Abstract: À l’occasion du soixantième anniversaire de la disparition d’Albert Béguin, survenue le 3 mai 1957, Natacha Galpérine rend hommage à « l’un de ceux qui ont le mieux compris et parlé de Léon Bloy ». Le témoignage de celui qui fut non seulement l’un des plus fins critiques littéraires de son temps, mais également le directeur engagé jusqu’à sa mort de la revue Esprit, apporte, à la lumière de sa lecture de l’écrivain, un éclairage d’une étonnante actualité sur notre époque.