Résumé :L’Exil de Polexandre et d’Ericlée de Gomberville, paru en 1619, est le prototype de la série des Polexandre. L’action promise par le titre est déçue par le roman, qui se clôt sur un curieux épisode, à Suresnes, où Polexandre se confesse à un ermite qui est en fait… sa mère, qu’il croyait morte. Ces révélations et résurrections semblent alors devoir relever d’une orthodoxie excentrique et excentrée, de l’esthétique romanesque, du contexte politique et des enjeux religieux du royaume d’après l’édit de Nantes.