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Classiques Garnier

[Épigraphe de la première partie]

23 PREMIÈRE PARTIE

HISTOIRE ET FICTIONS



Ce n'est pas que je veuille ravaler la louange des histoires veritables : j'approuve grandement tout ce qui est dit en leur recommandation. Mais je serais bien ayse qu'on s'aperçeust aussi, qu'il y a une infinité d'histoires, qu'on pense estre fables &une infinité de fables, qu'on pense estre histoires.
François Langlois, sieur de Fancan ; Le Tombeau des romans où il est discouru I. Contre les romans. II. Pour les romans. Paris (C. Morlot) 1626, p. 91.