Résumé : Cette postface présente une double lecture du rapport des cardinaux avec l’innovation musicale : du point de vue historique et du point de vue des institutions curiales. Elle renforce le dialogue entre la musicologie et la discipline historique et permet d’approfondir les connaissances acquises dans les contributions de ce volume. On en conclut que l’art musical n’est pas seulement un ornement ou un simple fond sonore ni la mélomanie cardinalice une passion innocente.