Résumé : La communication politique est bien le « parent pauvre » des dictionnaires, des encyclopédies et des formes plus allégées de définitions : elle occupe une place réduite et souvent éphémère. Deux raisons apparaissent : les cibles (étudiants, enseignants, journalistes et hommes politiques) sont difficiles à atteindre ; la communication politique est une discipline récente et foisonnante qui justifierait mais rendrait vain l’usage des dictionnaires pour un public qui croit tout savoir ou ne rien savoir.