Résumé : Nombreux sont les préjugés en matière de réception des récits de voyage au Moyen Âge. L’examen des manuscrits subsistants, de leurs commanditaires, de leurs annotations, constitue la première source d’information sur leur lectorat et permet de nuancer des conclusions hâtives. Les œuvres qui utilisent les récits de voyage permettent elles aussi de mieux comprendre la réception de ces textes.