Résumé : L’enfer et le diable, fort présents de nos jours, symbolisent le Mal. Le fantastique de la terreur est sous-jacent même par un temps de recherche d’un bonheur individuel tel le nôtre. Le diable et l’enfer seraient-ils indispensables ? Au point de vue du collectif et de la société, nous nous donnons une explication, venant de l’abîme de notre moi. Présence du diable via trois dictionnaires : Collin de Plancy, R. Villeneve, A. Rey. Le diable n’est pas mort et ne mourra jamais : le mal est en nous-mêmes.