Résumé : L’esthétique divulguée dans les planches illustrées des Grands Larousse de la première moitié du XXe siècle apparaît a priori désuète et éclectique. Les articles du Larousse mensuel illustré (1907-1957) apportent un contrepoint à cette idée reçue. D’une part les auteurs y définissent les contours précis de l’esthétique prônée par le dictionnaire, définie rigoureusement comme un classicisme modernisé. D’autre part, ils ne cessent de former le goût du lecteur.