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Classiques Garnier

Index

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : Les Caractères ou les Mœurs de ce siècle précédés des Caractères de Théophraste
  • Pages : 539 à 619
  • Réimpression de l’édition de : 1995
  • Collection : Classiques Jaunes, n° 482
  • Série : Littératures francophones
  • Thème CLIL : 3436 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques
  • EAN : 9782812414527
  • ISBN : 978-2-8124-1452-7
  • ISSN : 2417-6400
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-8124-1452-7.p.0595
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 08/04/2014
  • Langue : Français
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INDEX


Dans le présent index, sont en italiques les noms fictifs et les titres d'ouvrages; en petites capitales, les noms de lieux ou de personnages réels ou légendaires; en romain, des autres mots d'appel.
A l'intérieur de chaque artàcle, les italiques indiquent une Abrase au une partie de phrase de L,a Bru_,yère qui a pu être re- produite pour rësumer un dëveloppement (avec parfois quelques coupures ou simplifications de ponctuation). Les caractères romains indiquent l'idée générale que nous avons dégagée d'un passage.
Viennent ensuite, séparés par un tiret, les numéros des pages auxquelles le lecteur pourra se reporter pour compléter sa vue du #hème en question.
Enfin, les numéros entre parenthèses renvoient aux pages dans les noter desquelles une explication est fournie, une identification proposée ou un rapprochement suggéré cyan# trait au mot d'appel. De la sorte, le lecteur pourra retrouver commodément de passage or} La Bruyère semble peindre ted contemporain, s'inspire de ted écrivain antérieur, voire annonce #el auteur plus récent.
Ler numéros indiquent les pages conformément aux abréviations suivantes : 44-I signifie :pageset ¢T; j¢s-fr signifie :tout le passage qui va de la page 34s comprise à !a page j fr comprise.
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z`L

Abbaye. II s'est trouvé des ft!!es qui n'étaient pas assez riches pour faire dans une riche abbaye v~u de pauvreté, 4z3. —Celle qui délibère sur le choix d'une abbaye ou d'un simple monastère,
4z3• — 73, IS7, 1~oy zz8, 4S z-
Abbés. Abbés opulents, 187. —Abbés mondains, 418.
ABYSSINS. I 2.
Académie française. Les Sentiments de !'Académie sur le Cid, 77. —Fondation de l'Académie pax Richelieu, 504-5• —doge global des membres de l'Académie,
Sol-9. — z34> 491-513. — (330, 4SG)•
ACHERES, 214.

ACHILLE, zG1,zG7, 279.
Acis, le diseur de phæbus. 153-4.
Administrateur (d'hôpital). 4z6.
Admiration, admirer. Un auteur cherche vainement à se faire admirer par son ouvrage, 79. Il y a des lieux que l'on admire il y en a d'autres ou l'on aimerait à vivre, 15 I. Admiration provoquée par les sermons, et non conversion, 449•
ADONIS. 2~ I .
Adraste, le libertin qui est devenu dévot pour suivre la mode. 3 4 S -6.
Ægine, la jeune fille riche et dépensière. 4z4.
ÆGISTE (fils de Thyeste). 387.
ÆGOS POTAMOS. 30.
Æmile, le vrai héros. Io6-7.
llschine, foulon. 1 ~ 5 .
Affaires. Les hommes ont tant de peine à s'approcher sur les affaàres, goy. — ~~, z49, 34S•
Affectation. Chez les femmes, I 1 z-3, i z 5 . Dans le langage,
15 j. 217, z6R, 345. Voir /lcis, Aristargue, ctc.
Affliction. I! nÿ a qu'une miction gui dure, zo1. — 14z.
597 Ages. Les trois âges de la vie, 314.
AGÉSILAS. 434•
AGNONIDE. $.
Alain, le sot. 344•
Alcippe, qui salue pour que l'on voie qu'il est avec un grand. 32I-2.
ALEXANDRE. 9, io, iI, 48, IoG, 383.
ALIPHARMiJTOSIS. I 7 5 .
ALLEMAGNE. 280.
ALLEMANDS. 397.
ALPES. 2 HO.
Amant. Les femmes se préparent pour leurs amants, si elles !es attendent, I15. - IIÛ, I2I, I27, I29, 135, 136, 142.
Amateur. Amateur de bâtiments, 397; de bustes, 397; de coquillages, 398; d'estampes, 395; de fleurs, ;93-4; d'in- sectes, ;~8; de langues orientales, 396-7; de livres, 396; de médailles, 394-5; d'oiseaux, 397-8; de prunes, 394; de sciences, 396; de voyages, 393-6.
Ambition. Le sage guérit de l'ambition par l'ambition même, I 1 I ; ambition et amour, I27, 1 z8, I So; !'ambrtion donne pour un temps les apparences de toutes les vertus, 194.
180, z41-z, z44, 31I.
AMBOISE (I,e cardinal d'). (z87).
Ambreville, qui triche au jeu. 423.
Ame. Le peuple n'a guère d'esprit, et les grands n'ont point d'âme, zG2; comme Dieu est esprit, mon âme aursi est esprit, 473; l'âme n'est que ce gui pense, 474; l'âme est immortelle,
474• - 182, 458, 4i9•
AMELOT (jean-Baptiste). (397).
Amitié. Ily a ungoût dans la pure amitié, 137;1'amour et !'ami- tié s'excluent l'un l'autre, 138; être avec der gens qu'on aime, cela sut, 140. - IOI-z, Iz$, 134-41 144-48 IGS, 170, 197, zx8, z3o, z38, z47, zBS. 3z3~ 373•
AMONIO (Domenico). (3 5 7).
Amour. Les femmes uont plus loin en amour que la plupart des hommes, I2ô; l'amour et l'amitié s'excluent !'un d'autre, 135; l'amour commence par l'amour, 138; l'an n'aime bien
598 qu'une seule fois, 138; l'an n'est pas plus maître de toujours aimer, 141; les hommes commencent par l'amour, finissent par l'ambition, ISo; amour des peuples pour le souverain, 2(~I-2, fII. - I15-7, I27-8, 130, 134-43 ISo-I.
Amoureux. On veut seulement que certains hommes émi- nents ne soient pas amoureux, 3 z~; c'est unegrande difformité dans la nature qu'un vieillard amoureux, 3 3 z.
Amphion, directeur de l'Opéra. 83.
AMYOT. S 2.

Ancêtres. Si nos ancêtres ont mieux écris que nous, c'est une question sauvent agitée, toujours indécise, 44z. — z99.
Anciens. Nous, qui sommes si modernes, serons anciens dans quelques siècles, 11 ; indulgence qu'il faut avoir pour les livres des anciens, I i; d'on ne fait que glaner après !es anciens, 67; on ne saurait surpasser des anciens que par leur imitation, 70; querelle des anciens et des modernes, 7o-I. — 88,
174•
André, le dissipateur qui se ruine obscurément. zlz.
Andromaque, tragédie de Racine, 88.
ANGLAIS. 397. - (391).
ANGLETERRE. ~I04, I09, 279, 281, 391, S Io). VOIT I~évv- lution.
Animaux. L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, 339; animaux-machines, 343 473: les ani- maux comparés aux hommes, 388-~.
Annales Galantes. 2I f .
ANNE D'AUTRICHE. ~41I~.
Année Sainte (L'), 407,
ANNIBAL. 26 I .
Aniagoras, le plaideur émérite. 338-~.
Anthime, qui condamne un livre sans l'avoir lu. 74.
ANTIPATER. j I, 48.
Antipathie. 140, IGS, 3So.
Antiphile, qui est sujet aux fautes. 379.
Antiphon, premier nom de Téléphon. i S ~.
Antisthène, écrivain renommé mais pauvre, dégonté d'écrire.
3 S 6-8.
599 Antisthius, le philosophe qui attaque les vices, non les personnes, 372-3•
ANTONIN (Empereur). j f f
APATIJRIE$. 24.
APOLLON. 4Û, j I2.
Apôtre. L'orateur cherche un évêché, l'apêtre fait des conversions,
452
APOTRES (Les). j f g, 41 I, 418, 4 S S ~ 4~ 5
APOUGNY (Le sieur D'). (18 j),
APPIENNE (Vole). I 8 f .

APPRENTISSAGE. La justice est lG seul état Oü aüCun appxeri- tissage ne soit exigé, 4z8.
APRONAL. 17S .
ARABIE. 202.
ARBSLI.rs. j0.
Arbres. Combien d'hommes ressemblent à ces arbres d~à forts
et avancés, I S 6.
ARCHIAS. zf.
Arfure, femme d'un Partisan. 184.
Argent. Id y a tedde femme qui aime mieux son argent que ses amis, et ses amants que son argent, Iz7; l'argent abolit tous les sentiments, 1~6; l'argent procure la noblesse, 41;-4; de besoin d'argent a réconcilië !a noblesse avec la roture, 416; l'argent des particuliers est malmené par les greffiers et les receveurs des consignations, 4zf-G; l'argent supplée à tout, 4z6. — 3fz, 353 35-7•
Argyre, la coquette qui n'a pas d'esprit et parle toujours.
324•
Aricie, amie de Narcisse. zlz.
ARIDÉE, Oü ARRHIDÉE. ~, j I .

Aristarque, c~ui annonce à son de trompe qu'ii va faire une bonne action, z68.
Ariste, le philosophe qui publie un livre. 7z. Aristide, homme sage et vertueux. z f o, z f ~.
Aristippe, dont la fille est en danger de mort et veut se réconcilier avec lui. r}zz-;.
600 Ariston, régalé pax André. z 1 z.
ARISTOPHON. 30.
ARISTOTE. 5~ 7, 8, 16, 371. — (49z)•
ARLEQUIN. 242.
Armoiries. 414-5 .
ARNAULD DE LA BRIEFE. (20H).
Aronce, qui parle proverbe. 153,
Arrias, le hâbleur. I S S
Arrogance. Le suffisant, l'important, l'arrogant, 367.
309
Arsène, qui contemple les hommes du plus haut de son
esprit. 74.
Art. Il y a dans l'art un point de perfection, 69; quand on excelle dans sou art, on en sort en quelque maniëre, roi; arts qui n'ont été inventés et perfectionnés que comme des re- mèdes ànotre malice, 3 5 I ; combien d'art pour rentrer dans la nature ! 3 6 3 .
ARTA}CERXE. I 7 5 .
Artémon, le courtisan qui cache son ambition. z33.
Arthénice, la femme idéale. 36o-I.
Ascagne, statuaire. 175.
ASIE. 48.
ASSYRIEN (Empire). 174.
ASTÉE. 3 I .
Astérie, épouse déshéritée. 331.
Athéisme. Un dévot est celui qui sous un roi athée serait athée, 405; l'athéisme n'est point, 46z. — 461, 46z, 470.
ATHÉNES. 8, 1;, 14, zo, z9, 30, 36, 46> 48~ 49> S4> 3SS~ 49z.
ATHÉNIENS. 5, ô, I2-4a z4~ 30~ 46. 55•
ATHos (Mont). 390.

Atomes. 48o-r .
Attention. 1 S 5
ATTIcus. 7.

ATTILA. Un prince bon et magnanime qui se présente comme un Attila, 40;.
601 Auslcxnc (L'abbé d'). (z69, z71).
AuslcN>; (Le comte d'). (ro4, I18, 156, zz3).
Aucssouxc (Ligue d'). (388, S I I).
AUGUSTE (Empereur), z19.
Aucusrlx (SAINT). I! nÿ a rien que l'on puisse comparer à S. Augustin, que Platon et que Cicéron, 464• — 448 464•
AULU-DELLE. S.
AUMONT (Le duc d'). (394).
AUMONT (La duchesse d'). (Iz1).
Aurèle, qui fait hériter uIl neveu libertin.
AURÉLIEN (1mpereur). (zoz).
Austérité. L'austérité fait mal penser de la veztu, 36z.
Auteur. Id faut pdu.r que de !'esprit pour être auteur, 67; tout l'esprit d'un auteur consiste à bien définir et à bien peindre, 70; ingratitude des auteurs pour les anciens, 7o-i; ja- lousie d'auteur, 7z; je conseille à un auteur né copiste, 94; un vieil auteur, et dont j'ose rapporter ici les propres termes, z37; pauvreté des auteurs, 3 S z, 35 3~ 3 56-7; l'auteur com- paré au prédicateur, 45 S -6. — 71, 195. Voir Écrivain.
Automate. Le .rot est automate, 343•
Autorité. z S z.
AUTRICHE. 175. - (174, 279, 2ô I, 392).
Avances. z3z.
Avarice. Il y a des gens dont la vie est comme une pénitence continuelle ce sont les avares, 334•-- 3z'S> 47-8, 194> 198, 333 4z6.
AVENAY (Vltl d'). 185.
Avidité. z 3 S

Aventuriers. Mots aventuriers, 156; aventuriers à la cour, 2z4, zS7•
Avocat. L'avocat comparé au magistrat, zoé; air affairé des avocats, zo9; coutume d'interrompre les avocats dans leurs plaidoiries, 4z7~ 4 S S ; avocats payés pour dire des injures, 4z9; l'avocat comparé au prédicateur, 4S 3-3


33z•
602

B

B... (Monsieur, mari de Mme L... 13 3.
B**, montreur de marionnettes. ;57.
BABEL (Tour de). 174•

Babil. zg-3o.
BABYLONE. I ~ S .
BABYLONIEN (Emplre). 174.
BACCHANALES. z3-4.
BACCHUS, z4~ 47•
$ALZAG (Guez de). 79, 81, 8z, ~z. — (83, 368).
BARBARES. ToflJ !es étrangers ne sont pas barbares, j S 8 ; nous
sorrames barbares pour quelques peuples, j S 8. — 1 ~, 70, I ~~,
358-9.
BARBEREAU (Mademoiselle), (3 S j).
BARBEREAU (Médecin). (; S 7)•
BARBEZIEUX (M. de). (18z),
BARBIN (Claude). z 1 3.
Barnabite (Le), qui est en conflit avec le curé. 4zo.
BARON (Michel). (87, 119, 3 S 3)•
BASILE (SAINT). 447 4~4•
Basïlide, le nouvelliste optimiste. z8o-I.
BATAVES. 3 ~ I .
Bathylle, danseur et pantomime. IIc~-zo, jSz.
Bâtiments. Un bourgeoïs aïme !es bâtiments, 397.
BAuquEMARE (Nicolas de). (Ij2-3). Voir Ons-en-Bray.
Bavardage. Voir Argyre.
BAVIÈRE. I 7 j .
BAYARD. 3 79.

BB**, qui vend en bouteilles l'eau de la rivière, 357•
BEAUMAVIELLE (C1lantellC). 214.
Beau-père. 166.
603 Beauté, Quelle prodigieuse distance entre un bel ouvrage et un ouvrage parfait ou rëgulier ! 77; l'affectation et le fard gâtent la beauté des femmes, 113-4; un beau visage est le plus beau de tous !es spectacles, I I 5 ;d'agrément est arbitraire : la beauté est quelque chose de plus réel, I 15 ;l'air spirituel est la beauté des hommes, 36z; la beauté et les bienséances, 418. I15-6, I18, Iz~, 133-4, 14z. Voir Arthéuice.
BEAUVAL. (175)•
BEAUVILLIER (Le duc de). (234, qo5).
BELLEAU. ô I.
BELLEFORIÉRE (La marquise de). (278, 360).
Belle-mère. 166.
Belles-lettres. Les belles-lettres sont méprisées par la société, 3 S 3-S ~ 497 S o4; Richelieu ies goûtait et les honorait, S o4-S
BELLESME Ou BELESME. 4~8.
Bénéfices ecclésiastiques. ; 3 I, 4 S 3
Bénigne. (Io3).
BENOIT (Antoine). (3S7)•
BENSERADE. 443• — (171 493)•
Béréfices, tragédies de Corrleille et de Racine. 84.
Berger. Le berger est l'image d'un bon prince, z~1.
BERGERET. (508).
BERNARD (Catherine), (17S).
BERNARDI. 2 I 4.
BERNIÉRES (Jean de), (I2I, 4.07).
BERNIN. 4~5.
Bérylle, qui tombe en syncope à la vue d'un chat. 3 5 6.
BESANC~ON. 261.
BESONS (Ba21n de). (415).
BIANGOLELLI (Dominique). (I23).
Bien (Le), Celui qui sait attendre le bien qu'il souhaite, 146; vous êtes homme de bien, vous êtes perdu, z 3; ; l'homme de bien opposé au dévot, 346; un homme de bien est respectable par !ui-même, 361; l'honnête homme, l'habile homme et l'homme de bien, ;67. — 146, 151, zS7, z63, 346•
604 Bienfaisaizce, bienfaits. Celui-!à est bon qui fait du bien aux autres, III ; il y a du plaisir à rencontrer les yeux de celui à qui l'on vient de donner, 144• — 143-4 146, 148, z91•
Biens. Les grands biens dissimulent le ridicule, 180; les biens sont inégalement répartis, 186-7; de plus ou le moins de mille livres de rente se trouve écrit sur des visages, 1~5; il nÿ a qu'une afjüction qui dure, qui est celle qui vient de la perte de biens, 20 I ; il y a de certaàns biens gue !'on désire avec emportement, 310; les vrais biens ne sont pas estimés, 38;. Voir Fortune, Richesses.
Bienséance. 37, 217, 318, 418.
BIGNON (La famille). 3SS
BIGNON (L'abbé J.P.). SoI, So9• — (3SS).
BIGNON (Jérôme). (3SS, SoI).
BIGNON (Jérôme II). (3SS)•
Billets. Billets d'enterrements, (186); billets et obligations,
(42 S )-
Bizarre. Les plus sages sont souvent menés par le plus fou et le plus bigarre, 16 S .
BLo1s (Mademoiselle de). (318, 410).
BOHi:ME. 174.
BOILEAU (L'abbé Charles). (449)•
BOILEAU-l~ESPRÉAUX. 95• - (6, GI, 68, 71, 75, 77, 7ô, SI, 86, ~o, ~4, Io3, I2o, 213, 295 354 422, 426 445 446 453 461 49S)•
BOISPRAN (Le maître des requêtes). (360).
BOISFRAN (L'auteur comique). (206).
BOISLANDRY (Madame de). (360).

Bonheur. Il faut rire avant que d'être heureux, 147; voyez un heureux, contemples-le dans le jour mêrne ou il a été nommé à un nouveau poste, 236; le bonheur est rare, 308-~; nous cherchons notre bonheur hors de nous-mêmes, 322; il y a une espèce de honte d'être heureux à la vue de certaines »lisères, 3 z 3 ; quel bonheur surprenant a accompagné ce favori pendant
tout le cours de sa vie, 3 7 5 • ~ 143 ~ 160, 3 41, 3 8 S
Bonté. Celui-là est bon qui fait du bien aux autres, III ; je
veux un homme qui soit bon, qui ne soit rien davantage, et qui
soit recherché, z;o; une mutuelle bonté devrait inspirer les rapports sociaux, 340-1• --- 151. 303> 3z4•
605 BONTEMS (Alexandre). (3 5 7).
BORDIER (Le Père). (407).

