Résumé : À la lumière de travaux récents sur la fiction et la lecture à clefs, l’article revient sur les manières, multiples au fond, de lire les clefs des romans scudériens. Réunissant de façon peut-être unique en leur temps une double référentialité des personnages, un usage exclusivement élogieux des clefs et des effets de quasi métalepse, Cyrus et Clélie invitent à lire « comme un roman » la vie littéraire dans laquelle ils s’inscrivent et qu’ils suscitent.