirer la quinte-essence, et qui se trouvent tousjours .apres avoir bien fantastiqué, les mains pleines de vent.
(t639-4;) Cf. L'Alerrandro, II, nt
Gostanzo, veechio : Orsù io voglio andar à dcsinare, e vb mangiar tartufi, macheroni, e carciofi, à turco Pasto,
(tGSS) Cf. Ler Corrrvaux, lII, vr Que nos maistres qui
ont fait la faute, en portent la folle enchere s'ils veulent.
(t665-76) Cf. Ler Aburex, III, vt

Gerard .. Et bien qu'y ti-cil, que dis-tu, Parquette,
que fait Ysabelle

Parquette Et que voulez-vous qu'elle fist la pauvre fille !Elle est toute jour à genoux en sa chapelle devant son petit autel à prier Dieu.
Gerard : Or benye soit-elle de Dieu ! J'ose bien dire, que j'ay la fille la plus honneste qui soit en ce monde. Je vous asseure que c'est le plus grand cas que jc vy oncques : et ne croy point qu'elle ne devienne en sainte quelque jour.
234 IS8 LES CONTENS
Parquette O que vous en dites bien la vérité ! Dieu en est tesmoing, selle ne jcusne pas toutes les bonnes veilles de l'année, et dit son scrviee, comme une petite Nonne.
Gérard :Elle ressemble en cela à la benoiste ame de sa mere.
Cf. aussi Les Corrivaux, III, t :Dieu me la veuille garder je semis bien marrie qu'elle eust mal, la pauvre fille, car oultre que je n'ay qu'elle d'enfant, je te puis bien dire, en son absence, yue c'est la plus honneste tille du monde elle n'est point mondaine, elle ne fait point parler d'elle comme un tas d'autres :elle ne hante point avec les jeunes hommes, comme je sçay qu'on dit de nos voisines :elle est tousjours en priere et en oraison :elle vit proprement en sainte.
(1674-76) Cf. Ler F_rba{ür, III, v
Je pry Dieu que ce mariage Se porte bien, et que j'en voye Sortir une aussi grande joye Qu'il fust avec contentement Encommancé premièrement.
(r68s et t7to) Cf. Le.r Corrivaux, IV, r :Mais le voicy desja avec son serviteur, il y aura bien tantost à crier :mais de yuoy me souciay-je ? A çux le débat.
(r69S-1734) Cf. La Donna contante, V, t et vt O infelicità grande di casa nostra, o vergogna del nostro parentado, da chi hai tu imparato traditora ? Non da me sciagurata, che sempre son vivuta col calzar del piombo, e non mi son mai ardita di alzare un' occhio per guardare un huomo in visu. Oimè che Bran ruina è questa ? O miserio Clotario, ehc ti vale con tanta prudcnza haver cetto la casa tua, se in un sol punto yuesta svergognata di nostra figliuola l'ha macchiata di cttcrna infamia ? Oimè con un nostro nimieo capitale, came se ci mancassero gl'huomini al mondo, yuesta dishonorata s'è ita à impaceiare. Ma alla Croce bencdetta, che in yuesto taro non voglio che ti vaglia errer mia figliuola, c quel ladrone assassino di Miltiade sara venuto a mangiare il cacio nclla frappa tome il topo.
(V, I)
Forse ehe'1 min semplice marito non mi dava ad intendere, ehc egli fosse prigione, e che stamani dovea andare a
235 SOURCES ET RESSEMBLANCES IS9
morire, per dax morte à noi è venuto questo ribaldo, poiche mi ha rubato la piu pretiosa gemma che fusse in casa. O figliuola ingrata, o figliuola traditora, questo è il merito delle fatiche, ch'io ho in te durato ? Questi sono gl'honesti costumi, che con tante vigilie l'ho inse- gnato ? Queste son le nozze, che con tanto disiderio io aspettava di ti fore ? Io mi lento scoppiare per lo dolore, e tutta infiammarmi per lo disio della vendetta contra à questo involatore d~I honore altrui. Io li ho serran immodo nel anticamera che non penso che à fretta sieno per potere uscire, e voglio andar volando à casa M. Armi- nio à trovar Clo.erio, che venga con esso meco à far
vendetta di questo assassino, e dore à quella svergognata
di Theodolinda, non voglio dir mia figliuola, il gastigo che
ella merito. (V, vr)
(t~oo-oz) Cf. La Donna co.rtante, V, vue : Io dito the erano abbracciati insieme, the li vidi per lo foro della Coppa del uscio, ove si mette la chiave.
Cf. L'r9le.rrandro, TV, t Come s'io ho veduto, the volendo io andar ne lo studiolo per non sb the miei biso- gni, viddi per ana fessura del muro the risponde ne la mia camera ; un' huomo molto strettamente con esso lei.
Cf, aussi Les Erbahi.r, IV, n
Je regardois par une fente
Qui est à l'huys de ma chambrette,

