Résumé : Dans la nouvelle société démocratique issue de la Révolution, le roman de mœurs se veut histoire immédiate du quotidien inscrivant ses personnages dans « le présent qui marche ». Il dépeint l’homme médiocre, multiplie les personnages secondaires. Il a aussi besoin de « cadres » (Balzac), en particulier de scènes constituées en dispositifs sociologiques. Le roman étant à la fois sous le signe de la science et de la morale, il lui a fallu trouver un ton, soit badin, soit plus sérieux.