BOSSUET. 354> 453 Sol• (77> 78> 84> Io;, Io6, z4z, LSz, z91> 463> So8).
Boucicnur (Le Maingre de). 440.
Bouxouxs (Le Père). 77• — (78> 9S)•
BOUILLON (Le cardinal de). (3z~).
BOUILLON (La duchesse de). (I1~).
BOUILLON (GOdefrOÿ de). 417.
BOu1N (l'Abbé). 448•
BOURBON (La maison de). 175, LIo,
BouxsoN (Le duc de). 3S4• — (zS4~ 316, 416).
BOURDALOUE. 453, 49S• — (4~ 78> z44> 331 393)• $OURDELOT (L'abbé}. (26~).
Bourgeois. Les bourgeois aiment la langue précieuse, 172 ; de simplet bourgeois ans eu l'audace d'avaler en rsn seul morceau la nourriture de cent familles, 193 ; les hourgeois enrichis ont uq faste de parvenus, z11-2; on s'élève à la ville dans une indifférence grossière des choses rurales et champêtres, z 18 ; les bourgeois de Paris sont beaucoup moins simples que leurs ancétres, 2I(~-20; les bourgeois bâtisseurs et collec- tionneurs, 397; les bourgeois gentilshommes, 413-6. Voir André, Crispins, Saunions.
BOURGOGNE (Le duc de). (z34> 334, 4S7)-
BOURSAULT. (77).
BOURVALAIS. (i8j).
BRANLAS (Le comte de). (2~8).
Bravoure. La bravoure est la noblesse même, 267; les faux braves, 31C~, 380-r. — z66, jz4.
Brelans. Loo-I.
BRETEUIL (Louis-Nicolas de). (Io8).
BRIE. 263.
Brigue. 23 3-4•
BRIOCHÉ. (84, j f 7)•
BRIOU (Mademoiselle de). (1 zo).
606 Broute, le bourreau. 1 zo.
~rontin, qui ,fait des retraites. 189.
Brouilles. 165, 167.
Bru. 166.
Bruits. Le contraire des bruits gui courent esd souvent la véritë,
363•
BRUNEL. (175).
BRUNO {SAINT. 303.
Brutalité. 39-40, 160, 36G.
BRUTUS. 493
BUSSY-RABUTIN. 77. — (7H, 25 ~, 286).
Bustes. 397.
BYZANCE. z7.

C

C**, musicien. Ioz.
Cabalé. Quelle borràble peine à un homme gui est sana pr8neurs et sans cabale, gG-7; la cabale des hypocrites, 466-7. 84-5, g1-z, z5o, 349 405. Voir Parti.
CAaouT. (393).
Caducité. Voir Vieillards.
CAEN. (167}.
CALLISTHÉNE. 7.

CALLOT. 395.
Campagne. Ou s'élève à la ville dans une indifférence grossière des choses rurales et champêtres, z18; l'on voit certains ani- maux farouches répandus far la campagne, 3 3 g ; la nature n'est que pour ceux gui habitent la campagne, 384.
CAMUS (Albert). (14z).
Canidie, sorcière. i;1; qui a la passion des charlatans, 437.
Capitan. 40;.
CAPITOLE. 2I g.
Caprice. Le caprice est dans les femmes tout proche de la beauté,
607 ,pour ëtre son contre poison, 115; les caprices du hasard ou !ts jeux de la fortune, zo3. — 146, 3 5 a.
capyr, froid auteur. 77-8.
Caractères. Un caractère bien fade est celui de n'en avoir aucun, 15 z; ne pouvoir supporter tous les mauvais caractères, 164; diseurs de bons mots, mauvais caractère, 247; diversité des caractères, 340; instabilité des caractères, 34S-G.
Caractères (Les) de la Bruyère. La matière et la manière des Caractères, t4-5, 61-z, G4-S,498-9; lepton de l'ouvrage, 15, 496; les Caractères peignent l'homme en général, et les clefs inventées pour les expliquer sont fausses et ridicules, 62-3, 497-8; les Caractères ont été augmentés d'édition en édition, 63-4 ; si an ne goûte point ces Caractères, je m'en étonne, 487; La Btuyère a été critiqué poux avoir fait des caractères dans son discours de réce~tion, 491; les Caractères sont mauvais, ou La Bruyère n en est pas l'auteur, 493; le livre est fort goûté des religieux,
495• — (73~ 494)•
Caractères (Les) de Théophraste. 5-G, Iz-4, IS-7. — (Gz, I zo).
Caresses. z;o.
CARETTI. {224, 357 43G)•
Corpus, qui a la passion des charlatans. 437• CARRACEIE {Ls). 418.
Carco Carri, le charlatan qui se prétend médecin empirique. 436-7. — (224).
CASAUBON. (G, 17, z8, S 3)•
CASSANDRE. 8-~, j I.
CASSEL. (j28).
CASSINI. 240.

Caton, l'homme de bien. 375.
CATULLE. 400, 448•
CAUSSIN (Le Père). (495).
Célestins {Les Pères). (417).
Célibat. Les délices du célibat dans le mariage, 424.
Célimène, chez qui on perd sa réputation. Iz;.
Celse, qui se donne des airs importants. Io8-~.
608 CERBÈRE. 2ô I.
CÉRÉS. 8, 24.
CÉSAR. IOG, z61,~ 383 4~f. 493•
César, l'Empereur d'Allemagne. ;~z.
Césonie, amoureuse du flûtiste Dracon. Izo.
Chagrin. 4z-;, 1~3. 3~S•
Chaire. Voir Prédication.
CHALCI$. â.
CHAMPAGNE. ISf, 26;.
Champagne, valet devenu Partisan. 164-f •
CHAMPMESLÉ (Charles Chevillet, dit). (3 S 3)•
Changement. z76-7.
CHANLEY OU CHAMLAY {Le marquis de). 214.
Chanoines. 4z I-z.
CHANTILLY. ô4, 474-5. f 00.
CHAPELAIN. ; f 2.
Charges. Laisser perdre charges et bénéfices, ;; I ; charges ori d'argent des particuliers coule sans fin et sana interruption,
4zf-6.
Charité. {Les Filles de la). (331).
Charlatans. zz4, 337 43f-7• Voir Carro Carri, Cydias.
CHARLEMAGNE. {44;}.
CHARLES VII. (279}.
CHARPENTIER (François). f Oô. (6z)
CHARTRES (Le düC de}. 3 S 4•
Chartreux (Les Pères). ;oz-;, 49S•
CHATEAU-THIERRY. (167).

CHAxELET (Le). 173.
CIIATILLON Oü CHASTILLON. 226.
CHALiLITU (L'abbé de). (;60).

CHAUMONT (Le chevalier de). (467).
Chef-d'ceuvre. L'on n'a guère vu un chef-d'auvre d'eaprit qui soit l'ouvrage de plusieurs, 6~; La Bruyêre a voulu faire
609 son discours de réception comme les artisans font leur chef-d'aeuvre, 499.
Chemin. Les deux chemins pour arriver aux dignités, z36.
CHEVRELfSE (Le duC de). 354.
CHINE. 468.
CHINOIS. I 2.
Chiromanciens. 43 7.
CHOISEUL DU PLESSIS-PRASLIN (Gilbert de). (161).
CHOISY (L'abbé de). (467).
Choix. Liberté, c'est choix, 485 ; La Bruyëre ne doit sa place à l'Académie qu'au libre choix des académiciens, 51z-3.
Chrétien. Un homme né chrétien et l'ranfais se trouve contraànt dans la satire, 94; de telles gens ne sont ni parents, ni amis, ni citoyens, ni chrétiens, ni peut-être des hommes, 196; la philosophie chrétienne, 341; le discours chrétien e.ct devenu un spectacle, 445. -III, 419-zo. Voir Prédication, Religion.
Chrétien intérieur (Le), de Jean de Bernières, 407.
CHRIST. 418.
CHRISTINE DE SUÉDE. (196).
Chrysante, l'homme opulent et impertinent. 195.
Chrysippe, le premier noble de sa race. 188.
CHRYSOSTOME SAINT JEAN). 447•
CICÉRON. 7, ~, 14, G9, 371 453 464, 49z• (89, 375 387)•
Cid (Le), tragédie de Corneille. 77, 88.
Cimon, l'important de cour. zz5-6.
Ciron. 48 I .
Citations. Citations inexactes et critiques abusives, 73-4; il
faut citer à propos, 174; les citations profanes dans les
sermons, 448. Voir Hérille.
Clarice, la coquette qui veut faire la jeune. 114.
Clarté. 91.
Claudàe, amoureuse de l'acteur Roscius. 119.
CLAUDIEN. 174.
Cléante, qui se sépare de sa femme. 166.
Cléargue, le financier sans héritier. 198.
610 Clefs (des Caractères). Ces clefs sont tout â fait fausses et ridicules, 6z-3> 497-8
Cléobule, le grand seigneur dont Sylvain est le gendre. 185. Cléon, qui dit ce qu'il pense. 160.
Clercs. 4zI, 43 z, 4S3•
CLERMON"1C-TONNERRE (Le comte de). (149).
CLERMONT-TONNERRE (Monseigneur de). (226).
Climène, chez qui on perd son temps. Iz3.
CLISSON (Olivier de). 440•
Cditandre, l'important de cour. zz3-6.
Clitiphon, le haut fonctionnaire des finances. 182-;.
Cliton, qui ne pense qu'â manger. 336-7.
C. N., auteur de Rodogune. 3 3 z.
Cobus, danseur. I Zo.
COEPFETEAIJ. 82. - (4).
Cæur. Un homme de cæur pense à remplir ses devoirs à peu près comme le couvreur songe à couvrir, zoo; !es femmes n'ont guère de principes, elles se conduisent par !e cæur, I z 7-8 ;cesser d'aimer, preuve sensible que l'homme est borné, et que le cæur a ses limites, 142 ; i! devrait y avoir dans !e cæur des sources inépuisables de douleur pour de certaines~ertes, 142; de cæur seul concilie les choses contraires, 130; le cæur et l'esprit, 130-I; les rois n'achètent jamais trop cher le cæur de leurs peuples, z~z; les hommes comptent presque pour rien toutes les vertus du cæur, 3 z4; quellemësintelligence entre Z esprit et le cæur! 3z7. — I28, 137-31, 172, 360.
COUR (Jacques), z79.
Coiffures. Tl faut juger des femmes depuis la chaussure jusqu'à la coiffure exclusivement, 113; coi ures à la mode, 401-2,
403'4• — z43-
COLASSE (Pascal.) Ioz. —(Io3).
COLSERT. (131, 261, z88, 334)•
COLCHIDE. (217).
Colère. 303, 379-80.
Combat spirituel (le); du P. Scupoli, 407,
Comédie. II semble que le roman et la comédie pourraient être aussi utiles qgu'ils sont nuisibles, 87; quel fonds à faire sur un personnage de comédie ! z 3 z • — t z4.
611 Comédiens. Les comédiens et comëdiennes recherchés des nobles dames et des grands seigneurs, I I ~-zo, ; 5 z-3 ; la condition des comédiens était infâme chez les romains et hono- rable che des Grecs, 3 5 2; le comédien, couché dans son carrasse, jette de ~a boue au visage de C'orneilde, qui est à pied, 3 5 3 le problème que pose l'excommunication des comédiens,
41~-zo.
Commerce. Ily a un commerce ou un retour de devoirs du souverain à ses sujets, z9o; sachez précisément ce que vous pouve attendre des hommes, et jetez-vous ensuite dans !e commerce ~u monde, 306; l'étrange commerce des relations sociales dans les endroits pablics, 340.
Commodité. Voir Hermippe.
Comparaison. Les princes ont un goût de comparaison, z67.
Compassion. I14, 3z3, 33z•
Compensation. Il y a entre les différentes conditions une espace de compensation de bien et de mal, z5 5 ;les extré- mités sont vicieuses et partent de d'homme, toute compensation est juste et vient de Dieu, 486.
Complaisance. zG-7, IgS, zz4-5, z66.
CoNCINI Ou CONCHINI. IS4.
Concision. Goût exagëré pour la concision, 76.

CONDÉ (Louis II, prince de) ou lé Grand Condé. IoG-7,
344. 354• — (99~ zoz, z39~ z54. 378 343 475)-
CONDÉ (Henri Jules, prince de). (84).
Conditions. zSS, z6z-3a 340 485-6
Conduite. Id yy a un jeu dans la conduite, an a commencé, il faut finir, 330; la sage conduite repose sur une mémoire fidèle et une grande prévoyance, 374.
Confesseur. Si le confesseur ei le directeur ne conviennent point sur une règle de conduite, I z 1. — I zz, ;17, ;~;, 4z z.
Confiance, 3z I.
Connaisseur. Avec cinq ou six termes de d'art, on se donne pour connaisseur, z48.
Conseil. Le conseil est quelquefois nuisible à qui le donne, et inutile à celui à qui il est donné, 170; ily a dans les meilleurs conseils de quoi déplaire, 3 7 5 .
Consignation. 4x 5
612 Consolation. Un Gomme éclate contre une femme qui ne l'aime plus, et se console, I;o; on guérit comme on se console, 14z; l'on est ensuite si faible ou si léger que d'an se console, 14z; les consolations vaines et inutiles, 170; les bagatelles qui consolent, 31I.
Content. ~u'il est difficile d'être content de quelqu'un ! 147; celui qui sort de votre entretien content de soi et de son esprit, I S ~ ; !a cour ne rend pas content, z z z ;rendre un cn;'ur content, combler une âme de joie, zS S ; qui oserait se promettre de contenter les hommes i? 344• — 16g, ISo, z36, jII.
Conter. L'une des marques de la médiocrité de l'esprit est de toujours conter, 366.
Coxrl (Louis-Armand de Bourbon, prince de). (318). Coxr1 (François=Louis de Bourbon, prince de). 3S4•
(z98)
Contradiction. On se contredit par esprit de bonne com- pagnie, 364; les contradictions de l'opinion publique, 379; l'esprit de contradiction en matière de religion, 4S9-6o. Voir Contrariété.
Contrariété. 307, 378.
Contrat. A force de faire de nouveaux contrats, 1~0; contrat implicite entre le souverain et ses sujets, zoo.
Contretemps. 37, zz7.
Conversation. L'esprit de la conversation consiste bien moins à en montrer beaucoup qu'à en faire trouver aux autres, I S ~. 1 S z-79~ z47-8.
Conversion. La conversion des auditeurs n'est ni le but ni le résultat de la prédicatiun, 445-6• — 446-7. 4Sz•
COPERNIC. (475, 479)•
Coquetterie. L~ne~enrme coquette ne se rend point sur la passion de plaire, 114; homme coquet et la femme galante vont assez de pair, 116; le magistrat coquet ou galant est pire dans les conséquences que le dissolu, 4z8. — 116, I17, Izz. Voir Argyre, Iphàs, Lise.
Coquillages. L'amateur de coquillages, 3~8. Coquin. z7-~.
CORHIE. 279.
Corinne, amie de Glycère. 131; qui a la passion des char- latans, 437.
613 CORNEILLE (Pierre). Corneille et Racine, 87-~, 506-7.
77~ 84, Io3> 35z-3, 368 496. —(Iz9, 131 z3S, zG7)• CORNEILLE (Thomas). (77, 83, 8g, 16~, i75, 4Sû, 4cJ4, 500).
Corps. Les hommes idolâtrent les talents du corps et de l'esprit, 3z4; distinction de l'âme et du corps, 473-4•
Correction. Corriger les hommes doit être le but de tous les écrivains, 61-z, 78-y; ne vouloir être ni conseillé ni corrigé sur son ouvrage est un pédantisme, 7i.
Coteries. zo7-8. Voix Cabale, Parti.
Cour. La cour ignore la ville ou la méprise, 4; il est pénible de faire sa cour, Ioo, 384; le rebut de la cour est relu à la ville, 118 ; Paris, pour l'ordinaire le singe de la cour, ne sait pas toujours !a contrefaire, z 16 ; ce que c'est que savoir la cour, zz I ; qui peut défanir la cour Z zz I ; se dérober à la cour un seul moment, c'est y renoncer, z z I ; l'on va quelquefois à la cour pour en revenir, zzz; d'air de cour est contagieux, zz3; l'homme qui s'est livré à la cour et qui veut sa fortune, z41-z; tableau général de la cour, z44-5 ; la cour détrompe de la ville et guérit de la cour, z 5 3 ; la cour est semblable à la ville, z73 ; c'est :rne chose délicate à un prince religieux de réformer la cour et de la rendre pieuse, 411; la cour est do- minée par les libertins et les hypocrites, 466-7; les in- trigues des Théobaldes à la cour, 493. — 11~, 1 z8, 17z-3, 181, 1~0, zoo, z16, zz1-53, z6z, 385. Voir Courtisan.
Courage. Ioz, IoS. Voir Bravoure, Peur.
Cours (le Cours-la-Reine). zo6, z1o, zl;, z14, 4z4•
Cour Sainte (La), du P. Nicolas Coussin. 494•

Court (demeurer) . ; 81- z, 45 7
COURTENVAUX (M. de). {IOI).
COURTIN {Le conseiller). (165).
Courtisan. Les cours ne saarraient se pnsrer d'une certaine espèce de courtisans, hommes flatteurs, camplaisvut.c, insinuants, dé- voués aux femmes, zz4-5 ; le courtisan ambitieux, z41-z; la montre, image du courtisan, z43 ;qui cst plus esclave qu'un courtisan assidu, z44; le visage drr prince fait toute la félicité du courtisan, z4G; qui sait parler arrx rois, c'est peut-être or! se termine toute la prudence et toute la souplesse du courtisan, z4G-~; les courtisans faux dévots, 4op-6, 41I. — zzI-33. Voir Cour.
COUTANCES. (167).
614 Couvents. Quelques femmes donnent aux couvents et à leurs
amants, I z 1. Voir Abbaye.
Couvreur. Un homme de cour pense à remplir ses devoirs à
peu près comme le couvreur sonie à couvrir, I oo.
C.P., auteur de La Pucelle. 3 5 z.
Crainte. 31z-3, 457. Voir Peur.
CRAMOI$Y. 78.
Crantas, client de Cydias. 176.
Crassus, homme en place. IOI.
CRÉCY (Le comte de). (So8).
Crédulité. 43 7
CRÉQUI (Le maréchal de). (434)•
Crésus, le Partisan mort insolvable. 184.
CRÉTE. I 3 5 .
Crime. ;06, 34~~ 377 484-5•
Crispins (Les), bourgeois parvenus. Zog-Io.
Critique. Il y a peu d'hommes d'un goût sûr et d'une critique judicieuse, 6~; le plaisir de la critique, 7z; il nÿ a point d'ou- vrage si accompli qui ne ondît tout entier au midieu de la cri- tique, 75 ; une des meil Bures critiques est celle du Cid, 77; la critique n'est pas une science, c'est un métier, ~3-4; la critique des sermons que font les auditeurs, 446, 448-~; critiques des sots, tentation d'orgueil, 4S~• — 71-9> 84-5~ 91, 4S~•
Criton, qui ne cherche que son intérêt. 188-~. Ctésiphon, amant d'Euphrosyne. 135-6. Cuisines. Si vous entrez dans !es cuisines, 187. CUREAU. Voir La Chambre.
Curés. 4zo-1.
Curiosité. La curiosité est un attachement à ce qui est à la mode, 393; l'homme n'est pas curieux de mourir, 4G~.
23~, 2SS~ 321-
CYBÉLE. 4G.

cydias, le bel esprit de profession. 175-7• — (493 49~)•
CYPRIEN (SAINT). -448•
CYRANO DE BERGERAC. 2I2.
615 CYRILLE (SAINT). 448.
CYRU$. 41 G.
CYZIQUE. 2 ].

D

D*** (Geoffroy). Voir La Bruyère.
DAMIPPE. 2 j .
Damis, auteur estimé de tous, sauf de Capys. 78.
DANCOURT. (214).
DANCOL'RT (Mademoiselle). (; 5;).
DANGEAU (L'abbé de). (7S).
DANGEAU (Le marquis de). (7S, zoo, z]o).
DANSE (L'abbé). (335).
DAQuIN (médecin du roi). (435-G).
DAQuIN (Monseigneur). (43S)•
DAQu1N (Le président). (43S)•
DARIU$. 30.
DAUPI-IIN (Louis, Grand Dauphin). ;83-4• -- (84~ zS9~ 354,
41 S)•
DAUPIIINE (Madame la). (z3z, 410).
Dave, esclave lié avec Téléphon. z6o.

Décence. Il faut que des neæurs du théâtre .noient décentes et instructives, 86.
Déclamateurs. 44G-8, 4S3•
Dédain. 16~-70, z38-~, 380.