Où je l'ay veu sur la couchette
Avec ma fille Madalëne.
(t7n-z7) Cf. Le Morfondu, III, v
Lazare Il est vray, mais qui l'eust jamais cru ? Car, à la venir, il sembloit que ce fast la mesure devotion. Lambert Il n'est pire eau yue celle qui dort.
(t7t3-t6) Cf. Ler Corrivaux, I, r :... je croyois que vous feus- siez devenue une vraye Religieuse, une toute saincte, une droite Magdaleine.
(ryzo-zz) Cf. Let AbureZ, III, ne :C'est l'honneur qu'elle me Fait maintenant :malheureux yue je suis ! Ay-je eschapé tant de fortunes, pour voir ma maison tant destruite, ma fille devenue meschante, pour estre mis aux contes et chansons publicques ; pour jamais ne pouvoir plus hausser le front devant le monde, pour cstrc monstré
au doigt des petitz enfants, dcschassé du nombre de tous
bons vieillards, mis aux jeux de la Bazoche, reduit pour
236 Iô0 LES CON'CENS
exetnple aux fables des cent nc.uvclles, tenu sur les rcn};s aux caquets des aeouchées ?
Cf. Ler Corrivaux, IV, uI :Pensez que desja tout son cas se sçait par toute la ville. On en fera des comptes et chansons parmy Ics carrefours. On ne tiendra plus d'autres propos chez les accouchccs, que d'elle et de moy. Nous serons monstrees au doit d'un chacun.
Cf. aussi %a Luce!!e, IV, r : ivlais aussi à Dieu l'honneur de ma race :chacun me monstres au doigt. Je seray dechassé de toute bonne compagnie, joüé sur un theatre, et seray fait la fable du peuple, les disners et souppers d'un chacun.
(t746-47) Cf. Apologie pour Hérodote, II, 399:... il commença
à regarder son valet (qui estoit faict au badinage et au
proufit de la besace)...
(17G~-99) Cf. II Pellegrino, IV, 7
Ribecca Eccomi pronto ad ogni tuo piacer.

Fiore : Si, si, carotte.
Ribecca D'altro che di parole à te vorreile cacciar.

Ove ne va con questo cesto ? Cesto essere
vorrei, che pure il manico hors mi toccaresti.
Fiore : E all'hor vorrei che fosser le mie mani ambe rasoi. Ribecca Se questo fosse tu mi toccaresti force piu leggiermente che non pensi.
Fiore :Perche ?
Ribecca :Perche soffrir mai non potresti offender quella parte.
Fiore Taci, taci.
Ribecca Ah, rubalda, e vorrei ben sapere mcnar la lingua, che gli affanni miei ti fosser manifesti, e ch'io potessi Parti toccar con mano il mio martire. Che anr_or che sii del pianto altrui bramosa force ti caleria vederlo in me, cosi è egli grande e duro.
Fiore O queste sono delle tue ciancie.
Ribecca : Ohime, tu sei pur bella.
Fiore Egli è passato il tempo, che giurare l'havrei
potuto, non che darne fede alle parole altrui, ma adesso,
adesso so ben io ch'io non son bella, ne posso esser ch'io non mi sento à fede bene.
Ribecca : Hai tu force la febre ch'ogni mese viene aile donne. ?
Fiore : Se io ho di guai che venghino à te sol, tristo che sei.
237 SOURCES F.i' RESSEMBLANCES IÔI
Cf. aussi le dialogue du m@me genre entre Chrisoforo et Rustica (La Emilia, I, vII).
(1791-93) Cf. Le.r E.rbahit, II, III
Il l'envoira bien autre part

