Résumé : Le jeune Léon Bloy s’est servi, même dans les descriptions intimes de ses propres expériences qui se trouvent dans sa correspondance, d’un discours qui devait beaucoup à ses lectures, et surtout aux auteurs romantiques. On trouve ce même discours dans ses premiers écrits, y compris Le Désespéré, où le romantisme égocentrique prédomine sur l’expérience chrétienne. Ce n’est qu’avec La Femme pauvre que nous trouvons un message vraiment chrétien, basé sur la communion des saints.