Défauts. Les hommes n'avouent d'eux-mêmes que de petits défauts, 3 I ~; on est lent à pénétrer ses défauts, 3 23 ; il coîtte mains à certains hommes de s'enrichir de mille vertus gue de se corriger d'un seul défaut, 3z8-~; vices, défauts, ridicule, 365; nous ne sentons pas en nous les défauts. que nous trouvons insupportables chez les autres, 374. — 140, IGg, 170,
23z~ 348
Défiance. 43-4.
616 Dégoût. Les amours meurent par le dégoût, 14z; d'entêtement et le dégoût se suivent de près, 349.
Délicatesse. La délicatesse de pensée ou d'expression, 91; la délicatesse en amour, z 39, 14z ; il y a peu d'esprits délicats, capables de badiner avec grâce sur tes plus petits sujets, ISz; la fausse délicatesse, 17z, 344-5•
DELPECH. (183).
DELPHES. 46.

DELRIEUX. (416).
Démocède, l'amateur d'estampes. 395.
Démocrite, le philosophe railleur. ;88-~z.
Démopbile, l'alarmiste. z79-81.

DÉMOSTI IÈNE. 4 S 3
Dépense. L'état seul règle !a dépense, zo; ; la dépense exces- sive et bien inutile de certains parvenus, 2I I-2.
Déréglement. ; i o.
DESCARTSS. 19G, 365. — (S> 343> 379. 469> 47z>
DESGOTEAUX. (393).
Désil~téressement. IIo, 143, 376.
Désir. Il ne faut pas désirer impatiemment, 146-7; lorsqu'on désire, on se rend à discrétion à celui de qui l'on espère, 308; il y a de certains biens que l'on désire avec emportement, 310.
DEs MARAIS. Voir hégnier.
DESMARETS llE SAINT-SORLIN. 2I2-3, 494•
DESPORTES. 443.
Despotique. z76. Voir Tyrannie.
Devins. 437.
Devoirs. Plaisir que l'honnête homme sent à faire son devnir, zoo; ily a un commerce ou un retour de devoirs du souverain à ses sujets, zoo; sous un très grand roi, ceux qui tiennent les premières places n'ont que des devoirs facides, z~z; les devoirs remplis par vanité ou par bienséance, 318; nous nous attachons aux oeuvres de surérogation et négligeons nos devoirs, 33o-z, 34z, 376; moi, je le blâme d'un si long oubli de ses devoirs, 378.
Dévot. C'est trop contre un mari d'être coquette et dévote, I zz ; le faux dévot, 1 z4, zoo, ; S o, 367, 404-1 z, 467; un dévot

473)•

617 est celui yui sous un roi athée serais athée, 40 5 ; le vrai dévot, 405-6; les premiers dévots ignoraient la langue de la dévotion, 41 I ; il y a des hommes gui attendent à être dévots et religieux que tout le monde se déclare impie et libertin, 45 ~-60. Voir Adraste, Onuphre, Zélie.
Dévotion. La dévotion vient aux femmes comme une mode qu'il fout suivre, 1 z3 ; la dévotion aprés fortune faite, 193 ; la fausse dévotion, 4o4-I z ; la langue de la dévotion, 411; c'est un métier aisé à contrefaire, 411; ia dévotion de la cour devrait inspirer la résidence, 41 z ; la vraie dévotion fait supporter la vie et rend da mort douce, 41 z. — 15 0. Voir Dévot.
DIANE. 3g, 261, 403.
DIEü. L'idée de Dieu, 458-g; je voudrais voir un homme sobre, modéré, chaste, équitable, prononcer qu'il nÿ a point de Dieu, 461; l'impossibilité où je suis de prouver ue Dieu n'est pas me découvre son existence, 46 z ; je sens qu~l y a un Dieu, 46z; Dieu, à qui nous appelons des injustices des hommes, 463 ; une certaine philosophie est inutile, voire opposée à la connaissance de Dieu, 465-6;. je pense, donc Dieu existe, 47z; Dieu prouvé par l'harmonie du monde, 474-81; Dieu prouvé par l'infiniment petit, 481-z; le monde entier est la moindre chose que Dieu ait fait pour Phomme, 48z; Dieu a-t-il créé d'autres planètes? 483 ;Dieu prouvé par les merveilles de la nature, 483-4; Dieu a voulu une certaine inégalité entre les hommes, 485-6; Dieu prouvé et défendu dans les Caractères, 496. — Io7, 114, Iz1, Izz, Iz4, IS9, 18z, 186, 195, z4S, z46, z58, z6o, z~z, 3z~,
38z~ 387, 404, 4oS, 4~7, 411 422, 423 446 4f 0, 458-63,
465-7, 469-74•
Dieux. Les enfants des Dieux se tirent des règles de la nature, Io7; les saletés des Dieux et les autres nudüés du Carrache, 418. — 136, ISz, 34f•
Dignité. Une dignité rajeunit celui qui s'en trouve revêtu, 378; ce qui est plus rare que la science, et peut-être que la probité, je veux dire de la dignité, SIo.
DIJor1. z7~.
DIOGÉNE LAERCE. 5, 10, 14. - ~~~.
Diognète, l'amateur de médailles. ;94-5 •
Dioscore, l'auteur sans talent qui veut écrire à tout prix.

4S 2-3
618 Diphile, l'amateur d'oiseaux. 397-B.
Diplomates. Voir Plénipotentiaire.

Dire. Tout est dit, et d'on vient trop tard, 67; dire d'une chôse
modestement ou gu'elle est bonne ou qu'elle est neauvaise demande du bon sens et de l'expression, I S ~ ; entre dire de mauvaises choses ou en dire de bonnes que tout !e monde .rait, 173-4; l'on dit les choses encore plus finement qu'on ne peut des écrire, 177 ; l'on dit à !a cour du bien de quelqu'un pour deux rairons, z 3 z ; I'on me dit tant de mal de cet homme, et j ÿ en vois si peu,
z3z.
Directeur. Qu'eat-ce qu'une femme que d'on dirige ~ C'est une femme qui a un directeur, I 2I ; si le confesseur et le directeur ne conviennent point sur une règle de condûite, 1 z 1; cette pépi- nière intarissable de directeurs, Iz3• — I2z-3~ 317 404-5> 4zz-3.
Discernement. L'esprit de discernement, 36~.
Discours. Le discours chrétien est devenu un spectacle, 443 un beau sermon est un discours oratoire, 449; le discours comparé au livre, 4S S-6• — 449• Voir éloquence, Prédication, Sermons.
Discours de réception à !'Académie franfaire de La Bruyère. Comment le ~scours a été accueilli, 491-4, Soo-z; ce que La Bruyére a voulu faire en l'écrivant, 499-Soo.
Discussions. C'est s'épargner mille discussions gue de penser de certaines gens qu'ils sont incapables de parler juste, 373.
Diseur. Le diseur de rien, z;-4; diseurs de bons mots, mauvais
caractère, z47.
Disgrâce. z86, 378-~.
Disproportion. 180.
Dissimulation. zo-I, z4z.
Distrait. 38-~, z~8-3o3. Voir Ménalgue.
Divisions. Divisions compliquées et artificielles des prédi- cateurs, 447. 437•
Docte. Homme docte et docteur, Io3; les doctes sont méprisés du monde, ; S 3-S •
Docteur. Docteur et homme docte, IoS; légistes, docteurs, médecins, quelle chute pour vous, si nous pouvions tous nous donner !e mot de devenir sages ! 3 S I
Don Fernand, le hobereau brutal et duelliste. 339•
619 DONNEAU DE VISÉ. (H j, I ~ f , 45 6, 494, 5 00).
Donner. Il y a du plaisir à rencontrer les yeux de celui à qui on vient de donner, 144; c'est rusticité que de donner de mauvaise grdce, z34• — 143 144•
Dorilas, écrivain au style vain et puéril. 94.
Dorinne, qui aime son médecin. 119.
Dorus, le Partisan au brillant cortège. 18f.
Doritbée, cliente de Cydias. 176.

Dot. L'utile et la louable pratique de perdre en frais de notes le iàers de la dot! z17; la dot des religieuses, 4z3. — 166, 188, 397. Voir Ægine, Mélite.
Doucereux. Les mots doucereux dans les tragédies, 86.
Douleur. I/ devraity avoir dans le cæur des sources inépuisables de douleur pour de certainer,~ertes, 14z; les hommes semblent être nés pour l'infortune, !a douleur et la pauvreté, ; 09. — 13 3
311.
Doute. On doute de Dieu dans uné pleine santé, 4Go.
Dracon, le joueur de flûte. Izo.
Drance, qui prétend gouverner son maître. 149.
DRUgEC (L'abbé de). (161).
Du BART'AS. 81.
DU BROUSSIN (Le COmte). (3 3 G).
Duel. 398-9. Voir Don Fernand.
DUFRESNY. (G7, 169).
DU ~iÜESCLIN. 440.

DU HAMEL Ou DUHAMEL. 209.
DuMESNIL. (IOI).
Du METz (Pierre Berbier). z 14.
Dupe. Tous le croyez votre dupe, 169. — Io8, z5o, ;09. Du PuY (Les Frères). (z69).
DURAS (Le maréchal de). (434)•
Dureté. L'indulgence pour soi et la dureté pour les autres m'est qu'un seul et même vice, 145 ; la dureté du financier, 189-90; la cour est composée d'hommes fort durs, mais fort polos, zzz; 1~, dureté causée par la santé et les richesses, 3z3. 145.
DURFORT (Mademoiselle dc). (zf I).
620

E

Écrire. On ne doit parler, on ne doit écrire que pour l'ins- truction, 61; il faut exprimer le vrai pour écrire naturellement, fortement, délicatement, 70; ceux qui écrivent par humeur, 7z, 94; l'on n'écrit que pour être entendu, mais il faut faire entendre de belles choses, ~1; la gloire de certains hommes est de bien écrire, et de quelques autres, c'est de n'écrire point, ~z; l'on écrit régulièrement depuis vingt années, ~z. — 44z~ 4S z-3•
LCRITURES (Saintes). 14, 446
Écrivain. Les écrivains sont méprisés par la société, 3 S 3 l'écrivain comparé à l'orateur, 4SS-6; tout écrivain est peintre, et tout excellent écrivain excellent peintre, 4~I. Voir Auteur.
Éducation. 177, z67-8, 346-7, ;77. Voix Instruction.
Efféminés. Voir Iphir.
Effronterie. 3z-3, z17, z;;,
Égésippe, l'incapable. ~8.
Église. Luttes d'influences dans l'Église, 4zo. z94, 418-
zo, 4 S o, 464, S o S , S 07. Voir Pères de l'Église, Religion.
Égoïsme. L'égoïsme des princes, zG3; l'égoïsme des gens en place, 331-z. Voir Gnathon, Ruffrn.
]~GYPTE. C~, 17j.
ÉGYPTIEN$. 3, 174.

Élamire, pour qui André donne des fêtes. zlz.
Élévation. 145 194-5 349•
Élire, qui n'a pas le courage d'épouser le riche Nicandre.
178-g.
Éloges. Le méme éloge sert pour Caton et pour Piron, 375; éloges de la bonne foi, du désintéressement et de la pro- bité, discrédit du genre humain, 376; éloge global des membres de l'Académie française, Sol-~. — 71, Ioo, 321 376 491-z. Voir Louanger.
Éloquence. La médiocrité y est insupportable, 68; l'élo- quence est au sublime ce que le tout est à sa partie, ~o; on bannit l'éloquence des tribunaux, 4z7, 499; l'éloquence profane
621 est transposée du barreau à la chaire, 44S : La Bruyère a cherché à donner un exemple d'éloquence profane dans son Discours à d'Académie, 499-5 00. — 8 g-go, 44 S~ f o S
Voir Avocat, Discours, Prédication.
Elvire, qui aime à contredire. 361.
Émilie, qui veut se rendre intéressante. ;44•
Émile, la femme insensible. 134-6.
Empereur. L'Empereur d'Allemagne, 175, 279, 281. —
(38G> 392)•
Empereurs. Les empereurs romains, u~.
Emphase. 1 ~ ~.
Empiriques. Voir Charlatans.
Emplois. Nous devons travailler à nous rendre très dignes de quelque emploi, ~8. — 96, ~~, 234, 428. Voir Place, Poste.
Empressement. 38, 244•
Émulation. L'émulation distinguée de la jalousie, 324-5•
Enfants. Les enfants des Dieux, Io7; les enfants peut-être seraient plus chers à leurs pères sans le titre d'héritiers, 1 g 8 ; la psychologie des enfants, 314-7; ils sont d~à des Nommer, 315 ; il faut aux enfants les verges et la férule, i4.7; les enfants des héros, 384; à combien d'enfants serait utile la loi qui déci- derait gue c'est le ventre gui anoblit ! 416; l'on ne peut guère charger l'enfance de la connaissance de trop de langues, 438•
ENGHIEN (Le duc d'). 3 f 4.
Ennemis. 146, 148, 197, 346, 386. Voix Théobaldes.
Ennui. 330, 46g.
Entamer. Personne à la cour ne veut entamer, z 30 ; dès que les enfants ont pu entamer leurs maîtres, ils gagnent le dessus,
31G.
Entêtement. 171, 176, zo7, zS4~ 349-
Enthousiasme. Il faudrait prêcher d'enthousiasme, 4S 7•
ErrrRAGUES (Le marquis d'). (18 5 ).
Entretiens. I S z-3, I S S, I S 6, 1 5 g, 171.

Enumérateurs, énumérations. 447 449•
Envie. L'envie de plaire, z6-7; n'envions point à une sorte de
gens leurs grandes richesses, 183; l'envie distinguée de la
622
jalousie et de la haine, 3zs. — If 1, z7z, 309, 3So. Voir

Théobaldes.
~PAMINONDAS. 434.
1~pargne. De l'épargne sordide, 33-j. Voir Avarice. );pée. La robe et l'épée, 266.
GPICURE. (481.
ÉPIDAURE. 3 I I .
Épistolaire (Genre). 79-80.
Épithètes. Amas d'épithètes, mauvaises louanges, 70.
Épîtres (Les) des Apôtres. 4o f
L'RASME. 59, I03.
~RÉSE. 6, ô.
L"rgaste, le traitant qui s'enrichit aux dépens du public.
188, 277.
Érophile, le fourbe qui réussit. 310.
Érudition. L'érudition est méprisée par les gens du monde,
433-f• — 438, So8.
ESCULAPE. 46, 312, 437• — (41)•
ESMERY Oü HÉMERY (MICHEL PARTICELLI, SIEUR D'~. (131.
ÉsorE. 39z.
ESPAGNE. (Z79, zHI).
Espërance. 146, 147 313•
Esprit. L'esprit chagrin, 4z-3 ;tout !'esprit d'un auteur consiste à bien définir et à bien peindre, 70; quand une lecture vous élève l'esprit, 77; cela conduit insensiblement à y mettre de l'esprit, ~z; le bon esprit nous découvre notre devoir, Ioz; un homme d'esprit peut tomber dans quelque piège, Ioz; l'an est plus sociable par le cæur que par !'esprit, ISo; certains esprits vains, légers, familiers, délibérés, I S4; il faut une sorte d'esprit pour faire fortune, 1991 ; un esprit sain puise à la cour le goût de !a solatude et de la retraite, z 5 3 ; les grands dédaignent les gens d'esprit qui n'ont que de l'esprit, z S 7; !e peuple n'a guère d'esprit, et les grands n'ont point d'âme, z6z; un homme en place doit aimer les gens d'esprit, z64; le défaut d'esprit est le père des crimes, ;06; on ne sait point du tout que l'on manque d'esprit, ;24; les hommes idolâtrent les talents du corps et de l'esprit, 3 z4; la plupart des esprits ne sont ni
623 stupides ni transcendants, j26; tout d'esprit qui est au monde est inutile à celui qui n'en a point, 326; un homme qui n'a de d'esprit que dans une certaine médiocrité est sérieux et tout d'une pièce, ;26; quelle mésintelligence entre d'esprit et le cxurl ;27; l'es~rit s'use comme toutes choses, 327; la médiocrité d'esprit rend sage, i46; le bel esprit, ; 5 5-6; l'air spirituel est dans les hommes ce que la régulareté des traits est dans les femmes, 36z; un homme qui a beaucoup de mérite et d'esprit n'est pas laid, ;Gz; l'esprit, distingué de l'usage du monde, 363; talent, goût, esprit, bon sens, choses différentes, non incompatibles, 367; esprit et talent, 367-8; comme Dieu est esprit, mon âme aussi est esprit, 473• — 97~ Io8, I28, ISI, IS4, 164, 169, 248, z5o, 3oG, 3z6~ 365, 366, 399 448-9~ 460.461 464, 471-4•
Esprits forts. On les appelle ainsi par ironie, 458; l'es rit fort, c'est l'esprit,fasble, 459; les esprits forts sont ~e petits esprits ou des esprits pleins d'orgueil, 463-4• — 437, 458-87• Voir Libertins, utile.
Estampes. L'amateur d'estampes, 395.
Estime. Talent et estime, 369-70; id semble qu'estimer quel- qu'un, C'eJt l'égaler à JOi, 373. — 152, 168, 26j, 32I, j22.
ESTRÉES (Annibal d'). (z61).
EsTR1;Es (Le cardinal d'). 3 S4• — (SoR).
EsTR~Es (Le maréchal d'). 354•
Étoiles. 478-9.
Étonner (S'). Si an ne goûte point ces Caractères, je m'en étonne,
487•
$tude. Étude des textes. 438-9.
EUBFE. 8.
Eudoxe, qu'Onuphre décrie sans rien dire. 410. Eugène, homme de mérite, mais pauvre. 195. Eumolpe, favorisé par le hasard. za3. EUPHRASTE (surnom de Théophraste). 7. EUPHRATE. 202.
Euphro yne, amie d'Émire. 134-5
ELJRIPIDE. 69.

EUROPE. 48, 267, 358, 398, 511.
EURYMÉDON. 8.

624 Eurypyde, que l'on appelle bel esprit. 3S f-6
Eustrate, victime d'un changement de mode. 400.
Euthycrate, l'homme inégal et inconstant. z~8.
Euthydème, qui redoit Théodecte. I S 6.
Euthyphron, qui fait des estimations désobligeantes. 160-1.
ÉVANGILE. 1.'$Vangtle est remplacé par la peinture des moeurs dans la prédication, 4; une sim~le explication de l'Évangile jointe aux mouvements qui insparent la conversion, 446; l'authenticité et la véridicité de l'i~vangile sont mieux établies que celles des livres d'histoire profanes,
464-5• -~ 404 4oS~ 421> 445 448-Soi 4S4• — (III, 160).
)~vêchés. Les évêchés, récompenses des prédicateurs, 4S 1-z,
4S 7•
Évêques. ,Qui ne sait être un Érasme doit penser à être évêque, Io3. — 3 f 9~ 41 z. Voir Prélat, Théona;r, Trophime.
Exagérer. Il ne faut rien exagérer, ni dire des cours le mal qui nÿ est point, zzq.
Expédition. 4z7~ 499•
Exploit. Ceux qui ont été capables d'un grand exploit ne devraient pas vivre ensuite d'une manlère méprisable,
3z8.
Expressions. Les expressions et les images font les très grands auteurs, 7a; entre toutes les différentes expressions gui peuvent rendre une seule de nos pensées, il nÿ en a qu'une qui soit la bonne, 71 ; l'on peut hasarder de certaines expres- sions, user de termes transposés, g4-f ;expressions ridicules et affectées, I f ; ; les petites choses ne se soutiennent que par !'expression, le ton et la manière, 177.
Extraordinaires. Il y a des gens qui gagnent à être extraordi- naires, 3z8.
Extrémités. Les extrémités sont vicieuses, et partent de l'liomme,
486. — 417.

F

FABRY, z3z.
Fâcher (Se). z3z.
FAGON (médecin du Roi)_ 436, 437.
625 Faiblesse. C'est faiblesse que d'aimer, c'est souvent une autre faiblesse que de guéràr, 14z; mais d'on est ensuite si faible ou si léger que l'on se console, 14z; faiblesse et paresse, 148; des hommes rougissent moins de leurs crimes que de leurs fai- blesses et de leur vanité, Iso; faiblesse des ésprits forts,
458-61,464.
Faim. L'on dit d'un grand qu'il meurt de faim, 3 76.