Traîner ses dandrilles.
(1814-15) Cf. II Pcllegrino, IV, VII
Ribecca E questo ver ?
Fiore :Non ti direi bllgia in simil caso.
(18z8-zg) Cf. L'Aler.randro, IV, II : IO non sb in ehe stanza di quella casa si sieno ne se io potrb farghel saper, d s'harà commodo di Bender per qualche finestra.
(1854-5 5) Cf. La Farce de,r amoureux qui out ler botiner Gaultier (Recueil de farces franFalrer, éd. Cohen, n~ IX, v. 354-58)
Il luy fait grant deul

Qu'il ne le scet, que mal feu farde, Mais non ppourtant il n'en a garde.
I1 auroit plustôst de la lune,
J'ay enseignes, moy, c'est pour une.

(1863-G4) Cf. Let Erbahir, I, II
Si donneray-je si bon ordre
A l'affaire, que pour le moins,
Nous vuiderons les plus grands poincts.

Cf. Ibid., III, v
Et je crois .qu'il n'y aura point[
De leur different qui ne soit

Vuidé présentement.
(Igz8-35) Cf. l'Apologie pour Hérodote, I, 8~ :... il reproche... aux marchands qui prestent de la marchandise, au lieu d'argent, contans cependant la marchandise pour deux fois autant qu'elle vaut.
(Ig35-4z) Cf. Henri Estienne, Deux dialoguer, I, 18z : «... je ne doute pas que madame ou mademoiselle, estant ainsi masquée et accompagnée d'autres masquées, ne puisse passer tout auprès de son mari, et se presenter devant ses yeux, sans pouvoir estrc par luy rec~gncue. »
(1935-44) Cf. L'Alertanara, IV, vI
Fagiuolo Guardati Capitano, tome colui di quella

cappa par' una donna, ha certe pulpe grosse, e và tom'
un' anetra ; gli é una donna eerto.
Capitano :Che credi ehe sia ? Debb' esser qualche put-

238 IG2 LES CONTENS
tana che va a spasso. O poveri coloro, che han cotai moglie a lato ; non possan' esser se non poltroni in cremesi.
(IqS 1-S x) Cf. L'Alet.randro, IV, v1 Ma ecco qua'1 Capitano, cuopriti ben il viso, che non ti conosca, e camina di buon paso.
Cf. aussi Les Erbahir, III, Iv
... cachez
Avec le pan de ceste cappe

Vostre visage.
(199x-94) Cf. Ler Eababi.r, II, II
... et si pensez

Qu'il y en a encore assez
Dedans Paris qui voudroient bien

Estre des vostres. Hé combien
Elles se sentiroient heureuses,
Si quelqques flammes amoureuses
Eschauffoient vostre liberté,
Faicte serve de leur beauté.

