Résumé : L’auteur a voulu mettre en évidence l’enracinement idéologique, dans la seconde partie du xixe siècle, du refus du lyrisme personnel au profit de ce que Hugo Friedrich a appelé « lyrisme impersonnel », en évaluant le poids du rousseauisme dans la réflexion à la fois politique et formelle de Flaubert et de Baudelaire.