Faire. Ceux qui fond bien mériteraient seuls d'être enviés, 151; il faut faire comme des autres, maxime suspecte, 3 S 1; ceux-là font bien gud font ce qu'ils doivent, 376; il y en a gui sont entièrement inutiles, et gui passent des jours à ne rien faire, 3 Sz.
FALAISE. 22 j.
FALENTIN. (433).

Familles. L'intérieur des ~amidles est sauvent troublé, 16 S ; l'intérêt réunit les fami les réputées irréconciliables, z44~ les hommes composent ensemble une même famille, z6g; ily a peu de familles gui ne touchent aux plus grands princes par une extrémité et par l'autre au simple peuple, 417. z~z, 307.
Fanfaron, zoo, ;8o-I.
Farder (Se). 113-4•
FARNÉSE (Le palalS). 41 S.
Farouche. L'on voit certains animaux farouches, des mâles
et des femelles, 339•
Fat. Un fat est celui que les sots croàent un homme de mérite, ;65. — 16z, 180, z16, z48, 3z6-~,;65-7, 4oI. Voir Drance.
FATOUVILLE. (I2;).
FAUCONNET (financier), 1~6.
Fautte, le libertin qui hérite de son oncle, ; 3 z.
Fautes. On ne vit point assez pour profiter de ses fautes, 317 ; id nÿ a pour l'homme qu'un vrai malheur, ggui est de se trouver en faute, 341; je ne sots s'il est permis de juger des hommes par une faute qui est unique, 363. — 3.17-8•
Faux. Si ma religion était fausse, je l'avoue, voilà le piège le mieux dressé qu'il soit possible d'imaginer, 46g; !a religion est vraie, au elle est fausse, 470. Voir Bravoure, Délicatesse, Dévot,
Dévotion.
Faveur. II y a des gens à qui la faveur arrive comme un accident,
626 z48; îtes-vous en aveux, tout manège est bon, zso; la faveur des princes n'exc ut pas !e mérite, 349. — 14G, 180, zz8, zSz~ z569 3z7~ 370 430. Voir Favori, Grdces, Téléphon, Théodote.
FevlsR (danseur). 411.
Favori. Rien ne fait plus d'honneur au prince gue la modestie de son favori, z8G; hommes en place, ministres, favoris, ayez de la vertu et de l'humanité, z87; c'est d'opinion d'un favori gui se dédira à l'agonie, z9o; lourdes responsabilités des favoris, 375. — z;;, zSI, z86-7. Voit Faveur, Straton, Xantippe.
Femmes. Les femmes sont de remarquables épistolières, 79-So; les hommes et les femmes canviennertt rarement sur le mérite d'une femme, I I2; il faut juger des femmes depuis la chaussure jusqu'à la coiffure exclusivement, 113 ; une pelle emme qui a les qualités d'un honnête homme, I I S ; les emmes 'attachent aux hommes par les faveurs qu'elles leur accordent, 116; une femme faible est celle à gui l'on reproche une faute, 117; quelques femmes ont dans le cours de leur vie un double enga- gement àsoutenir, I18; pour les femmes du monde, un jar- dinier est un ardinier, Izo; les femmes sont meilleures ou pires que les hommes, I z7; la plupart des femmes n'ont guère de principes,' Iz7; une femme qui n'a jamais les yeux que sur une même personne, 1 z9; un mari se repent au moins une fois ie jour d'avoir une femme, 133; ne pourrait-on oint découvrir 1 art de se faire aimer de sa femme P 134 ; une ~mme regarde toujours un homme comme un homme, 137; le bel et judicieux usage gui expose une emme d'une seule nuit, z17; une belle femme est aimable ns son naturel, ; 61; quelle mauvaise honte fait rougir un homme de sa propre femme Z 4z4; le jeune homme qui épouse une vieille femme, 4z4-3: combien d'hommes que Ies femmes seules peuvent corrompre! 430. — IIz-;6, 17z-;, z16-8, zzS, z4S~ 318,
341 3So, 4o i, 4z8, 43z-;. Voir Arthénice, Émire, Lélie, Lise, 2élie, etc.
FÉrrELON. 457, f07. —(80, 354, 4oSa 4zI, So8). Fernand. Voir Don Fernand.
Férocité. Férocité avec laquelle les hommes traitent d'autres hommes, 339.
Fêtes de cour. 84~ z4z~ 344-5
Feuillants. zlz, 4zo.

627 Fidéicommis. 43 z-3
Fidélité. C'est assez pour soi'd'un fidèle ami, 145.
Fierté. Un homme d'esprit, et qui est né fret, 164. — 3zI, 340•
Figures de style. ~0-1, 94-5, 37~•
Fille. J'ai vu souhaiter d'être fille, et une belle folle, depuis treize ans jusques àvingt-deux, I I z ; il échappe à une jeune personne de petites choses qui persuadent beaucoup, I 15 ; il y a un temps oû les ftlles les plus riches doivent prendre parti, I z8-~. — I 1 z-3, I28-9, 134-5, ISI, 397 4z3•
Financiers. Voir Partisans.
Finesse. La finesse dans la conversation, 15 5 ; l'an dit les choses encore plus fanement qu'on ne peut les êcrire, 177; la finesse est l'occasion prochaine de da fourberie, z49. Voir Érophile.
FLAMANDS. 41 G.
FLANDRE. 174, 2ô0.

Flatterie. mes cours ne sauraient se passer d'une certaine espèce
de courtisans, hommes flatteurs, complaisants, zz4; le flatteur n'a pas assez bonne opinion de roi ni des autres, 378. — a1-3, z56, z58, z74, z87, zgo. Voir Théodème.
FLÉCHIER. {7ô, 508).
Fleur. Une personne à la mode ressemble à une fleur bleue, 400. Voir Fleuriste.
FLEURIAU D'ARMENONVILLE. {181).
Fleuriste (Le). 393-4•
FLELJRIIS. (214, 278).
FLORIDOR. 271.

Foi (Bonne). Éloge de la bonne foi, discrédit du genre humain, 37G.
Foire. z 14, 3 8 B, 400.
Fo1x {Gaston de). 440.

Folie. La folie des guerres, 38S-9o; la folie de la mode, 3~3; faire une folie et se marier par amourette, c'est épouser Mélite, 4z4. — 136, 3z6, ;z8.
Fonds perdu. Le fonds perdu est devenu un bien perdu, 4z6. FONTAINEBLEAIJ. 302. ~-•- (273)•
628 FONTENELLE. (71, 77, 83, 89. 175. 456. 479. 483 493. foo). Forme, formalité, 4z9.
Fortune. Il est triste d'aimer sans une grande fortune, 139; on ne vole point des mêmes ailes pour sa fortune que l'on fait pour des c oses frivoles ei de fantaisie, 146; faire fortune est une si belle phrase, I 9o; il faut une sorte d'es rit pour faire fortune, 191; l'on blâmc les gens qui font fprtune, zz~; rl est diJficide que de toutes les pièces que l'on emploie à d'édifice de sa forturu, il nÿ en ait quelqu'une qui porte à faux, zzg; l'on voit des hommes tomber d'une haute fortune par les mêmes défauts qui les y avaient fait monter, 2; z ; l'homme livré à la cour et qui veut sa fortune, 241-z; ceux que la~ortune a comme accables de ses bienfaits, 3z7; la rapide ortune
des prédicateurs, 4i I. — Iz9, ISo-ZoS, z43, z48, zso,

ZSz. Voir Argent, Partisans, Richesses.
FoocQoET (Nicolas). (1;1, 18S).

Fourberie. z49, 3og. Voir Dévot, Érophile, Hypocrisie, Onuphre, etc.
FOURCROY (Bonaventure). 44S•
FRANçA1s. Un homme né chrétien et Franfais se trouve contraint dans la satire, 94; le caractère des Franfais demande du sérieux dans le souverain, z8S. --- Iz, 196, 197, z18. Voir Langue francaise.
FRANCE. 99, 175, 379 417 443> 495. So9, SIo.—(174, 213. 281).
FRANCINE (musicien). (83).
FRANCINE DE GRAND-MAISON. (430).
Fri ons. fe ne permets à personne d'être fripon, zoI ; i! faut des ~ipons à la cour, 237.
Froid. L'an dit de ces choses froides, 173 ; prêchez, faites de froids discours, 4S 1; les froids orateurs, 4S I
Frontin, le neveu déshérité. 3 3 z.
Fuir. Fuyez, retirez-vous, vous n'êtes pas assez loin, 190. — 16z.
Fulvie, qui condamne un livre sans l'avoir lu. 74.
FURETIÉRE. (213, 217).
FURLANUS. (17).
Futilité. Futilité de la mode, ;g~.
629
G

G..., qui s'est brouillé avec son voisin, IG7.
GAIGNIÉRES (François-Roger de). (39S)•

Galant. Une femme gui n'a qu'un galant crois n'être point coquette, IIG ; le magistrat coquet et galant est pire que !e dissolu, 428. — IIG-7, 132, 150, 215.
Galanteries. Ily a peu degalanteries secrètes, I I G.IIG-7, I i4.
GALLES (Le prince de). (z51, z8G).
GANYMÉDE. 418.
Garçon. Ce garfon sr frais, si fleuri, 187.
GAssENDI. {481).
GASTON (d'Orléans). (251).
GAULTIER (marchand). 217.
Gazette de Hadlande. 2I2.
Généalogie, 415.
Généraux. Ses généraux ne .vont, quoique éloignés de lui, que ses lieutenants, z94; les généraux victimes de la mode, 399; luxe de table des généraux en campagne, 433-4•
GENEST (L'abbé). 84.
Génies. 77, Io2-3.
GEORGE (Partisan). (185).
GÉORGIE. (2I ]).
Géronte, qui meurt intestat. ;; r.
GESVRES (Le duc de). {307).
GILBERT (Jeanne). (181).
GILBERT (Louis-Charles). (211).
GIRAUDOUX. (279).
Gitan, le riche. zo3-4•

Gloire. La ggloire ou le mérite de certains hommes est de bien écrire, et de quelques autres, c'est de n'écrire point, 9z; la fausse gloire, ;19; les hommes préfèrent la gloire â la vie, ;80.IoS, ZG7.
630 Glorieux (Le). zoo.
Glycère, secrète dans sa débauche. I; I-z.
Grsathon, l'égoïste, 33f-G•
GODEnU (Antoine). 4~6.
GOMBERVILLE. (441).
Gobtox ou GoMOIvr (Jean de). zoo.
GONNELIBU (Le Père). (449)•

Gourmandise. Voir Cliton, Gnathon.
GOURVILLE. (183, 202, 239.

Goût. Bon et mauvais goût en littérature, 69; il y a peu d'hommes d'un goût sûr, 6~; le goût des anciens, 70; celui qui n'a égard qu'au goût de ron siècle, 9f ; le centre du bon goût et de la politesse, 173; les princes ont un goût de com- paraison,. z67; talent, goût, esprit, bon sens, choses diffé- rences, non.incompatibles, 367. — 9f, fol.
Goûter. Les hommes ne se goûtent qu'à peine les uns les autres, 350; si on ne goûte point ces Caractères, je m'en étonne, q.87.
Gouvernement. Le conservatisme politique de La Bruyère, z7S ; il nÿ a. point de patrie dans le despotique, z7G; la science des détalls, ou la bonne administration, partie essen- tielle d'ixn bon gouvernement, z88-~o; il y a un commerce ou un retour de devoirs du souverain à ses sujets, zoo; image de la monarchie idéale, z91; le chef-d'æuvre de !'esprit, c'est de parfait gouvernement; zqz; que de dons du ciel ne faut-il pas pour bien régner? z93; les trois formes de gou- vernement chez lis enfants, 316-7; gouvernement et philosophie, 3 f f ; le gouvernement des maisons religieuses, 4z;; Richelieu a su tout !e fond et tout le mystère du gouver- nement, foq.
Gouverner..Une femme est aisée à gouverner, pourvu que ce soit un homme qqus s'en dontse la peine, Iz4; idy a bien autant de paresse que de faiblesse à se laissergauverner, 148. — 148-~, 1~0, zf7-8, 332: Voir Drance, Théophile.
Grâces. 378.
GRAMMONT (François Vedeau de). (IG7).
Grandeur. La fausse et la vraie grandeur, III; la grandeur artificielle et la grandeur naturelle chez les femmes, IIz; grandeur et discernement sont deux choses différentes, zS7; à quelques-uns !'arrogance tient lieu de grandeur, 309.
631 Grands. Des grands d'une Xépubdique, 5 2-; ; on ne prime point avec les grands, 168 ;les grands sont petits à la cour, 2zz; l'avantage des grands sur les autres hommes est immense par un endroit, zf4; les grands ne regrettent pas la perte de leurs meilleurs serviteurs, z56; pendant que les grands négligent de rien conrraitre aux affaires publiques, zG i ; le peuple n'a ggaère d'esprit, et les grands n'ont point dame, z6z; il est dangereux de se trouver complice d'un grand, z66; les grands ne doivent point aimer les premiers temps, z6g; si les grands ont des' occasions de nous faire du bien, ils en ont rarement la volonté, zzz; les grands admettent dans leur intimité les hommes à la made, 399-400; certains ne sont libertins que par imitation des grands,
461; les grands ne sont pas athées, ils sont indifférents,
462; un grand croit s'évanouir, et il meurt, 4~3• — 98'9.
z5z, 254-74~ 376 385, 415 433•
GRAND SEIGNEUR (Le). 281.
Grands hommes. Dans un méchant hamnre, id nÿ a pas de quoi faire un grand homme, 3 86 ; l'héroïque vertu der grands hommes a corrompu l'éloquence, 450. — 105-G, 3z7. Voir Æmile.
Gravité. Ou da gravité n est point, au elle est naturelle, ; Gz.

Grec (Le). Iÿ, 3S 5, 396, 448.
GR£CE. 8, ry, Ig, 48~ S4~ 7°~ 195•
GREC5. j, 5, II, 16, 19, zo, z6, 3z> 33~ 37. 39~ 40~ 42, 54~
87~ 352. 354, 371 372
Greffe. 4z 5.
Grossièreté. 3 U6.
Guerre. La guerre a pour elle l'antiquité, z77; ceux qui vont à la guerre en spectateurs, 38o-I; folie de la guerre, ;89- go. — IoS, z77-81, z8q-~o, 4z8, 5 z I-z. Voir Basilide, Dé- mophide.
Guerrier. Le guerrier ne fait pas le hasard, mais le prépare et semble le déterminer, 374•
GUILLAUME D'ORANGE. (281, 385-7, 391-z).
GUYON (Madame). (4zo).

632

H


H..., qui s'est brouillé avec son voisin, 167.
Habile homme (L'). L'honnête homme, l'habile homme et l'homme de bien, 367.
Habits, Io4, 321, 4O1> 4~3~ 439-4°•
Habitude. 143, 349.
Hâblerie_ 154-1. Voir Arrias.
Haine. 140, 143-4, 146, 147-8. s72, 3 z 1 ~ 3 3 z> 379-So, 416.
HALLES (Les). 173.
Handburg, écrivain au style vain et puézil. ~,}.
HARLAY (Achille de). 3S4• — (Io1, 161, zoo, z61, z68, 36z).
HARLAY (Mademoiselle de). (Io1).
HARLAY DE CHANVALLON Du CHAMYVALLON (MOriSelgnellr). 3S4• — (Io3, 269, 329 108).
Harmonie. L'harmonie la plus douce est le son de voix de celle que l'on aime, I 1 g ;l'harmonie du monde, preuve de l'exis- tence de Dieu, 47S-SI. — 188.
Hasard. Le hasard, aveugle et farouche divinité, pzéside au jeu, 199-zoo; le hasard élève certaines familles, zo3 ; le guerrier et le politique, non plus que le joueur habile, ne font pas le hasard, mais ils le préparent, 374; on ne peut expli- quer l'ordre du monde par le hasard, 471-So.
HAUTEFEUILLE (Étienne Texiez de). (231)•
Hauteur. zz4, z63-4. Voir Téléphon.

HÉBREUX. I I .
HECTOR. 261.

Hégion, fondeur. 175.
HÉMERY. Voir Esmery.
HENNEQuIN (avocat). (433).

HENRI II. (439)•
HENRI III, X174.,
633 HENRI IV. 174. - (2I0). Héraclite, le philosophe indigné. HERCULE. 46, 261. Hérésie. z88, z93, ;49. HÉRIGEBAL. I 7 f .
Hérille, qui a la manie de faire des citations. 371.
Héritage. 166, 198, 331-2, 409, 432-3• Voir Testaments. Héritier. i98-~, 215. Voir Astérie, Aurèle, Fausse, Frontin, Géronte, Mævius, Titius.
Hermagoras, l'érudit qui ignore sa propre époque. 174-f
— (3}.
Hermas, femme dévote. I24.
Hermippe, esclave de ses petites commodités. 434-5
Hermodore, auteur condamné par Anthime. 74.
Héros. La vie des héros a enrichi !'histoire, et l'histoire a embelli
der actionr des héror, 70; le héros, le grand homme, l'homme de bien, Iof ;les enfants des héros sont plus proches del'êtrequedesautreshommes,;84.—Iof-6, Ir8, 378-x,450•
HERVÉ (Charles). (167).
Heureux. Voir Bonheur.
H** G** (Le Mercure Galant). 8;.
HIPPOLYTE. 2I I .
Histoire. L'histoire a embelli les actions des héros, 70; l'histoire est établie sur des documents moises authentiques et moins véridiques que la religion, 464-f. — 81, fof.
HOLLANDAIS. (j ~ I ).
HOLLANDE. IOf, 174. -(279, 2â I, 391).
Homélies. Le temps des homélies n'est plus, 447•
HOMirRE. fz, 69, 70, 176, 195-6, 267, 495.
Hommes. Il n'échappe presque rien aux hommes, I 1 f ; les hommes guérlssentpar les faveurs que les femmes leur accordent, I1G; pourquoi t'en prendre aux hommes de ce que !es femmes ne sont ~as savantes,. I zG; les hommes sont cause que les femmes ne s aament point, I28 ;combien d'hommer ressemblent à ces arbres d~d farts et avancés, 186; les hommes com~osent ensemble une même famille, 26~; les huit ou dix mile hommes sont au souverain comme une monnaie, 2 0; ne nous emportons point contre les hommes en voyant leur
;87-8.