(zozo-zuo) Cf. La Cele.rtina (trad. Lavardiri, acte XVIII) Si mon espee disoit ce qu'elle sçait faire, elle n'auroit du temps assez pour parler. Qui peuple mieux les cimetieres ? Qui fait plus Baigner les chirurgiens de cette ville ? Qui taille plus de besongne aux armeuriers, et brise plus de fine maille que mon espee ? Qui rompt les boucliers Bareellonnois et fend les cabassets de Catalayud, sinon elle ? Les caquets de munition, elle les eouppe, et met en pieces, ne plus ne moins que Mellons. Vint ans y a, qu'elle me donne à disner. Par elle je suis redouté des hdmmes, et bien voulu des femmes, fors que de toy. Par elle mon aieul fut surnommé Centurion, par elle Centurion s'appel- loit mon pere, et par elle Centurion je me fais nommer... advise de quelle mort tu veux qu'il meure. Si je te monstre un registre où sont escrites sept cens soixante dixsept especes de morts, choisi laquelle tu voudrois, et je la luy donneray. Les morts que je donne à present, et que j'ay plus en main sont, coups de plat d'espee, ou de pommeau, sans sang :des revers fort dangereux. A quelques uns, du .poing seulement, je perce le corps d'outre en outre, comme un crible : Je fay larges ouvertures, je tire estoc- eades terribles, j'ay des coups mortels : et quelques jours, pour laisser reposer mon espee, je m'esbas à donner coups de baston... Je jure par la benoiste Letanie, qu'autant
239 SOURCES ET RESSEMBLANCES IGj
seroit possible à mon bras donner bastonnades sans mort, qu'au soleil de cesser son cours au ciel.
(zot7-z4) Cf. I Contents, I, v Io ho un mandritto ehe da tre huomini fa dui pezzi, un roverscio poi, ehe dalla spalla al fianco è facto a sesto, una stoccata poi, ehe porta seco il vade in pace ; servitevi di quai voletc di questi tre colpi.
Cf. aussi L'Olimpla, II, v : Al primo sfodrar della spada fatti inanzi con questo mandritto sul capo, con questo zoverscio aile temple, poi caricagli sopra con un piede inanzi.
(zo47-59) Cf. Il Marinaro, III, n
Melazza : Sai tu doue mc potrai ritrovare un' altra volta ? Furba E doue ?
Melazza In Armaria doue si vcndono i zacchi, e le corazzc, ehe ivi ho sempre facenda per coloro ehe eom- prano simile armatura, i quali prima chc le comprano vogliono ehe stiano salde a questo brazzo, sicuri poi ehe le possino stase meglio salde a' i colpi de archibusi e de moscheti.
(zo68-70) Cf. Il Marinaro, III, t : ... e oltre cib portarebbe ch'io a questo disgratiato, troncando od il capo od un bracçio, questo tal membro gli venisse a dar nel petto ehe gli farebbe quel fracasso, c quel danno, ehe Farebbe una colobrina, con tanta forza discarco io questo possente braccio.
(zo73-76) Cf. Les Jaloux, V, vt :Mais si une fois je luy fais essayer ceste-cy; plus tranchante que Flamberge ou Duren- dal, je le fendray jusques à l'estomach.
(zo8o-Sz) Cf. L'Ales.randro, III, rv :Benedetto sia '1 campo, al manco trà i soldati non accascan questi questionel)i di dol quattrini arm' arme, cancar venga a le lettere.
(z t t t-t 7) Cf. 11 Pellegrrno, II, z
Spavento Ho qucsta spada ancor vergine é puro di

sangue di poltron.
Finocchio \ia non di mano.
Spavento Chc parli tu di mano ?
Finocchio 11 torno a dire ch'ogniun [semai devria

della tua mano.
(zr76-zzoj) Cf. Les Corrirans, IV, at
Benard : Ce m'aist-Dieu, c'est Dame Jacqueline à qui

240 Iû.} LES CONTENS
j'ay envoyé mon fils, ou mes yeux mc trompent. Je veux parler à elle. Dieu vous gard', Dame Jacqueline, vous soyez la bien trouvée. Comment vous portez-vous ? Que fait mon fils Filadelfe ? Ne me connoissez-vous plus ? Je suis...
Jacqueline Hé, Dicu vous Bard' Seigneur Benard. Hé vous voicy donc tout à poinct : je ne demandois pas mieux pour vous dire à tout le moins injure. Or à la mal'heure doncq soyez-vous venu, beau sire, qui m'avez envoyé un si meschant fils, que la mallemort vous puisse casser les os, et les jambes à tous deux !... Je voudroy que vostre fils se fust rompu le col, quand premier il mit le pied ceans.
Benard 1\lais que vous a-il fait, mon fils ?
Jacqueline :Qu'il m'a fait, mercy Dieu ! Je voudroy qu'il fust au gibet, et vous aussi qui me' l'avez envoyé... Mais venez çà, meschant et affronteur, m'avez-vous envoyé vostre fils pour me ruiner ? Je ne sçay qui me tient que presentcment je ne vous... meschant trompeur que vous
estes.
Benard :~lais vinez çà, Dame Jacqueline, qui vous meut de me dire injures, à cause de mon fils ? De yuoy vous plaignez-vous de luy ? Puis-je mais de yuclque chose ? Telles injures sont mal-seantes en une telle personne que vous, et plus encor en mon endroit.
Jacqueline Encore auray-jc u>rt de me plaindre,
infatue.

