Résumé : 1715, la mort de Louis XIV, de Fénelon, de Malebranche, puis 1716 celle de Leibniz, puis 1717 celle de Mme Guyon… Célébrer un tricentenaire, c’est inscrire la mort dans le geste historiographique, c’est reconnaître l’historien comme un provisoire jalon dans la lignée de ceux qui l’ont précédé, et plus encore reconnaître l’historicité de l’œuvre, celle de Fénelon diffractée en une multitude de sens, de formes, de cultures, de langues et d’esthétiques, dont le présent volume livre des éclats.