634 dureté, z96; sacbe~ précisément ce que vous pouvez attendre des hommes, et jetez-vous ensuite dans le commerce du monde, ;oG; les hommes ont tant de peine à s'approcher sur !es affaires, ;09; l'homme semble quelquefois ne se su~ire pas à sar-même, ; 3 0; !es hommes en un même jour ouvrent leur âme à de petües joies et se laissent dominer par de petits chagrins, 341; ils sont impossibles à contenter, 344 l'homme, qui est esprit, se mène par les yeux e1 les oreilles, 347; les hommes ne se goûtent qu'à peine les uns les autres, ;So; un homme à la mode dure peu, 399; l'homme est né menteur, 464; les Caractères expriment l'homme en gégéral, 498-9. Voir Femmes.
HONGRIE. 174.
Honnête homme. L'honnête homme, l'habile homme, l'homme de bien, ;G7. — 100, 115, zo1, zzz.
Honneur. Les hommes aiment l'honneur et da vie, ; 80.
Honte. Parchemins inventés~our faire souvenir au pour convaincre les hommes de leur ~arole, honte de l'humanitê, 310; il y a une espece de honte d ëtre heureux à la vue de certaines misères, ;z3; les maris qui ont honte de leur propre femme, 4z4. Voir Rougir.
Hôpital, 4z6.
HORACE. 70, 9S, 448 495 So6. — (68, 82, 131,
Horace, tragédie de Corneille, 88. Horoscope, 437•
HÔTEL DE VILLE. 2I;.
HOZIER (LeS d'). 415.
HusT (Pierre-Daniel). (508).
Humanité. Hommes en place, ministres, favoris, ayez de la
vertu et de l'humanité, z87.
Humeur. 7z, 94, 305 3~7•
HUMIÈ,RES (Le maréchal d'). (434)•
Humilité. La fausse humilité, 319-zo; l'humilité, vertu sur-
naturelle, distinguée de la modestie, 3 zo.
HURONS. 24 f .
Hyacinthe, clui a eu le gros lot. zzz.
HYMETTE (MOnt). 27.
Hypocrisie. zzz, zig-6, zGB, z7o, 34z, 406, 41I-z, 466-7. Voir Dévot, Dévotion, Onuphre, Zélie, etc.

z97)-



635

I

IdlotS. I 2S.
Ignorance. C'est la profonde ignorance qui inspire le tan dog- matique, 177; l'ignorance forme à la cour et â la ville un nom- breux pardi qui l'emporte sur celui des savants, 3 5 3. — I z6-7, z61.
ILE {Cité, île Saint-Louis). z 1 z.
Imagination. Il ne faut pas qu'il y ait trop d'imagination dans nos conversations ni dans nos écrits, ~ 59. — ;63.
Imitation. L'imitation des anciens, 70, 81-;; je conseille à un auteur né copiste, 94. — x I G.
Immortalité. L'âme est immortelle, 45 8> 474•
Imppertinence. Défaut d'esprit et de jugement, principe de toute impertinence, 159; l'impertinent est un fat outré, 365. — i;-4> 19S> 3z6, 348, 365-7•
Impolitesse. Voir Incivilité.
Important. Le suffisant, l'important, l'arrogant, ;67. 18;. Voir Celse, Cimon, Clitandre.
Impudence. 35-6, 2;;. Voir Mopse.
Impunité. Voir Typhon.
Inaccessibles. Il y a des hommes nés inaccessibles, z6;.
Incivilité. 258, ;05.
Incommode. D'un homme incommode, 4S.
Incommoder. Le plaisir d'incommoder les autres, z6;.
Incompatibles. Id y a de certaines versus incompatibles, 166; talent, goût, esprit, bon sens, choses différentes, non incompa- tibles, ;G7. — 150.
Inconstance. r17, 342-3> 343-6> 348-9 4O2> 4~4> 431• Incontinence. Les dévots ne connaissent de crimes que l'incon- tinence, 40 5 .
Incrédulité. Voir Esprits forts.
INCURABLES. (426).
INDES. 39G, 468.
636 Indifférence. L'on suppose un homme indifférent, 1;0; indiflé- rence des hommes ppour la vertu, z~G; indifférence des grands en matière de religion, 4Gz. — 140. Voir Émire, Xuffin.
Indiscrétion. 178.
Indulgence. 145+ 310•

Inégalité. Inégalité d'humeur et de caractère, z~8, 341,
34 S -6 ; !'homme du meilleur esprit est inégal, ; 43 ; une cer-
taine inégalité entre les hommes est voulue par Dieu,

485-6. Voir Adraste, Euthycrate, Théodas.
Infatuation. 156, 3zo. Voir Fat.
Infidélité. 117.
Infirmité. ;; z.
Infortune. Les hommes semblent être nés pour !'infortune,
Ingrat (au sens d'insensible). 1;~. Ingratitude. 140, 144, zg6. Voir Gérante.
Injure. Le commun des hommes va de la colère à !'injure, 305; les injures lancées contre La Bruyère par les Théobaldes, 493-4• — 148•
Injustice. Faire attendre la justice, c'est injustice, 376; nous appelons à Dieu de l'injustice des hommes, 46;; injus- tice apparente ici-bas, 484-5• — 4oS. 4z7•
Innocent. Un innocent condamné est l'affaire de tous les honnêtes
gens, 4z~.
INNOCENT XI. (;88).
Innover. z76.
Inquiétude. ;1 z.
Insectes (L'amateur d'). ;g8.
Insensible. Une femme insensible est celle qui n'a pas encore vu celui qu'elle doit aimer, 1;4. Voix Émire, Ingrat.
Insinuants (Hommes). 224-5
Instabilité. z~7. Voir Duthycrate, Inconstance, Inégalité.
Instruction. D'une tardive instruction, S 3-4; on ne doit parler, on ne doit écrire que pour !'instruction, 61; il faut que les murs du théâtre soient décentes et instructives, 86; impor- tance de la première instruction, 34G. -- 79, 9S, 348. Voir Éducation, Langues, Textes.
637 Intérêt. L'on se couche à la cour et !'on se lève sur d'intérêt, zz7; l'intérêt réunit les familles reputées irréconciliables, z44; tout prospère dans une monarchie où l'on confond des intérêts de l'État avec ceux du prince, z9o; le prêt à intérêt, 4zS; l'intérêt de la religion, 466. — 1x8, 146, 1 S o, 197, zz;.
Interprétation. Contre toute interprétation maligne des Caractères, 62-;, 497-~; mauvaise Interprétation des livres en général, 7i-4; l'interprétation des testaments, 4i0.
Intrigant. z S 7. Voir Théophile.
Intrigue. z S o.
lphicrate, calomnié par un grand seigneur. 246.
Iphis, l'homme efFéminé. 402-3.
Irène, qui a peur de la mort. ;1I-z. — (41).
IROQUOIS. 24S .
Irrésolution. z98, 431.
Ismène, chez qui on joue. Iz;.
ITALIENS. j 9 f , 41 G.
ITALIENS (COmédlen5). (24z}.

J

JACQUES II (roi d'Angleterre). SIo. — (zS8, z8G, 328,
385, 387, 388}.
JACQUIER (Conseiller). (zI I).
JACQUIER munitionnaire). z 14.
Jalousie. La jalousie entre auteurs, 7z; jalousie et déli- catesse, 141; jalousie pour les grands et les gens en place, 27z; la jalousie opposée à l'émulation, 324-5. — I17-8, 133, 138, IS1, 165. 333. 4So-1.
JANSÉNISTES. (91, 213}.
JAPON. 468, 478.
Jargon. Le jargon chez Molière, 80; le jargon galant et précieux, 172-3; le jargon de la dévotion, 408, 41 I. Voir
Acis.
Jason, qui se ruine. z1o.
JEANNE D'ARC. (416}.
638 JÉROME (SAINT). 5 ~ ~> 464•
Jésuites. 495. — (71, 91).
Jeu. L'on dit du jeu qu'il égale les conditions, 199; rien de si grave et de si sérieux qu'une table de gens qui jouent un grand jeu, 199-zoo; les brelans publics,- zoo-i; mille genr se ruinent au jeu et vous disent froidement qu'ils ne sauraient se passer de jouer, xo I ; la vie de la cour est un jeu sérieux, mélan- colique, z4z; id y a un jeu dans !a conduàte, on a commencé, il faut fanir, 330; l'esprit du jeu, 368; le jeu met un homme à la mode, 400; la cadette n'a point d'autre vacation que le jeu de son père, 4z3; la prédication est devenue un jeu, 44S• — 11, Iz7, 330> 374• Voir Ismène.
Jeune personne. Voir Fille.
Jeunesse. Quand on est jeune, souvent on est pauvre, 191; jeunesse du prince, source des belles fortunes, z38; les jeunes gens de la cour sont durs, féroces, sans politesse, z45 ;chez certains, la jeunesse est très différente de la maturité, 3z9; peu de gens se souviennent d'avoir été jeunes, ; 3 z ; le souvenir de !a jeunesse est tendre dans !es vieillards, 3 34; le jeune homme qui épouse une vieille Femme, 4z4-5 • — 118, 198, zoo,
z46~ 3 13-4 3 3 S~ 3 8 5
J011ELLE. 8 I .
journal amoureux (Le) . z 15.
Jugements. Diversité et variation des jugements en matière esthétique, 3S1-z; il ne faut yas juger des hommes sur une seule et première vue, 360; il faut juger des personnes en appliquant la règle de Descartes, 36S• — 349-9z pasrim.
Juges. Le devoir des juges est de rendre la justice, leur métier, de la différer, 4z7; les juges corrompus par les femmes, 4.30; Dieu, seul juge en sa propre cause, 46z. — 4z7-~.
JUIFS. 4z.
JUPITER. 134, 261.
JUPITER (La planète). 182, 226.
Justesse. II faut chercher seulement à penser et à parler juste, 67; justesse d'expression et justesse d'esprit, 71-z.
Justice. Justice et religion, 4z8; la justice est le seul état ppour lequel aucun apprentissage ne soit exigé, 4z8; les erreurs judiciaires, 4z9; toute justice est une conformité
à une souveraine raison, 485• 376 4z7-3o•
JUVÉNAL. 506.

639
INDEX


L

L... (Mme). 1 3 3.
LA BOISSIÉRE (Le Père). (449)•
LA BOYNE. (281).
LA BRUYÉRE (GCO{ffOj7 de). 417.
LACÉDÉMONE. j O.
LA CHAMBRE (L'abbé Cureau de). job.
LA CHAMBRE (Marin Cureau de). (5, Sog).
LA COMBE (Le Père). (4zo).
LA COUTURE. 2 j 2.
LA FAYETTE (Madame de). (z1;).
LA FERRIÉRE (Madame de). (131).
LA FERTÉ (La maréchale de). (I I ~, I z I).
LA FEUILLADE (Le maréchal de). (z39, z6o, 3x8).
LA FONTAINE. 35 j, 368, SoG. — (61, 78, 81, Io7,
z96> 374, 389)•
LAGUS. ~.

LA HAYE. (281, 391)•
Laid. Si une laide se faàt aàmer, ce ne peut être qu'éperdument, 14z ; il ny a rien qui enlaidisse certains courtisans comme da présence du prànce, zz3; un homme gui a beaucoup de mérite et d'esprit n'est pas laid, 36z.
LAIS, 40;.
LA LOUSÉRE (Simon de). SIz-;.
LALOUETTE (Le Père). (419).
LAMARTINE. (177}.
LAMOIGNON (Chrétien-François de). 354-5•
LAMOIGNON (Le premier président de). 3S4-S. — (68, 77).
LAMOIGNON DE BAVILLE (Nicolas de). 3 54-3
LA Morx~ (Le Père de). (4zo).
LANCL~E. (zz4, 397)•
Langue française (La}. 81, ~z, 379-80, 44o-z.
583













z13, zz3,


640 Langues (Les). Les langues sont !a clef ou !'entrée des sciences 3 S S ~ la langue de la dévotion, 41 I ; l'on ne pcut guère
charger l'enfance de la connaissance de trop de langues, 438. 396, 438, So8.
LA RocxE (Le Père de). (448> 449)•
LA ROCHEFOUCAULD. 15. (97, IIrI, 133, 13$, 141, 14.2, 143,
ISo, 167, 1G9, 17x> 213, x49> xSo~ xSS> 318, 319, 321 37~, 380).
LA SERRE (Puget de). 494•
Latin (Le). 3 5 S> 396, 448, So6.
LATIN$. 3 7 I .
LAUGEOIS (flriariCler). (Iô$, 416).
LAURENT. 443
LAUZUN (Le duc de). (xS I, z86, 3z7).
La Verdure, laquais de Ménalque. 304.
I,éandre, qui fait des présents au mari de sa maîtresse. 13x.
LE BAsQuE (danseur). (I xo, 3 S 3)•
LE BRET. (290).
LE BRUN. z67.
LE CAMUS (Les). (182, 4.15}.
LE CAMUS (Le cardinal). (I 8 x).
LE CAMUS (Le lieutenant civil). (430).
LECLERC DE LESSEVILLE. (x I0).
LE COIGNEUX (Le président). (z I I).
Légèreté. La légèreté chez les femmes, 117, 139; la légèreté des grands, x73-4; les hommes en un sens ne sont point légers, z~6. — 14z, 3 S~, 4oz, 404, Voir Inconstance, Inégalité.
Légistes. Légistes, docteurs, médecins, quelle chute pour vous si nous pouvions tous nous donner !e mot de devenir sages l 3 S I
Lélie, amoureuse de l'acteur Roscius. I IcJ-xo.
LE MAITRE OU LEMAISTRF. (AntOlne). 44S
LI? NORMAND (Le partisan). (18;).

LE NOTRE. 47 S • — (394)•
LÉON (SAINT). 464.
LÉOPOLD IeY (empereur}. (;88).
641 LE PELLEITER (LeS FTÈICS). (ION).
LERIDA. (I06}.

LE Rocxols (Marthé). z14• — (3 S 3)•
Lesbie, qui a la passion des charlatans. 437.
LESBOS. G, 7, 8.
LESCLACHE (Loin$ de}. 2I;.
LE SENNE (René). (377}.
LESTROT. (;; z).
LE SUEUR (Eustache). (303).
LE TELLIER (Charles-Maurice). (ro;, 187).
LE TELLIER (~aCques). (42S}.
LE TELLIER (Michel}. (37f}.
LE TOURNEUR Oü LE TOURNEUR (L'abbé). (446}.
LEUCIPPE (maYtre de Théophraste}. 6.
LEUCIPPE (disciple de Zénon}. 6.
L... G... (Le palais). 3~7.
LIBAN. 202.
Libéralité, 144, 3 i4.
Liberté. La liberté n'est pas oisiveté, ;83; liberté, c'est choix, 48 S : — 146, 3 8z-;.
Libertins. Les courtisans, anciennement libertins, sont devenus dévots, 403-4; il y a des hommes qqui attendent à être dévots et religàeux yue tout le monde se dëclare imfiie et libertin, 4S9-6o; les libertins qui ne sont tels que far imitation des grands, 461; les libertins et les hypocrites â la cour, 466-7; qui n'a pas sous sa main un libertin à réduire ~ 468. — 404, 46o-z, 496. Voix Esprits forts.
Lieux. Ily a des lieux que l'on admire, 1 S 1; l'on dépend des lieux pour l'espràt, z j I ; lieux communs dont s'est abstenu La Bruyère, 4~z.
LIGNON. 47 f .
LINGENDES (Le Père de). 344•
Lire. Le grand ministre qui dit qu'il ne lit jamais, 31~-io.
Lise, la coquette qui ne veut pas vieillir et qui imite les jeunes. I14, 128.
642 Livre. C'est un métier que de faire un livre, 67; id reste à peine assez de pages pour mériter le nom de livre, 68; les trois sortes de lecteurs d'un même livre, 79; si les pensées, les livres et leurs auteurs dépendaient des riches, Igs ; l'amateur de livres, 39G; le discours comparé au livre, 455-x• — 73-4• Voir Dioscore.
Livrée. z39, zG4.
Livres. II a cinquante mille livres de rente, 181; le plus ou le moins de mille livres de rente se trouve écrit sur les visages, 1 ~ S .
L. L**, traducteur de motets. 41~.
Logique (La). 8~.

LOIRE. 39 S
LOISEL (L'abbé). (407).
LONGEPIERRE. (8~).
LORANGi"sRE (Quentin de). (#~f).
LORENZANI (Ÿa010). 41 I. — (41 ~).
LORGES (Le maréchal de). {zS t).
LORRAINE (Le duc Charles de). (; 8G).
LORRAINS (Les princes). zz6.

Louanges. Amas d'épithètes, mauvaises louanges, 70; nous louons ce qui est loué, bien plus que ce gui est louable, 3 S o; nous affectons souvent de louer des hommes assez médiocres, 370; tissu de louanges dont on charge la prédication, 4So. —164, z 3 0-1, z S 8, zG6, z74~ 3 18 ~ 3 S o~ 491 ~ 493 • V oir Éloges.
Louis XI. (z7~).
Louis XII. (za7).
Lou1s XIII. Soi. — (zG4).
Louis XIV. Éloge de T.ouis XIV, z93-S éloge de Louis XIV, protecteur de l'Académie française, S ro-z. (toi, Io7, Ion, no, z14, zz4, zSI, z61, z64, z7o, z79,
z8g, 344, 383, 386, 387> 399 4z3~ 446 495 Soo).
Louvois. (IOI, Io3, tog, 18z, z39> 319 375 463)•
LOUVRE. Celui gui, logé chef soi dans un palais, vient coucher au Louvre dans rrn entre-sol, IIo. — 17z, z1~, zzS, 301.
LUGAIN, 174.
LUCIEN. 176. —{17S).
643 Lucite, qui aime les grands et dédaigne ses égaux, zf7; qui doute de la véridicité de l'Évangile, 4G4-f; le libertin que La Bruyère va convaincre, 474-81. 483-4•
LUCRÈCE (illustre Romaine). z61.
LucRÈCE (Le poète). 448• — (481)•
LULLI (Jean-Baptiste). Io3, z67. — (83, z1f).
LULLI (Jean-Louis). (8;).
LULLI (Louis). (83).
Lune. 47 f -6, 48 3.
Luxe. Le luxe des Partisans, 180, 184-6, zoz; le luxe des bourgeois parisiens, z1~-zo; le faste et le luxe dans un souverain, z~1; le luxe de table des généraux en câm- pagne, 433-4•
LUxEMBOURG (Jardins du). (z14).
LUxEMBOURG (Palais du). 397.
LYCAON. 3 8 7.
LYCÉE (LE). 492.
LYCON. 31.
LYSANDRE. 30.

M

MABILLON. (IOf).
MACÉDOINE. 9, j I, 48.

Machines. Les machines de théâtre, 83-4, 187; la machine, image du sot, 343.
Mavius, le légataire universel. 43z• Magie. 437.
Magistrat. Le magistrat coquet ou galant est jure que de dissolu, 4z8; où est l'école du magistrats 4z8; magistrats de conni- vence avec les voleurs, 430; magistrats corrompus par les femmes, 430; magistrats influencés pax la faveur, 430• — 197, zoé, zoo, z11, 4z8.
MAIMBOURG (Le Père): (94).
MAINE (Le duc du). 3S4•

644 MAINTENON (Madame de). (Io4, i18, 156, az;, zBS, 410). Maîtres. ;16-7.
Mal, maux. Il y a de certains maux dans la république, z76; il y a des maux effroyables et d'horribles malheurs oû l'on n'ose penser, ;11; fout notre mal vient de ne pouvoir être seuls, ;zg; le problème du mal sur la terre, 4g4-
Maladie. 4zx, 4Go. —Voir Infirmité, Irène, Médecins.
MALEBRANCHE. (Sz, 32;).
MALHERBE. 80, 81, 92. - (70, 44i).
Malheur. Êtes-vous fou d'être malheureuxZ 170; l'on court les malheureux pour les envisager, z36; il nÿ a pour l'homme qu'un vrai malheur, qui est de se trouver en faute, 341. — 14;-4,
z44> 311 3z3~ 341> 377•
Malhonnête. I/ est difficide qu'un fort malhonnête homme ait
assez d'esprit, ;oG.
MALTE, 4G.