Benard : Quc ne me dictes-vous donc yue c'est ? Jacqueline : C'l'St que vostre fils a déshonoré ma mai-
son pour le bon traictcment que jc luy ay fait. Benard :Comment cela ?
Jacqueline : Il a violé ma fille, puis qu'il fautt que je le die.
Benard :Violé ! Est-il possible ! Ce n'est yu'un jeune garçon que luy.
(ztgq-zzoo) Cf. Les E.rbahit, IV, tv
Josse :Qui dit cela ?
Gérard Moy, qui l'ay véu.
(zzt7-t q) Cf. L'Ale.rsand•~, V, t Qucste cosc Vineentio
importan troppo, dos , ne va l'honore.
(zz;o-;z) Cf. La Larce!'e, IV, t :Car ils s.~nt mariez desja et ce que Dieu a conjoint, l'homme nc• le peut séparer.
241 SOURCP:S ET RESSEMBLANCES IÛf
(zz39-44) Cf. L'Alerrandro, V; 1 : Almen li contentassi, poi che Cornelio e Lucilla s'amano insieme, ch'egli l'havessi per moglie, che già sb che tu vedi, che per nobilità non te ne hai da distorrc, per riechezza poi quanti partiti tro- uerai più aecomodati, ehe sia Cornelio.
(zz8o-88) Cf. La Celertina (trad. Lavardin, Acte XXI) Rien n'est plus misérable que le nom de pere : estre pere apporte beaucoup de peines, infinies craintes et sollici- tudes. Et si quelqu'ignorant maintient qu'avoir enfans c'est belle chose, il ne sent pas son malheur, et au milieu de son infor±une est bien fortuné. Car s'ils sont bons, ils donnent beaucoup de maux aux povres peres, qui de peur de les perdre, sont en perpetuel esmoy : et s'ils sont autres, c'est un tourment pire que !a mort.
Cf. aussi Ler Corrir~aux, IV, iv Hé Dieu ! Dieu de Paradis, que feray-je ? que diray-je ? de quel cossé me tourneray-je ? Tout ainsi que de toute personne je suis delaissé, au cas pareil toute consolation, tout espoir, tout confort me dclaisse. Ay-je eschappé tant de fortunes, tant de poils de guerres, tant de maleneontres, pour me voir destruit à jamais, et mon fils devenu mescbant ?Qu'est-ee de la perte des biens temporels, d'une petite fille perdue à ;\lets par les guerres, de la mort de ses pareras, et de la perte de ses amys, au pris de cecy ! O mauvais fils, bourreau de ma vie et meurtrier de ma renommée ! t'avoy-je envoyé en ceste ville pour y faire telles meschancetez ? tilaudit soit le jour, l'heure, et le moment que je t'ay jamais mis au monde ! O que cecy deust bien apprendre tous hommes maintenant à ne souhaiter point tant d'avoir enfans, et combien qu'en leur jeune age ils donnent grande esperanee d'eux, il ne fault rien aujourd'huy pour les corrompre.
(z;z9) Cf. Ivfenot, .S'ermonr, p. 346 Sed in fine veniez et
dabit. ei magnum icti~m, ung gror horion super caput, quando
minet ad eum mortem inter dentes.

