Résumé : L’article propose une lecture du « dé-figement » sémantique et générique qu’engendre la métaphore dans trois œuvres : Mémoire 14 d’Ahmed Bouanani, L’Esclave vieil homme et le molosse de Patrick Chamoiseau, et Le Retour imaginaire d’Atiq Rahimi : la métaphore cinématographique y serait une alternative poétique à l’insuffisance d’une langue, offrant la possibilité d’une aventure poétique et sensitive pour l’écrivain en même temps que pour le lecteur.