Manières. Il nÿ a rien de si simple oir il n'entre des manières gui nous décèlent, Io8; les manières sont souvent ce gui fait que les hommes dêcident de vous en bien ou en mal, I G3 ;les manières polies donnent cours au mérite et le rendent agréable, 164. 307, 354. Vois Affectation.
MARAIS. 2I 2, 3 3 8.
Marâtre. IGG-7.
MARC AIJRÉLE (empereur). ~; 5 f ).
MARCELLUS (M. Claudius). 4~;.
Marchands. Deux marchands étaient voisins, 181; le marchand fait der montres, 1~z.
MARDO KEMPAD. I 7 5 .
Mariage. Le mariage met tout le monde dans son ordre, Io;; ily a tedle femme qui anéantit ou qui enterre son mari, 133; un mari se repent au moins une fois le jour d'avoir une femme, 1; 3 ; mariage d'un riche vieillard avec une toute jeune fille, 197; le mariage est souvent un lourd fardeau, 197; quedle mauvaise honte fait rougir un homme de sa pro~re femme, 4z4; un jeune homme qui épouse une viellle femme, 4z4-5 ; les maris c~ui tournent la loi sur les tes- taments, en faveur de leur femme, 43a-;. — 116, i2a, Izg, 1;1-G, IGG, 4a4-S•
645
INDEX

MARIE DE MÉDICIS. (I f4). Marionnettes. 84.
MARIUS. 434•
MARLY. f00. —(344)•
MARNE. 20G.
MAROLLES (L'abbé de). (39S). MAROT. ôI, 82, 443, fOG. Masques. 342, 4GG.
MASSÉ (Mademoiselle). (; f;). Matamore. 403.
MATHAREL. (j77)•
Matière. Celui qui excelle dans une matière txe doit pas se croire universel, ;] 1; esprit et matière, 471-4.
Maturité. Chez certains hommes, la maturité est très= diffé- rente de la jeunesse, ;2~. --= ;13-4
MAUROY (L'abbé de). (2~8, 331).
Maximes. Ce ne sont point au reste dcs maximes que j'aie voulu écrire, G4.
MEAUX. 4S 3.
Méchant. Dans un méchant homme, i1 nÿ a pas de quoi faire un grand homme, 386; les méchants prospèrent pendant qu'ils vivent, 484. — 147, 230.
MHCxELsoURG (Le prince de). (2I_;).
Médailles. Amateur de médailles, 394-f

Médecins. Légistes, docteurs, médecins, quelle chute pour vous, si nous pouvions tous noris dormir le mot de devenir sages ! 3 f 1; tant que les hommes pourront mourir et qu'ils aimeront à vivre, !e médecin sera râr lé et bien pgyé, 43 f : --- 43 f-7. Voir Charlatans, Irène.
MÉDES. I 7 f .
Médisance. f 4-f, 1 f z.
Mélanie, qui condamne un livre sans l'avoir lu. 74.
Médinde, qui ne parle que de sa santé. I f;.
Mélite, la jeune fille accomplie, mais qui n'est pas riche, 424•
Mémoire. L'on se plaint de son peu de mémoire, 31g; grands
589









646
efforts de mémoire que s'imposent les prédicateurs,

4S7• — 31S•
MÉNAGE. (26~).

Ménalippe, qui chasse pour être â la mode. 2I I.
Ménalque, le distrait. z~8-3o5. — (;8).
MÉNANDRE. G.
Ménandre, plaideur. 2I I.
MÉNÉDÉME. 7.
MENESTRIER (Le Père). (394}.
Ménippe, l'oiseau paré de divers plumages. Ion-Io.
Ménaphile, le courtisan hypocrite. z35-6.
Mensonge. 117, 149> 249> 346> 464•
Mépris. Dieu veuille qu'il en vienne jusqu'à ms mépriser ! I ~ 5 ;
mépris du monde pour les sciences et les belles-lettres,

3f3-S> 497> Soq. z31-2, 258, 3zz-3> 340
MERCURE. j 6, 261.

Mercure, valet de chambre. 3 S 7•
Mercure galant (Le) . 8 3 , z 1 z, 494, S o 1.

Mérite. La gLoire ou le mérite de certains hommes est de bien écrire, et de quelques autres, c'est de n'écrire point, gz; qui peut, avec !es plus rares talents et le plus excellent mérite, n'être pas convaincu de son inutilité 7 ~6; personne presque ne s'avise de lui-même du.mérite d'un autre, 97; le motif seul fait le mérite des actions des hommes, 110 ;les hommes et les femmes conviennent rarement sur le mérite d'une femme, II2; tout ce qui est mérite se sent, 168; un homme de mérite se donne un jodi spectacle, z39; un homme gui a beaucoup de mërite et d'esprit n'est pas laid, 36z; du même fonds dont on néglige un homme de mërüe, !'on sait encore admirer un sot, 365 ; le mérite a de la pudeur, 367; une personne à la mode et une personne de mérite, 400. — ~6-III, 115, Izg, 133, ISo, z15-6, zz~> 230> 232> 248, 250> 2S7> z6f> 321> 349, 370
MER 1~lOIRE. (217).
MESMES (Jean-Antoine de), (zog).
MESMES (Le président de). (zoo, 430).
Messadine, ma?tresse de l'acteur Roscius. I I g.
647 Métier. C'est un métier que de faàre un livre, 67; da cràtigue n'est pas une science, c'est un métaer, 93-4; !e héros est d'un seul métier, IoS; quelques-uns ont fait dans deux jeunesse d'appren- tissage d'un certain métàer, I s I ; il nÿ a aucun métier gus n'ait son apprentissage, 428; le métàer de !a parole ressemble en une chose à celui de la guerre, 451. — ~8.
MIGNARD (Nicolas). (Io;).
MIGNARD (Pierre). IO2-3.'— (267).
MILTIADE. 434.
MINGRÉLIE. 2I 7.
Minimes. z I z.
Ministres. due d'amis, que de parents naissent en une nuit au nouveau ministre / 238; hommes en place, ministres, favoràs, ayez de da vertu et de l'humanité, z87; le ministre qui dit qu'il ne lit jamais, 31~-zo; les ministres victimes de la mode, 3q~. — z38, z6o-I, z88, 3SS~ 375 38z, SIz. Voir Crassus, Plancus, Plénipotentiaire, Richelieu.
Misanthrope. Voir Timon.
Misérables. 160.
Misères. Id y a des misères quà saisissent le csar, i ~ 3 ; il y a
une espece de honte d'être heureux à la vue de certaines misères,
3z3; les misères secrètes que l'on peut soulager, 468.
323
Missions. Les missions, preuve de la vérité de la religion chrétienne, 467-8.
Mode. La mode de la dévotion, Iz;; folie des modes, 393 les généraux, les ministres et les sermonnaires sont vic- times de la mode, ;~g; un homme à da mode dure peu, 399; mode, vertu et mérite, 399-400; une personne à da mode res- semble àune fleur bleue, 400; la succession rapide des modes, 4oz-3; les courtisans affectent la dévotion pour suivre la mode, 404-12 — 393-41 z. Voir Amateur, Eustrate, Iphis, Tigildin.
Modération. 3 8 5 .
Modernes. Nous, qui sommes si modernes, serons anciens dans quelques siècles, I I ; d'on ne fait que glaner ap~es les anciens et les habiles d'entre les modernes, 67; querelle des anciens et des modernes, 7o-I. Voir Anciens, Cydias.
Modestie. La modestie est au méràte ce que !es ombres sont aux
648 figures, I00-I; la fausse modestie, 31Cj-zo; modestie et humilité, ;zo; la modestie affectée des princes, 415.
Ioo-I, Itz, I25, z33, 268, 286,;IS-zi, 3z4> 341
Moeurs. Il est difficile d'écrire des mcEurs, 3-5 ; meurs modernes ajoutées aux Caractères de Théophraste, 14; ce n'est pas assez que les murs du théâtre ne soient point mauvaises, i1 faut qu'elles soient décentes et instructives, 86; !es traits découvrent la complexion et les murs, 1 ~ 5 ; tout est étranger dans l'humeur, les tuteurs et les manières de la plupart des hommes, 307; le spectacle de la diversité des moeurs, cause d'irréligion, 45 g; les bons ouvrages de tuteurs sont détestés des Théobaldes, 494-5•
Moine. Le moine confesse pendant que !e curé tonne en chaire contre le moine et ses adhérents, 4zo.
MOISE. 70.
MOLIÉRE. 80, z4z, 3 S 5 • — (6, 61, 67, 74, 76, ~z, 97, 1 Io, 117, ISS> Ij9> 17z> 173> 18H> 194> Z13> z39~ z37> 27C~ 296>
306 333 336 344> 34S> 347> 401, 406-9, 417> 433. 436> 44S)•
Mollesse. 14S> 33z, Voir Phidippe.
Monde (physique). Si le monde dure seulement cent millions d'années, 384; idy a deux mondes, 468;1'haxmonie du monde est une preuve de l'existence de Dieu, 475-81; le monde entier est la moindre chose que Dieu ait fait pour !'homme,
48z.
Monde (social). Le sage quelquefois évite le monde, 179; l'on ne peut se ~asser de ce mëme monde que l'on n'aime point, zo6; la comédie du monde, z 5 z; qui a vu la cour a vu le monde, z 5 3 ; sachez précisément ce que vous pouvezz attendre des hommes, et jetez-vous ensuite dans le commerce du monde, 306; le monde social opposé à la nature physique, 384•
MONNEROT (financier). (160, 184),
Mohs. (;gz).
MONSIEUR. Voir Ordéans.
MoNTAIGNE. 82, 16z-3. — (68, 95, IOS, I07, 231, 248, 275,
z77> z86> 305, 313, 315> 319, 347> 374, 4z9> 453, 469)• MONTAURON Ou MONTHORON (ÎlnanCler). 131.
MONTAUSIER (Le dUC de). 354.
MONTCHEVREUIL (Madame de). (410).

649 MONTDaRY Oü MaNI)aRI (COmédlen). 271.
MONTEREAU (Garnier de). (2I 2).
MONTESPAN (Madame de). (311).
MONTESQUIEU. (245, 276, 3S8).
MONTMORENCY (Famille des). zz6.
MONTPENSIER (Mademoiselle de). (z 5 I).
MoNTREVEL (Le margUl3 de). 379.
Mopse, l'intrigant. IoB.
Moquerie. La moquerie est souvent indigence d'esprit, 169,
;21-z.
Morale. La morale relâchée, 449-So. Voir Caractères de La Bruyére, Instruction, Murs.
MOTtEAU (Mademoiselle). (353)•
MORIN (joueur). (aoo).

Mort. Si certains morts revenaient au monde, 186; le sot ne meurt point, 34;; d'on gagne à mourir d'être loué de ceux qui nous survivent, i73 ; il faut vivre comme on veut mourir, 460; toute plaisanterie dans un homme mourant est hors de sa place, 460; la mort des grands n'apprend rien aux hommes, 463; si Dieu avait donné !e choix ou de mourir ou de toujours vflJre, 469• — 9~ 39. SS, 96, Ioo, III, I14, Izf, 134 142, 147, I f o, 184, 189, 192, 194, 198-9, zo;, za8 z3 S ~ 239 z74~ 278 307 312-4 317-8 331-2, 337-39 341 3S6> 412 422 423 431 435-7 460, 469•
MORTAGNE Oü MORTAIGNE. 498.
Mots. Diseurs de bons mots, mauvais caractère, 247; !a même chose est souvent un bon mot et une sottise, 366; c'tst souvent hasarder un bon mot yue de le donner pour sien, 371-z; fortune de certains mots et disparition de certains autres, 44o-z.
328, 460.
Musique. La médiocrité y est insupportable, 68; diversité des jugements portés sur une même musique, 3 31-z; toute musique n'est pas propre à louer Dieu, 46 S • — 84-5
Ioz, 368, 419.
650

N

N..., la femme dont la coiffure passe de mode. 4oz.
N**, qui joue à l'important, 18z; qui arrive avec grand bruit, zz3 ; que la disgrâce n'a pas instruit, z43 ; qui s'est fait l'intendant des pauvres, ; 31; le vieillard qui fait de vastes projets, 337-8.
Naissance. Ioz, 177, ISo, zS9~ 314•
Namur. (;81).
NANTES (Révocation de l'édit de). (z88, zy;, 45 z).
Narcisse, le mondain ponctuel. zIz-3.
Nation. 307.
Nature (humaine). La nature humaine est toujours la même, 1; ; les avantages d'une heureuse nature, I 1 z-; ; la bonté de notre naturel, 15 i ; La Bruyère a peint la nature humaine
498-99•
Nature (physique). Elke est indifférente aux gens de la ville, z16; le monde social opposé â la nature physique, ;84; tout est grand et admirable dans la nature, 48;
Naturel (Le). Le goût des anciens pour le simple et le natu- rel, 70; combien d'art pour rentrer dans 1a nature 1 363. — 86-7, II2-I14, 345 3~1-z~ 384•
NÈGRES. I z.
NEMBROT. I 7 5 .
NÉPOTIEN. 5.
Nérine, choriste. ; 5 z.
Neutralité. 1 z7.
NEUVE (RUE). 39S•
Nicandre, qui veut se remarier. 178-~.
NICÉE (Concile de). S o5.
NlcoLnl (Le président de). (41 G).
NICOLE. (8z).
Nnws. 175.
651 NINYA$. I ] f .
NoAILLES (MOI1Selgneur de). (; f 9).
Noblesse. La noblesse oblige à la bravoure, z67; la noblesse de province, 339-40; la noblesse s'achète, 413; réha- bilitations et lettres de noblesse, 413`4; il .rugit de n'être point né dans une ville, mais sous une chaumière four être cru noble sur sa parole, 41 f ; chacun cherche à s'élever dans la hiérarchie nobiliaire, 41 f ; le besoin d'argent a réconcilié la noblesse avec la roture, 416; â combien d'cnfants serait utile !a !oi gui déciderait que c'est le centre qui anoblit! 41G; il nÿ a rien d perdre à erre noble, 417; la noblesse de.La Bruyëre, 41 j; si la noblesse n'est pas vertu, c'est peu de chose, 417. — zz6-7, z66, 339-4•
Noces. z 1 ].
NOESNEMORDACH. I ] f .
Nom. De bien des gens il nÿ a que le nom gui vade quelque chose, g6; il nÿ a point au monde un si enible métier que celui de se faste un grand nom, c18; si l'on~nt quelquefois de ne se pas souvenir de certains noms, 173; noms profanes choisis par les grands, z6o-I; certaines gens portent trois noms, 41G; noms que l'on transforme ou que l'on abandonne, 416; les noms employés par La Bruyère dans les Caractéres, 499. — 68, zzG, z; z, z f z.
NONETTE. (47S).
NOUVEAU (JérÔme de). (2I I).
Nouveauté. z7~, 349•
Nouvellistes. 3o-z, 78, If6, z6~. Voir Basilide, Celse, Démophile.
Nov1oN (Le président de). 3 S4. — (131, 4z]).

O

Obligations. 4z f .
Obscurité. L'obscurité dans les poèmes dramatiques, 69; lesgrands esprüs trouvent obscur ce gui est obscur, 79; l'obscu- rité précieuse; 1 f;-4, 1 ]0-1 ; obscurité dans les sermons, 448-9• —Situation de celui qui est perdu dans la foule,
97. 38f•
652 5 96 INDEX
Obstination. 348.

OCCIDENT. I t~9.
~dipe, tragédie de Corneille. 88, Soi.
Offices religieux. ¢1~, ¢zI-z.

OGIER Ou OGER LE DANOIS. 443.
Oiseaux. L'amateur d'oiseaux, 397-8.
Oisiveté. La liberté n'esi pas oisiveté, ;83.
OLIVIER. 2~I. - (443).
OLIVIER LE DAIM. 279.
OLONNE (La duchesse d'). (I19).
OLONNE (Le comte d'). (jj6).
ONs-EN-BRAY (Madame d'). (Ijz-g). Voir Bauquernare.
Onuphre, premier nom d'André, zlz; le faux dévot, 4o6=Io.
Opéra (L'). Sj-¢, Iz¢, z15. — (430)•
Opinion. jzz.
Oraison funèbre. 4S z.
ORANGE. VOlr Guillaume.
Orante, plaideuse, 4z6.
Orateur. Les orateurs sacrés, victimes de la mode, j~~; la principale partie de l'orateur, c'est la probité, 4z~; l'ora- teur cherche un évëché, l'apôtre fait des conversions, 45 z ; l'orateur comparé à l'avocat, 43 3-S ~ l'orateur comparé à l'écrivain, 4S S-6• — 446 507-8
Orgueil. 49-So, Iq6, 3z~, 405 4S6
Orientales (Langues). j~6.
ORIENTAUX. 199, ; S 9~ 403
ORLÉANS (Philippe, duc d'). (149, zIS, jzR, 415.)
Oronte, le vieil époux d'une femme toute jeune. 197.
ORPHÉE. ¢I, Igô.
Ossnr (Le cardinal d'). 3 S S •
Ostentation. 48-~.
Oubli. Les amours meurent par le dëgoût, et l'oubli les enterre, 14z; vouloir oublier quelqu'un, c'est y penser, 143; si vous n'avez rien oublié pour votre fortune, quel travail ! zo; ;l'oubli de soi-même et de Dieu, jz~; moi, je le blâme d'un si long
653 oubli de ses devoirs, ; 78 ; le prédicateur doit s'oublier lui- mëme dans son ministère, 4S7•
OUILLES. 2I 4.
OURSE (La grande). 478.
Ouvrages. ,Quelle Aradlgieuse distance encre un bel ouvrage et un ouvrage parfait ou régulier ! 77 ; un ouvrage qui élève l'esprit et qui inspire des sentiments nobles est bon, et fait de main d'ouvrier, 77; diversité des appréciations portées dans le public sur les mêmes ouvrages, ; S 1-z ; l'ouvrage écrit comparé au discours:parlé, 4S S-6• — 68, 8 S, ;;o. Voir Critique, Livre.
OviDE. 448.

P

Faix. z.76, S I 1-z.
PALAIS-ROYAL. 397. - (84).
PALLAS. q0j.
PALMYRE. 20 z .

Pamphile, l'homme plein de lui-mëme. z7o-I.
Pandectes. 448.
Panégyaistes. 4 S o-z.
Parasites. Voir Troïle.
Parchemins. Parchemins inventés pour faire souvenir ou pour convaincre !es hommes de leur parole, honte de l'humanité ! 3 Io.
Pardonner. 147, 170.
Paresse. 1;0, 148, 1 S S, ;16, ;;o, 34z.
PARIS. Paris, pour l'ordinaàrc le singe de la cour, zIG. — zoG, z1~, z61, z69, 318, 416, 43z~ 4S 3~ 478.493 Soo.
PARIS (Le Jugement de). 418.
Parler. Il y a parler bien, parler aisément, parler juste, parler à propos, 160; parler et offenser, pour de certaines gens, est précisément da même chose, 161; l'un de mes. amis qui a promis de parler ne parle point, zzg; gui sait parler aux rois, z46; d'on se repent rarement de parler peu, 346. — 171, zo7, zqg,
377•
654 Parleur (Grand). z~-;o, 158. Voir Théodecte.
Parménon, affranchi de Glycère. 1;z.

Parole. Rien ne coûte qu'à tenir parole, 14S ; i1 coûte si eu aux grands à ne donner que des paroles, z S S ; le métier de !a parole ressemble en une chose à celui de la guerre, 4f I. Voir Parchemins.
Parti, Partialité. ;18, 349. 364•
Partisans. 11, 181, 18;, 186, 187, ISg, 190, 196, zoé, 42G. Voir Arfure, Champagne, Crérus, Dorus, Ergaste, Sosie, Sylvain.
Parure (féminine). I I;-S.
PASCAL. IS~ 2479 344 383• — (67, 79~ 8~, Iz1, ISo, 237 25~, 265, z73. 3oe~ 3z9. 347, 349. 380 4z7. 458. 460.
461, 462, 469 470 475 476, 481, 482).
Passions. Toutes les passions sont menteuses, Iq~; !et passions tyrannisent l'homme, 194. — t S 0, ;; 2-;. Voir Cæur.
Patience. 3 84.
Patrie. II nÿ a point de patrie dans le despotique, z76.
Pauvreté. Dans soutes !er conditions, !e pauvre est bien proche de !'homme de bien, 1~z; si !a pauvreté est !a mère dts crimes, le défaut d'esprit en est le père, ;oG; faire dans une riche abbaye v¢u de pauvreté, 42; ; il est nécessaire qu'il y ait des pauvres et des riches dans le monde, 485-6• — 191-5, zoo-S~ 235, 309• Voir Antisthène, Phédon.
Paysans. ; 3 ~.
P~couRT (danseur). (Izo, ;S;).
Pédagogue chrétien (LeJ. 494•
Pédantisme. 71, 9i, 3 5 3, 3 S 5~ 439•
PÉGUY. (88).

