Résumé : La production théâtrale de cette période donne désormais régulièrement droit de cité à l’inceste adelphique, l’exploitation du thème suivant deux voies distinctes, selon que la pièce relève ou non du genre tragique. Le registre tragi-comique n’en propose qu’une utilisation pour rire : d’envergure restreinte, l’inceste se voit ravalé au rang de motif, d’ornement destiné à pimenter une intrigue connue d’avance. Le genre tragique en revanche approfondit l’horreur que cette union contre-nature éveille.