[…] c’est quelque chose d’absolument nouveau dont vous avez doté la littérature, que ces pages si tranquilles qui se tournent comme tous les jours d’une vie.

Stéphane Mallarmé, lettre à Émile Zola, 3 février 1877.

Qu’y a-t-il de nouveau, je le demande, à dire que, dans une gare, cela sent le brûlé, le charbon et la suie ? […] Point n’était besoin de se prendre la tête à deux mains pour découvrir de pareilles choses. Et ce cadran, rondissant comme une lune traversée par deux barres noires… Eh bien ! oui, ce sont les aiguilles. Sans les deux barres, on ne saurait pas l’heure.

Aurélien Scholl, L’Événement, 23 mars 1879 (à propos des Sœurs Vatard de Huysmans).