Peinture. La médiocrité y est insupportable, 68; diversité des jugements portés sur une même peinture, ; s I ; tout ërrivain est peintre, et tout excellent écrivain excellent peintre, 491. — Io2.
Pèlerinages. 41 ~.
PÉLISSON Ou PELLISSON (Paul}. 3 S4• — (363)•
PELLISSON (maître des requêtes}. (331).
PENAUTIER. (j77)•
Pénélope, tragédie de l'abbé Genest. 84.
655 Penser. Ceux qui, sans nous connaître, pensent mal de nous, ne nous font pas de tort, 363; on croit parler avantageusement de quelqu'un en diront qu'il pense, 3 8 z ; je pense, donc Dieu existe, 47z.
Pensions. 41 I, 424.
Père. 1~8, 307. 397, 4z3. Voir Aristippe.
PÈRES DE L'~GLISE. 405, 448, 4G4, SoS: Sol•
Perfection. Il y a dams l'art un point de perfection, G~; on obtient la perfection par l'imitation des anciens, 70; i! faut toujours tendre à da perfection, 95 ; la vertu parfaite, III ; il est plus ordinaire de voir un amour extrême u une parfaite amitié, 138; des biensêances mettcnt la per~ction, et la raison met les bienséances, 418; perfections incom- préhensibles de Dieu, 465-6. — 77, Toz, ITo, 133, zS9•
Perfidie. 117.
Périandre, le parvenu orgueilleux. 185-G.
PERRAULT (Charles). (7T, T 5 3, 175, 213).
PERRIN (L'abbé de). (83).
PERSE. 27.
PERSES. 3. — (416).
Persévérance. 34z, 34S-G.
PESANT (Mademoiselle). (3 S 3)•
Petitesse. L'on est petit à la cour, zz 1; les hommes sont petits, comme ,les enfants, 3 TG; des petits sont quelquefois chargér de mille vertus inutiles, 3z7; petits hommes, hauts de six pieds, tout au plur de sept, 388; Dieu prouvé par l'eatrême- ment petit, 461-z. — z46, zSS, zGo, z7z, 3z7.
PETIT-PONT (Le). 39 S
Petits-maîtres. zoo.

Peuple. La prévention du peuple en faveur des grands èst si aveugle, z54~ .je ne balance pas, je veux être peuple,. z6z; qui alit le peuple dit plus d'une chore, z73 ;nommer un roi père du peuple, sgo; on ne prêche pas pour le peuple, 449• — zS8, z6o, zGz-3, z7G, z91-z, 348-9 4TS~ 417 460.
Peur. S o-z, 3 z z.
PE2RON (Le Pére}. {174).
PIl~sus. zG1.

656 Phédon, le pauvre. zoo-5.
Phénix. Le phénix de la poésie chantante, 3 S i•
Phérécide, qu'on croit guéri des femmes, 4oS,
Phérénice, qu'on croit fidèle à son mari, 4oS.
PHIDIAS. 8, 202.
Phidippe, le vieillard ingénieux dans le raffinement. 33S•
Philanthe, dont le mêrite n'est pas apprécié par le grand qu'il
sert. z 5 6.
PHILBERr Ou PHILISERT (flîItlSLe). (I20).
Philémon, le riche sans aucun mérite. Io4.
PHILISBOURG. 261.
PHILON. H.
Philosophe (Le). I e philosophe consume sa vie à observer les hommes, 78; le philosophe est accessible, 18z; il est méprisé par le riche et par tout le monde en général, ;~z-3; zl est bon d'être philosophe, il n'est guère utile de passer our tel, ; ~; ; un philosophe se laisse habiller par son tailleur,
4O1• 3 S S • Voir Antisthëne, Antisthius.
Philosophie. Tout le monde devrait avoir une forte tein- ture de philosophie, 341; la maxime d'Antonin sur l'al- liance de ia philosophie et du pouvoir politique, ; S S ; la meilleure philosophie, 373 ; toute philosophie ne parle pas dignement de Dieu, 46 S .
Phoebus. IS4. Voir Acis, Cydias, Théobadde.
Phrases. Il y a un certain nombre de phrases toutes faites, z47.
Phryné, courtisane. z61.
Physionomie. 36z.
PlcrEs. ;~1.
Piété. La piété fastueuse, 331, 468; la vraie piété, 359; c'est une chose délicate à un prince religieux de réformer la cour et de !a rendre pieuse, 411.
PINDARE. 49 5 .
PIRÉE (Le). 48.
PISON, le concussionrlaire loué après sa mort, 375.
Pitié. 144•
Place. Hommes en place, ministres, favoris, ayez de la -vertu
657 et de !'humanité, z87; les belles choses le :sont moins hors de .leur place, 418. — z36, 239. Voir Favori, Ministres.
PLArN~ (la plaine des Sablons). 213.
Plaisaiaterie. L'on marche sur !es mauvais pdaisants, 1 S z ; toute plaisanterie dans un homme mourant est hors de sa place,
4Go. — ,IGB, 173, zo7.
Plaisir. ,ll y a guelqu~ois dans !e cours de la vie de si chers pdai- sirs, I i I ; .de .aluol dépend le plaisir de la socïété entre l`es amis, 170; faire plaisir, prlvilege des grands, 263; !e plaisir d'un roi qui mérite de l'être est de !'êire moins quelquefois, z 8 S ; ceux qui ont renoncé aux plaisirs les condamnent chez les .autres, 333. — GI-z, 9i, rr3-4, 2GS, ;06.
Plancus, puissant décrié après sa mort. 239.
PLATON. 7s 70, 176, 182, z97> 3S1> 371> 4G4• — (95> 175>
3S3)•
PLAUTE. (41 G).
PLÉIADES. 478.
Plénipotentiaire. 281- S .
Pleurer: D'aù vient que d'on rit si librement au théâtre, et que l'on a honte d ÿ pleurer 1 8 5.— 8 G.
PLUTARQUE. 8. — (82).
Poésie. La médiocrité y est insupportable, 68; le phénix de la poésie chantante renaêt de ser cendres, 3 S z • exemples de la poésie de nos ancêtres, 443-4; les Théobaldes, adver- saires de La Bruyère, sont des poètes mondains, 49G.
G9, 84-5> Io2, ISI> 3So, SoS•
P.alitesse. L'esprit de politesse, 16;-4; la politesse chez ,,certains tient lieu d'esprit, z48; la politesse qu'il faut inculquer aux jeunes princes, 267-8; la politesse tend uniformiser les hommes, 348; politesse des manières et politesse de l'esprit, 3 S4; l'usage apprend la politesse,
363• — 247•
POL'ITIEN. (I]).

Politique (La). Ne songer qu'â soi et au prêsent, source d'erreur dans la politique, 377; ceux qui font servir Dieu et la religion à la politique, 459. Voir Gouvernement.
Politique (I:e). Le politique rempli de vues et de réflexions ne sait pas ,se gouverner, 3z7; !e politique prépare le hasard,
658 374; je ne mets au-dessus d'un grand politique que celuà néglige de le devenir, 3 7 5 .
POLYCLÉs. I 9.
Polyeucte, tragédie de Corneille. 88.
POLY$PERCHON. 3 I .
POMPÉE. 2ÔI, 4~3.
PONCET DE LA RIVIÉRE ~PlerIe~. ~ûô~.
PoNTCHARTRAIN (Le contrôleur général. (188, 288,
513'
PONTCHARTRAIN (La famllle). ~I08).
PONTIER (Gédéon. (45 2~.
PORTIQUE (Le). 492.
Portraits. Goût des prédicateurs poux les portraits, 446-~.
Poste. Viens-on de placer yuelgu'un dans un nouveau poste, c'est un débordement de louanges en sa faveur, z;o; on monte plus aisément à un poste éminent qu'on ne s'y conserve, 231; !es ~ostes éminents rendent !er grands hommes encore plusgrandr, et les petits beaucoup plus petits, ;z7. — z33-8,
25~, 373•
Postérité. 95, 1~z.
PoroN. Voir Saintraàlles.
PRADON. ~I03~.
Praticien. 197, 429.
Pratique religieuse. 377-8.
PRAXITÉLE. 49 f .
Précipitation. 42~.

Prédication. C'est un devoir essentiel des curés, 4zo-1; prédications précieuses et divisions compliquées, 447 ; il faut savoir au~aurd'hui très peu de chose pour bàen prêcher, 448 ; le meàlleur esprit prêche simplement, fortement, cbré- tàennement, 448-~; la carrière de la chaire et celle de la guerre, 451; récompenses accordées aux prédicateurs, 45 I ; un homme dit en son c¢ur : ,% précheraà, et il prêche, 43 3 les saints prédicateurs qui persuadent par leur seule pprésence, 453; le prédicateur comparé à l'avocat, 4S 3-5 le prédicateur comparé à l'écrivain, 45 5-6; la prédi- cation que souhaite La Bruyère, 457; quel plus beau
~*j





659 talent que de prêcher apostoliquement ? 457. Voir Arfure, Théodat, Théodème, Tbéodule.
Prélat. Un prélat qui est un modèle de piété, 359; les moeurs mondaines choquent chez un prélat, ; S9; la dévo- tion de la cour devrait inspirer la résidence, 41 z.
Préséance. 433•
Présent (Le). Le présent est pour eux; ils n'en jouissent pas, ils en a usent, z 51; les enfantsjouissent du présent, ;1 f • — 3 77-
Présents. z 17.
Prét. Le prêt à intérêt, 4z 5 .
Prétention. Voir Télèphe.
Prévention. La misère rle la prévention, 3G4• — 349 3S$•
Prince. I! nÿ a sien qui enlaidisse certains courtisans comme la présence du prince, zz; ; il y a peu de familles qui ne touchent aux plus grands princes et au simple peuple, 417; le prince, la plus vive image de la Divinité, 4G7.
Privilèges. Privilèges de la noblesse, 417;, privilèges des chanoines, 4z1-z.
Probité. 37G, 4z9.
Procès. ;Io, 338-9 3f I, 4zG-7, 4z9~ 43T. Voir Antagoras, Orânte.
Progrès. Progrès de l'humanité dans les temps à venir, g4•
Promenades publiques. zo6-7.
Propriété (du style). 71.

PROTÉE. 282.
Protestants. z88, z93. — (4Sz)•
Proverbes. I S;.

Province. La province est d'endroit d'oû la cour paraPt une chose admirable, zzz; nobles de province, 339-4o;.i1 y a un endroit d'une province maritime d'un grand royaume, 3 5 8. I19, IGB, z43~ zS3. 34g• Voix Xantippe.
Pruderie. i z 5 -G.
PRUDxOMME (Le baigneur}. (z6o).
Prunes. L'amateur de prunes, 394•
PTOI,É1o1ÉE (astronome). (47 S ~ - 479)

660 Go4 INDEX
PTOLOMÉE. ~.

P.T.S. Voix Partisans.
Public. Je rends au public ce qu'il m'a prêté, 61; l'écueil du public, 68, 37o-I ;les Théobaldes opposés à tout le public,
Sol-z.
Pur3Llus SYRus. (144, 146, z47, z48, 31z).
PUCELLE (Claude). 44S•

Pucelle (La), épopée de Chapelain. ; 5 z.
PUGET. Voir I a Serre.

Puissants. I 'on doit se taire sur les puissants, z74. Punition. Punition des méchants, 484-5 • Puristes. 15 8-~.
PYRÉNÉES. 2 ô O.

Q

Q**, le phénix de la poésie chantante. 3S~•
Querelles. 16z, 165, 168.
Question. 4z~.
Quiétisme. (¢zo, 446).
QUINAULT. (86, 2I 5, j 5 2).
QUINTILIEN. (74).


R

RASELAIS. Sz.
RAsuTIN. Voir Busy-Rabutin.
RACAN. 81.
RACINE. Racine comparé à Corneille, 87-~, So6-]. — 8¢,
zG]. — (61, 71> 74> 86, Io3, 143 193, 213> 354, 381).
Rafraîchir. I! nÿ a rien qui rafraîchisse le sang comme d'avoir su éviter de faire une sottàse, ;17.
Raillerie. 168-g, 3z;.
Raison. Dans la société, c'est la raison qui plie la première,
661 165 ; combien de belles et inutiles raisons à étaler à celui gui est dans une grande adversité, 170; les trois âges de la raison, 3 i4; la raison chez les enfants, 317; la raison tient de la véritê, elle est une, 3 47 ; la raison est de tous les climats, 3 5 8 ; raison et bienséances, 418; raison et usage de la langue, 442; les libertins devraient avoir des raisons claires et des arguments convaincants, 461; soute justice est une conformité à une souveraine raison, 485. — 326.
RAMBOUILLET (HÔtel de). (40I).
RAMBOUILLET Jardins de). 213.
RAMBOUILLET (Madame de). (171, 3 S 4)•
RAMBOUILLET (Mademoiselle de). (441).
RAMBOUILLET (Nicolas de). (213).
Recevoir. 143 23S•

Récollets. 420.
Réconciliation. 332, 4z2-3. Voir Aristippe. Reconnaissance. I00, 140, 144, 151.
Refus. La chose la plus prompte et gui se présente d'abord, c'est le refus, 306.
REGNARD. (169).
RÉGNIER DES MARAIS (L'abbé). So5-6.
Regret. Io7, 143, 314•
Régularité. 77, 9z-3.
Réhabilitations. 41; -4.
Religieux Maison religieuse, secrétaire du Xoi, 417; le gouver- nement des communautés de religieuses, 423 ; les reli- gieuxlisent et font lire les Caractères, 49 5 -6. Voir Vocation.
Religion. I4'oubli des devoirs religieux, i77-8; la religion et la justice, 428; le grand ou le beau monde ignore la religion, 4.57; les hommes altèrent individuellement la religion, 466; si ma redigian était fausse, je l'avoue, voilà !e piègge le mieux dressé qu'il soit possible d'imaginer, 469; la religmn est vraie, ou elle est fausse, 470. Voir Dàeu, Esprits farts, Ëvangile, Politique, Voyages.
RENAUD. 261.
RENAUDOT (Eusèbe). (5 08).
Rentes. Remboursement abusif des rentes, x88.
662 6oG INDEX
République. Voir Gouvernement.

Réputation. Tout !e monde .t'élève contre un homme gui entre en réputation, 370• — 1zf+ z47~ zfo~ z67. 3f2
Requêtes de l'Hi~tel. foo.
Résidence. 41x.

Rétribution. Rétribution des ecclésiastiques pour l'admi- nistration des sacrements, 4zo; rétribution du bien et du mal sur terre, 484-5•
Réussite. Une réussite contre toutes les règles et contre tout bon sens, 3z8; ia réussite justifie tout, #Bf.
Révocation. Voir Nantes.
R~VOL (De). (183).
Révolution. Quand !e peuple e.ct en mouvement, on su rom~~rend pa.t par oit le calme peuh rentrer, x7G; la révolution d'An-
gleterre, ;85-8, 39i-:+ .f Io-i.
RHODES. 7, 27.
Rboé, danseuse. ; f z.
RICHARD (le preux). ¢¢;-4.
RICHELIEU (Le cardinal de). 344, jff, 49i, foi-f. (Io2, z1;, 287, z88, 399)•
RICHELIEU (la ville). (167).
Richesses. Les grandes richesses s'achètent trop cher, 183; elles sont peu de chose aux yeux de Dieu, 186-7 ; elles détruisent tous les sentiments, i 96; ,elles procurent la noblesse, 413-4; il ,t'est trouvé des frlle.t gui n'étaient pas a,rte~ riches pour faire dans une riche abbaye vau de pauvreté, 4 x; ; les richesses tiennent lieu de tout, 426; une certaine Iné- galité dans la répartition des richesses est voulue par Dieu, 48f-6: Voir Argent, Biens, Giton, Périandre, Zénobie,
etc., etc.
Ridicule. I! semble que l'on ne puisse rire gue de,t chose.t ridirule.r, ;zz; vices, défauts, ridicule, g6f; où réside le ridicule,
;66. — 9S, 180-I, Zfo, 262, 3zx, 348, 36f-6
RIEUX (De). Voir Delrieux.
RIEux (Diocèse de). (443)•
Rixe. D'oir vient gue l'on rit si librement au théâtre, et que l'an a boute d ÿ pleurer 7 8 f ; i1 faut rire avant gue d'être heureux,
663 i47; rire des gens d'esprit, c'est !e privilège des .rots, 169. -- 86, Ij2, zjz, z6z-j, jlz, ;zz.
Rival. I I G, 13 z.
ROANNEz {Le duc de). Voir L.re Feuillade..
ROANNEZ (Mademoiselle de). (I z I, z f 9).
Robe. II y a dans la ville la grande et !a petite robe, zoé; un homme de robe à la ville, et !e même à la cour, ce sont deux hommes, zo9; la robe et l'éppée se méprisent réciproque- ment, z66. — Ios. Voir Grrispins, Saunions.
Rodogune, tragédie de Corneille, 3 g z.
RODRIGUEz (Le Père). (Sof).
ROGER. 261.
ROHAN (La famille de). zz6.
ROHAIV (Hercule de). (z61).
Roi. I! ne mangue rien à un roi que !es douceurs d'une vie privée, z8 S ; le plaisir d'un roi qui mérite de l'être esi de l'être moins quelquefois, z 8 5 ; nommer un roi père dù peûple est !'appeler par son nom ou faire sa définition, z90 ;les ridons qu'il Eaut pour bien régne=, z93-S ; — z91-z.
ROLAND. 2I j. — (443).
ROMAINS. j, 14, 4z, Ioj, I zo, 261, 3 S z, 3 S 4~ 368, (z02).
Roman. 81, 87.
ROME. ~o, 18f, z19, 49z.
ROMORANTIN. 498.
RoNSARD. 81. - (70, 82).
RoQuErrE (L'abbé de). (4So).
RogvErrs (Monseigneur de). (z57, z58).
Roscie, choriste. 3 S z.
Roscius, l'acteur dont les femmes raffolent. I19-zo.
ROSE (Toussaint). (SoB).
RoroN. Voir Saintrailles.
Roture. C'est une grande simplicité que d'apporter à la cour !a moindre roture, zz7; la roture se perd moyennant fi- nances, 413-5 ; !e besoin d'argent a réconcilié la noblesse avec !a roture, 41G.

4o j . --






664 Go8 INDEX
ROUEN. 22j. - (js$).

Rougir. Si 1'bomme savait rougir de roi, quelr trimer ne s'épar- gnerait-il pas Z 346.
ROUSSEAU (cabaretier). z; z.
ROYALE (Place). 172.
Royaume. Quel poids que celui de tout un royaume ! z~2.
RUCCELAY Ott RUCCELLAI (L'abbé). I S4.
Ruffia, l'égoïste indifférent à tout ce qui n'est pas lui. ;; 7.
Ruine. zoj, zlz.
Rusticité. z4-S, ;GG.

S

BACHOT (L'abbé), (393)•
Sacrements. 4zo.

Sagesse. L'oisiveté du sagc, ~~; le sage guérit de !'ambition par !'ambition même, III ; il se gouverne par la seule raison, 149; !e sage quelquefois évide le monde, de peur d'être ennuyé, 17~; la richesse du sage, 194; procès du sage stoïcien, z97; l'étude de la sagesse a moins d'étendue que celle que l'on ferait des sots, 347-8; si nous pouvions tous nous donner le mot de devenir sages! 351. — 126, I27, 165, jzz, jz8, 34G, 374 3$5•
Saint. Dans cesjours qu'on appelle saints, 420; les prédicateurs qui persuadent par leur seule sainteté, 453.
SAINT-AIGNAN. VOIS Beauvillier.
SAINT-ANro1NE (Porte, Faubourg). (z13).
SAINT-BERNARD (Quai). (20G).
SAINT-~VREMOND. (2I j).
SAINT-GELAIS (Mellln de). $ I .
SAINT-GERMAIN (Faubourg). (i j I, 338).
SAINT-GERMAIN-EN-LAYE. (167).
SAINT-lyiAUR (Château de). (202).
SAINT-PIERRE (L'abbé de). (IO$).
SAINT-POUANGE (Le marquis de). (182, 20$,. 430).
665 SAINTRAILLES Ou XAINTRAILLES (compagnon de Jeanne
d'Arc). (41 G).
SAINTRAILLES (Charles de Saint-Cary Bellegarde, seigneur de). (41 G).
SAINT-ROMAIN (conseiller). (1G5).
SAINT-SIMON. (I09, 2j I, z6o,' 289).

