Résumé : Il s’agit de montrer que la traduction, si elle ne relève pas d’un quelconque objectif utilitaire et si elle n’est pas assurée par des machines, relève le plus souvent d’un choix subjectif qui repose sur un certain nombre de critères. C’est un témoignage sur le choix fait pour traduire un ouvrage d’Alain Rey. On retient d’abord le rôle que joue la subjectivité dans le choix des textes à traduire et on montre par la suite ce que l’on traduit réellement dans un texte.