Résumé : L’article analyse les situations de communication qu’offrent les différentes facettes de l’œuvre de Villon, d’une appréhension de la culture de ses compagnons, culture tout à la fois de la ville et de l’école, jusqu’à une pesée des situations de diffusion de sa poésie in praesentia ou in absentia. La postérité a eu du mal à penser Villon comme un tout, qu’elle rejette ses ballades en jargon comme Marot ou qu’elle retienne la figure du joyeux drôle comme le fait la mise en scène des Repues franches.