Saisies. Il faut des saisies de terre et des enlèvements de meubles, 339•
Saleté. II y a des âmes sales, pétries de boue et d'ordure, I ~6. 418.
SALOMON. 14.
Salut (de l'âme). La science du salut et la langue de la dévo- tion, 41 I; il faut supplier les mourants de faire leur salut,
42~•
Salut (cérémonie religieuse). 419.
Sanga, père de Dorus. 185.
Saunions (Les), bourgeois gentilshommes. z10-I.
Santé. 3z3, 439. 4Go~ 4G3•
SANTEUL.. (jG9, 397).
SARASIN Ou SARRAZIN (poète). 40I.
Satire. Un homme né chrétien et Franfais se trouve contraint dans la satire, 94. — G8, 274, 3oG, 348. 49S
SATURNE (La planète). 182. 477-8.
Savants. Les faux savants, 93; docteur et homme docte, Io5 ; les femmes savantes, I26-7; chez plusieurs, savant et pédant sont synonymes, 3 5 3 ; les savants sont méprisés par la société, 3i;-5; le peuple, les esprits médiocres et les savants devant la foi, 460.
SAVOIE. (279).
SAXONS. j ~ I .
Scapin, bourgeois parvenu. z 15 .
SCARRON. (IG9, 300, 4oz, 408).
Sciences: Sciences qui n'ont été inventées et perfectionnées que comme des remèdes à notre malice, 3 5 I ;les sciences et les savants sont méprisés par la société, 3 5 3-S ;certains embrassent toutes les sciences et n'en possédent aucune,
666 ;gG; d'autres ont la clef des sciences, où ils n'entrent jamais, 396.
ScIPION. 434•
Scolastique. 44.8.
Scvn$RY (Madeleine de). ; f 4. — (171, 177).
ScvroLl (Le Père). (407). SCYTHE. 40;.
Secret: Un homme est plus ftdèle au secret d'autrui qu'au sien propre, 1 z8 ;l'on confie son secret dans !'amitié; mais i! échappe dans l'amour, 140. — 177, 178, ZSf.
SEGRAIS. f 06.
SÉGUIER (Le chancelier). 3f4~ 491, Soq-Io.
SEIGNELAY (Le marquis de). (Ion, 194 463)-
SEIGNEUR (Le). 41~.
SEINE. 206, 3 9 f~ 4 f 3
SÉMIRAMIS. I 7 f .
SENAULT (Le Père). (4).
SÉNÉQUE. I 74. — (17 f ).
SENLIS. (167).
Sens (Bon). Talent, goût, esprit, bon sens, choses différentes, non incompatibles, ;67.
SÉRAPHIN (Le Père). 446. Serments. 1 f ~-60.
Sermons. Diversité des jugements portés sur un même sermon, ; f 1-z; un beau sermon est un discours oratoire, 449• Voir Prédication.
S$SOSTRIS. I 7 f .
Sethon, ambassadeur de France. I f f.
Sévérité. Sévérité dans la pxédication, 4So.
S$VIGNÉ (Madame de). (2 f 7)•
SIAM. 199, 468. — (; f 8, 467)•
SIAMOIS. I2, 467.
SICILE. 27.
Siège. Ceux qui vont à un siège en spectateurs, ;80-1. SILLERY. Iôf.
667 Simplicité (d'esprit). 2z7, zso.
Simplicitc (des manières). 415.
Singes. z16, z3z.

Singularité (Esprit de). 3 f o, 4f 9-Go.
SMYRNE. 134, I;G.
SOANEN (LC Père). (448).
SOCRATE. Ils 8tent de l'histoire de Socrate qu'il ait dansé, Io7.
— 8, 3 f I. 37x.
Socra#e, homme sage et vertueux. 25~.
Soldat. chez nous, k soldat est brave, et !'homme de robe est savart, Ios.
Soleil. 476-7•
Solitude. Tout notre mal vàent de ne pouvoir être seuls, ;z9; IBJ JBu/1CJ' gent s'accommodent mieux de la solitude que les vieillards, ;; S • `— 2 f 3
Solliciter. t46, z49, 427.
SoLON. ?9~ 3 9~ f 3
Sommeil, La vie est un sommeil, 314.
SONIN (M. de). (416).
SOPHOCLE. ô, ô9.

Sortilège. 43 7.
Sosie, nom de valet ou d'esclave, 54; Partisan anobli,
183-4-
SOSISTRATE. f 4•
Sot. La sotte vanité, 45-7; les sots lisent un livre et ne l'en- tendent point, 79; un sot ni n'entre, ni ne sort, ni ne s'assied, ni ne se lève comme un homme d'esprit, 108 ; est-ce donc un prodige qu'un sot riche et accrédité 2 1 g 1 ; le sot est automate, 343 ~ !e sot ne meurs point, 343 ; du mëme fondr dont on néglige un homme de mérite, l'on sait encore admirer un sot, 365 ; un sot est celui qui n'a pas mëme ce qu'il faut d'esprit pour être fat, 365. — Isz, 168-~, 181, 248-fo~ 317 322. 324 32G~ 343-4 348, 365-6.
Sottise. rl ny a rien gui rafraîchisse de sâng comme d'avoir su éviter de faire une sottise, 317.
Souhaits. 146-7.
668 SOURDEAC (Le marquis de). (8;).
Souverain. Voir Roi, Royaume.
SoYEcouar (Le chevalier et le marquis de). z78. — (360).
SPARTE. 2 ].
Spectacle. Le discours chrétien esd devenu un spectacle, 44f
STAFFORD (Lord). (Io4).
STOCKHOLM. (1~6).
Stoïcisme. Le stoïcisme est un jeu d'esprit, z97. — (49 z).
Straton, le favori né sous deux étoiles. zj I-z.
Stupide. Le stupide est un sot qui ne parle point, ;G6. —; 8-g.
Sublime (Le). ~o-I, g;.
Succès. Le succès justifie tout, 383.
Successeur. Ce n'est pas un événement fort rare à un titulaire
d'enterrer son successeur, 378.
SUÉDÉ. 1~6. - (279, 281).
Suffisants. Suffisant, important, arrogant, ;G7. — 161.
SUISSE, z1;, z80.
Superbes. Il y a des hommes superbes que d'élévation de leurs
rivaux humilie et apprivoise, zi8.
Superstition. 4o-z.
Sylvain, financier anobli, gendre de Cléobule. 18 S .
SYRIE. 202.
Syrus, nom d'esclave ou de valet. 416.

T

TACHARD (Le Père). (1~g).
TALAPOINS..}G].

Talent. Qui peut, avec des plur rares talents et le plus excellent mérüe, n'être pas convaincu de son inutilité ? ~6; le gémie et les grands talents manquent souvent, quelquefois aussi les seules occasions, 97; les hommes exceptionnels qui ont l'univer- salité des talents, Io7; grand nombre des talents ordi- naires, ;z6; talent, goût, esprit, bon sens, choses"différentes,
669 nan incompatibles, ;G7; esprit et talent, 367-8; talent et estime, ;6g-7o.
TALLEbfANT DES RÉAUX. (2I I).
TALON (Le prësident Denis). (;07).
TALON (Omet). (zgo).
TANCRÉDE. 26 I .
TEKELI. 2 ô I .
Télèphe, le prétentieux. 34z-3
Téléphon, qui a de la faveur et de grandes richesses. zgg-Go. — (;z8 .
Temps. Le temps, qui fortifie les amitiés, affaiblit l'amour, 137; le temps qu'on perd, ;8z; la vertu seule, si peu à da mode, va au delà des temps, 41 z. — 147, Igo, 201, z18, z76, 314, ;Go, ;8z.
TÉRENCE. 6, 80. — (416).
TERRAI (Le chancelier). (zIg).
Terre. La terre dans l'univers, 47f-g.
TERRE SAINTE. 477.
Testaments. 430-;.
Textes. L'étude der textes ne peut jamais être assez recommandée,
438•
Thais, courtisane, x61.
Théagène, le prince du sang. 2S4•
Théatins. 41 g.
Théâtre. Obscurité, de certains auteurs de théâtre, 6g; d'o~i vient que l'on rit si librement au thédtre, et que l'on a hante dÿ pleurerl Sg; les moeurs du théâtre doivent être décentes et instructives,. 8.6x7 ; le ramaar• et la comédie pour- raient être aussi utàles qu'ils sont nuisibles,, 87; Te théâtre du monde, zgz; le thëâtre à l'ëglise, 419. Voir Comidiens, Machines, Qpéra.
Thë©balle, poète précieux. 171; académicien ennemi de La $tuyère, 4g;, Soo.
Théobaldes (Les). Haine que portent les Théobaldes aux bons ouvrages de moeurs, 494-g ;qui sort les Théobaldes, 496; les intrigues des Théobaldes auprès de l'abbé $ignon, gol.
670 Théorrine, qui ne parle que de son ouvrage. 7S.
THÉOCRITE. 176. — (17S).
Théodas, à la fois fou et sage. ;6~.
Théodat, le prédicateur ennuyeux. 431.
Théodecte, le grand parleur malappris. 1 f 6-7.
ThéodPme, orateur malheureux. 161.
Théodore, le prédicateur mondain. 449.
Théodote, amoureux de la faveur. 239-41•
Théodule, le prédicateur jalousé. 4So-I.
Théognis, le donneur d'eau bénite de cour. z6~-7o.
Théonas, qui vient d'être nommé évêque. 237.
Théophile, qui veut gouverner les grands. z f 7-8.
THÉOPHILE I)E VIAU. 80.
THÉOPHRASTE. SeS Caractères, j-6, Iz-17; Sa Vie et Sa
personnalité, 6-g; sa mort, ~; ses maximes et ses ouvrages,
Théotime, le confesseur passé de mode. 393•
Théraméne, premier nom de Cléobule. 18 3 ; le riche héritier,
213-6.
Thtrsite, 267. — (I 8 f ).
TH~s1~E 33.
THETMOSIS. 175 .
THÈVE (rivière). (47f)•
THIERS. (167).
THRACE, f 4.
THRACIEN, S4.
Thrasan, qui a consigné. z1o.
Thrasylle, qui se croit encore jeune. ;83.
TIBRE. IOI.
TIBRR. 2 j 9.
Tigillin, qui jette en sable l'eau-de-vie. 399-400.
Timagène, méprisé à tort. 246.
Timante, qui recouvre son crédit. z; 8.
Timon, ou le misanthrope. 347.
Tite, le vicaire qui ne sera jamais curé. 421.
671 Tite et Bérénice, tragédie de Corneille, 84.
TITE-CIVE, G~.
Titius, l'héritier déçu. 431-2.
Tityre, qui siffle pour s'amuser. 3 S 7.
T.K.L. Voir Tekeli.
Toucher. 72, Ioz, 130.
TOUAVILLE (Le maréchal de). (188).
Tragédie. Le poème tragique, 8G; le peuple .couvent a le plaisir de la tragédie, 18~.
TRÉVILLE (COmte de). (7S).
Trimalcion, qui a la passion des charlatans. 437•
Tristesse. La tristesse évangélique, qui est l'âme de la prédication, 44S•
Troïle, le parasite qui fait le maître. I S 7-8.
Tromper. Un homme peut tromper une femme par un feint attachement, 1;0; d'on ouvre et l'on étale pour tromper son monde, Ic~2. — 249 309 310 437•
Trophime, qui n'a nul besoin d'@tre cardinal. Io;.
Troupeau. Un troupeau gardé par son berger, image du peuple bien gouverné, 291.
TRUBLET (L'abbé). (173).
Tyyphon, qui a tous les vices. 194.
TUILERIES (Les). 20G, 2I;.
Tulipes. L'amateur de tulipes, 393-4•
TURCS. (2$1).
Typhon, qui terrorise impunément sa province. 433•
Tyrannie. 27 S -G.
TYRTAME (premier nom de Théophraste), 7.

U

Universalité. L'universalité des talents, Io7:
URF~ (Honoré d'). (47S).
Usage. L'usage instruit de mille petites règles sociales,
raison et usage ez~ matière linguistique, 44:.
672
V

V**, peintre. Ioz.
VAILLANT (médecin). (3g4).
VALENçAY (Mademoiselle et le marquis de). (18S).
Valets. Morgue des valets des grands, z64.
Valoir. De bien des gens, il nÿ a que le nom qui vole quelque chose, q6 ; se faire valoir par des choses gui ne dépendent point des autres, mais de ,rai seul, ou renoncer à se faire valoir,, ~8.
VALOIS (Les). 17g.
Vanité. De'la sotte vanité, 49-7; un homme de mérite n'est jamais incommode par sa vanité, ~~. — I I g, I;o, I S o, I S 2, IG2-3, z2;-G, 2GS-G, zGB, 318-~, ;zI-z, 3z4, 330-1, 341-2, 34S-G~
VAAILLAS (Antoine). (94).
VARRON. ; j I .

VALTHAN. 214, ; ~~.
VENDOME (César de). (261).
VENDOME (Le duc .de). ; f 4.
Venger (Se). r48, I S I.
VENISE. 280, 420.

VENOUZE. I j I.
VÉNUS. 2G I, 41 H.
Vérité. La Bruyère a été animé par un souci de vérité en faisant de son siècle ce portrait d'après nature, GI; il faut exprimer !e vrai pour écrire naturellement, fortement, délicatement, 70; non seulement nn ne trouve pas la vérité dans les entretiens, mâis Won prie convient pas de celle que l'on cherche, 171-2; i! y a quelques rencontres oû da vërité et da simplicité sont !e meilleur manège du monde, z f o; la raison tient de la vérité, elle est une, 3,47; le contraire des bruits gui courent est souvent la vérité, 3G; ; les auditeurs d'un sermon écoutent avidement la vérité, et n'en font ensuite ni pis ni mieux, 4qo; un prédicateur devrait faire choix dans chaque discours d'une véritê unique, mais capitàle,, 457 l'homme est né menteur : la vérité est simple et ingénue,
673 et il veut du spécieux et de d'ornement, 4G4; la force de la vérité explique le succès des missions chrétiennes en Extrême-Orient, 4G7-8;
Vr;tiSAILLE$. 174, 223, 245. — ~IIO, I18, 215, 225, 273, 344> 404, 407> 418> 44G)•
Vertu. S'il est ordinaire d'être vivement touché des choses rares, pourquoi de sommes-nous si peu de la vertu d 1 oz ; lâ vertu héroïque et parfaite, III ; la fausse vertu chez les femmes, Iz5-6; ia vertu console des sacrifices gu'elf'e demande parfois, i 5 I ;avec de la vertu, rie !a capacité et une bonne conduite, l'on Meut être insupportable, 163 ; les vertus incompatibles, 166; esprit, grandeur, vertu, z57; hommes en place, ministres, favoris, ayez de da vertu et de !'humanité, z 87 ; i! coirte moins à certains hommes de s'enrichir de mille vertus que de se corriger d'un seul défaut, ; z 8-9 ; la vertu se suffit àelle-même; qu'elle soit à la mode, qu'elle nÿ soit plus, elle demeure vertu, 3 ~~ ; la vertu seule, si peu à da mode, va au delà des temps, 41z; noblesse et vertu, 417; la vertu des grands hommes a corrompu d'ëloquence, 4So; qui dit vertu, dit foi en Dieu, 4G1; la vertu est parfois opprimée, et le crime impuni, 484-5. — IOI, Ioz, 133, 149, zzl, z37~ zS7> 318. 3z4> 3z7> 3Go~ 38S> 399•
Veuve. Épouser une veuve signifie faire sa fortune, 197.

Vices. Il nÿ a point de vice qui n'ait une fausse ressemblance avec quelque vertu, et qui ne sen aide, 149 ; vices naturels, et vices contractés sous l'influence de la société, ;06-8; vices, défauts, ridicule, 365 ;peintures agréables des vices que l'on trouve dans les sermons, 449• — 348, 360, ;6G,
38S•
Vie. La vie est courte, si elle ne mérite ce nom que lorsqu'elle est agréable, 147; id y a quelquefois dans k cours de la vie de si chers plaisirs et de si tendres engagements que l'on nous défend, 151; da vie est courte ei ennuyeuse, elle se passe toute à désirer, 308; la vie est un sommeil, ;14; lâ plupart des hommes emploient la meilleure partie dé leur vie à rendre !'autre misérable, 330; les hommes préfèrent la gloire à la vie, 380; il faut vivre comme on veut mourir, 460; gui a vécu un four a vécu un siècle, 468;. si Dieu avait donné de choix ou de mourir ou de toujours vivre, 46g; Dieu seul a créé les merveilles de la vie et de la nature, 483`4• — z43> 311 313> 314, 380.
Vieillards. Un homme qui serait en peine de connaître s'il change, s'il commence à vieillir, peut consulter .les yeux d'une jeune
674 femme, I z ;quand on est jeune, souvent on est pauvre; !'on devient riche et vieux en même temps, I ~ I ; !'on parle d'une région où les vieillards sont galants, zq.q.; il est vieux et usé, dit un grand, z 5 6 ; c'est unc grande di~ormité dans la nature qgu'un vieilladd amoureux, ;; z ; les vieillards avares, 33; ; le souvenir de la jeunesse est tendre dans les vieillards, 334 les vieillards donnent bonne opinion du vieux temps, 37G. -- I18, 1~8, 313-4. 334-3•
VIENNE. 281.
VIGNON (LeS). (IO2-j}.
Vilain. D'un vilain homme, 44-i•
VTLLARS (L'abbé de). (z I z).
VILLAYER (Le comte de). (434)•
Ville. Le rebut de la cour est reçu à la ville, I18; j'approche d'une petite ville, IG7; les partis et les querelles dans les petites villes, IGB; langage affecté de certaines femmes de la ville, 17z; an s'élève à la ville dans une indifférence grossière des choses rurales et champêtres, z 18 ; à la cour, à !a ville, mêmes passions, mêmes faiblesses, z73. — I IC~, IzB, 17z, 1~0, zoG-zo, zs3.
VILLEDIEU (Madame de). (zIj).
VILLEROY (Camille de Neuville de). (z3 S}.
VILLEROY (Le maréchal de). (Ion).
VINCENNES. 2I0, 214. - (I23, 131, 20G).
VINCENT DE PAUL (SAINT). 4f 2.
VIRGILE. 70, 17G, 49f, 50G. - (175, 202, 272).
Visage. Un beau visage est le plus beau de tous !es spectacles,
IIf.
VISÉ. Voir Donneau de Visé.
Visites. z17-8.
[/ite, qui est sans occupation dans son carrosse. zoé-g.
Vocation. 180, 4z;, 433•
Voeu. Il .c'est trouvé des filles qui n'étaient pas assez riches pour
faire dans une riche abbaye v¢u de pauvreté, 4z3• — 419•
VOISIN (La}. (131).
VOITURE. 79, e3, 40I, 4.43, fOG. - (81, ,141}.
675 Voleurs. Magistrats de connivence avec les voleurs, 430.
VOLTAIRE. (390).
Volupté. ;;z.
Voyages. L'amateur de voyages, ;~g-6; guelguer-rm:r achèvent
de re corromj~re par de longs voyager, 45.9•

W
WARDES (Le marquis de). 3 S 4•

X
Xanthi, régalé par André. zlz.
Xanthos, affranchi de Crassus. zoz.
Xantippe, qui est devenu le favori du roi. z43
XAVIER (SAINT FRANçOIS). 4S 2.
XÉNOCRATE. 7.
XIMÉNÈs (Le cardinal). 3 S S .

Y
YVETTE (rivière). 47S•

Z
GAMET. I S 4.
Zélie, devenue riche et dévote. 410.
Zélotes, qui n'approuvent un livre qu'avec tout le public.
7z-;.
Zénobie, reine de Palmyre. zoz.
Z~I.toN. z1. — (49z).
ZEuxIS. zoz.
Zoïle, l'auteur jaloux. 7z.