Résumé : À la fois mélodrame, vaudeville, comédie de mœurs, satire sociale, Paméla Giraud présente un audacieux mélange des genres et une grande liberté structurelle et générique. Balzac fait fi de l’unité de temps et innove surtout en mettant en scène une intrigue judiciaire d’une étrange modernité, dont la technique dramatique par flash-back et reprise, plans-séquences, montage parallèle et double énonciation, justifie le terme de « cinématisme », employé par Eisenstein.