Résumé : Dans ces œuvres monumentales à visée encyclopédique, on ne relève que trois cas d’inceste adelphique. Dans deux de ces cas, le frère et la sœur ne se connaissent pas comme tels, et l’amour du frère pour la sœur ne survit pas à la reconnaissance qui intervient au dénouement de l’histoire. Et si le dernier cas met en conflit deux conceptions, naturelle ou contre-nature, de l’inceste adelphique, jamais le lecteur n’est confronté à la relation d’une transgression consciente et assumée.