Résumé : En puisant tant dans des romans que dans des manuels, l’étude s’attache à la question de savoir si les xixe et xxe siècles ont élaboré une doxa pour Fénelon, comme ils le firent pour un Bossuet, un Racine ou un Boileau. À la probable stupeur posthume du prélat, elle conclut que non : le nom Fénelon apparaît comme lié intrinsèquement à trop d’inquiétudes, trop d’instabilités, trop de dangerosités.