Résumé : Cet article propose de remonter aux sources du « mythe romantique » (Antoine Berman) en littérature comparée depuis 1900. Il s’agit pour nous de mettre en valeur le fait que, si le romantisme n’était pas à l’origine le modèle le plus évident pour les comparatistes, il a été amené à constituer un paradigme méthodologique, de même qu’un réservoir d’objets d’étude, pour penser les rapports des littératures étrangères entre elles.