Cf. Ibid., p. 444 : O, soror, si pater adhuc civeret, qui tantum vos amabat et audiret ista que per orbem agitantur de vobis, cette vour !ui mettriér la mort entre Itr dent.
(z;66-67) Cf. ~fenot, Sermonr, p. 80 : Ecce let gallanr, quando veniunt ad seducendum filiam, dicunt simplicem forni- cationem non esse Deo displiccnrem, quia solutus eum
soluta nemini vidctur iniuriarn facere, quia intervenir
consensus amboeum et quod est peccatum naturale et quod Dcus non irascitur indc.
242 IGG LES CONTENS
(z39S-97) Cf. la Farce de celuy qur re conjeue (Reiueil de jarcer

jranfairer, éd. Cohen, n~ II, v. 577-80)
Vous y avez très bien chassé
En tout, ma fille hault et bas,
Et avez fait voz choux bien gras
Avecques elle, en malle santé.

(zSSz-63) Cf. L'Alerrandro, V, u
Gostanzo Vincentio, perdonami s'io per colpa tua

t'ho detto qualchc parola manco chc d'amico. La impor-
tanza de la cosa me lo facessa dire...
Gostanzo : Chi è quello scclerato, ch'cra dentro in camera con mia figliuola ?
Ruzza .. in camera di Lucilla, cra sola con lei la Brigida del Capitano vestita da huomo.
(z58q-26oz) Cf. Apologie pour Hérodote, I, 171, sur la pratique du maquerellage aux églises.
(z78o-83) Cf. la chanson du IVe livre des Anraurr de Ronsard (~rrvrer complèter, éd. Laumonier, STFM, t. IV, p. r74,
v. 19-z4)
Si tost que je vy ta beaulté,
Je me sentis naistre un desir

D'assubjetir ma loyaulté
Soubz l'empire de torr plaisir,
Et des ee jour l'amoureux trait
Au ccEur m'engrava ton pourtrait.
Cf. les variantes dè cette image, éd. rit., t. IV, p. 7,

v. II-t4; P• 75> v 5-~ ~ P• 88, v. z-; ; t. X, p. 88, v. 9-ro;
t. XII, p, z; z, v. 5 3-5 G.
(z787-95) Cf. l'élégie du IIIQ livre des Nouveller poérier de

Ronsard, éd. cit., t. XII, pp, z48-qq, v. 6;-70
Je resemble à celuy qui trop avare enserre
Son plus riche tresor au plus creux de la terre

Il a beau s'en aller en, pays estranger,
Jamais d'affection il ne sauroit changer,
Ny son col du lien jamais il ne dctache
Car son tueur est toujours où son thresor sc cache.

(z800-og) Cf. La Notte, V, vuI Occhi mici siate ingordi a pigliarvi di quel dolce lumc the si soavemente este de suoi : e voi orccchie mie statc attente, ne vi lasciate perder parola the formi quella dolcissima botta, e the risuoni quella angelica vote.
243 SOURCES ET RESSEMBLANCES Iô]
(z8o7-to) Cf. Il Marinais, II, v : Faccia egli la S. V. che con- tenta son io havendovi presente.
(z81I-t 5) Cf. Lo Ipocrito, II, II Tosto che ella si è tirata
dentro, il timoré solito mi ha rapprescntata la mis speranza
ne la fantasia simile a la lute che fa la candela che sta per
ispegnersi.

(z816-z7) Cf. Il Marinaio, II, v
Hannibale Ma se questo è io dcsidero intrarvi senza offensione nessuna ne gli occhi, e starvi sempre acciochc sempre siate contenta, della vista di colui che vive sola- mente della memoria delle bellezze, delle gracie, c delle dolci manioc vostre.
Cornelietta : Signor mio voi havetc un poco saporoso cibo, se delle mie bellezze vi pasciete, ma sc havesti detto de l'amor ch'io vi porto, certamente io havrei ben detto che del maggior che fossi stato al mondo vi sareste cibato. Io son colei a cui si puo credere uns simil cosa, come quella ch' ama il piu bello, il piu accorto, e il piu leggiadro amante che si [roui, c cosi fuss' io siçura d'esser redamata con uguale ardore.
(z8z8-z9) Cf. L'Alet.randro, III, nI : Io sb ben che in me non è bellezza che vaglia molto..., ma io db questo à la cortesia che vi fa dir cosi.
(z835-S z) Cf. Il Marivaio, II, v : Signora, cerca il redamarvi io dito the voi molto piu sieurs dovete vivere de l'amor mio, the io del vostro :perche non solamente havete parte in voi the possono tirate gli huomini ad amarvi, ma si bene sforzare le piu crude fiere, l'altra voi sapete quanto obligo io tengo con esso voi, ma per ragione, io come ne posso star sicuro non havendo in me parte the degna sia de l'affection vostra ? e non havendo ancora fatto cosa per _voi che vi strings ad amarmi ? Ancora ch'io ne viva certissimo, e per la gentilezza vostra, e per l'animo grande ch'io tengo di servirvi in ogni occasione the mi s'appresenti, e in ogni cosa the vi degnarete coman- darmi.
(z888) Cf. par exemple pour ce lieu commun (t) L'Olim ia, III, Iv :Che il capitan Trasigolo patirâ the gli sia farta cotants ingiuria ? (2) Ler E.rbahi.r, V, t :Est-ce raison que j'endure telle bravade ? (;) Let Jaloux, V, vI :Que j'en- durasse une telle bravade
(z888-gz) Cf. L'Olimpia, II, v Dunque un romano arâ
244 IûH LES CONTENS
canto aidemento da farmi un simile inganno... c vogliono con questo inganno tormi Olimpia mi esposa ?
(zgo3-o5) L'image des fourmis se rencontre déjà chez Plaute. Cf. Curculio (éd. Alfred Ernout, v. 576) :... nisi me virga redditur iam ego te faciam ut hic formicac frustillaten differant.
Cf. aussi Ler Jaloux, V, iv :Non parce que jc les vèux faire hacher menu comme chair de pasté.
(zgo6) Cf. Rabelais, I, 33 (éd. Boulenger, p. Iz3) O ! si vous me y faictes vostre lieutenant, je tueroys un pignè pour un mercier !
(3oz5) Cf. L'Apologie pour Hérodote, I, z94 «comme la coustume de falsifier les métaux est ancienne, aussi est
ancien le moyen d'csprouver la falsification et parti-
culièrement de l'or, par la pierre de touche, dont mesure
nous savons estre venu ce proverbe, lequel j'ay veu estre
fort commun à Paris : 71 e.rt de bar or, i1 craind la touche.

(3o3o-31) Cf. Let Etbahit, I, 1 :
.. et qu'elle eut laissé
Attaindre le chat au fromage.
Cf. aussi Let Corrivaux, I, 1 :... h4ais plutost, belle Dame, dechiffrez-moy par le menu par qui, quand, et comment vous avez laissé aller le chat au fourmage ?
(;065-66) Cf. Henri Estienne, Deux dialoguer, I, 181: «Vous demandez donc si de mon temps elles ne sottoyent point de leurs logis sans avoir un masque. Et je vous respon qu'elles sortoyent tousjours sans masque, sinon quand elles vouloyent aller jouer une farce, ou porter un mouron. »
(31o8-Io) Cf. Le Morfondu, II, rv :Dictes hardiment, 1\ion- sieur, car pour l'amour de vous, jc feray de la faulse mon-
noye. ADDITIONS
(z37-47) Cf. Rabelais, Pantagruel, XXVII.
(z44) Cf. Marot, Épître pour !e capitaine Raisin, v. S4. (1776) Copié dans Grévin, La Trétoridre, III, Itr. (1783) Parodie de :loger les étrangers, v@tir les nus. (1834-SS) Cf. Marguerite de Navarre, Heptameron, XXVI. (1934-35) Cf. Pathelin, v. 349-351•
(1945) Même confiance chez le Guillaume de l'Euglne. (zolo-I1) Cf. Marot, Au Roi pour le délivrer de priron. (z7zz-z5) Imité de Bibbiena, La Calandria, ITI, t7.