Remerciements

Tous les chapitres qui suivent remanient largement des articles ou contributions dispersés. Je remercie leurs éditeurs respectifs de m’avoir autorisé à en reproduire la matière :

Premier chapitre : « De la rhétorique à la création : hypotypose, type, pathos », La Rhétorique : enjeux de ses résurgences, éd. Jean Gayon, Jean-Claude Gens et Jacques Poirier, Bruxelles, Ousia, 1998, p. 46-67.

Deuxième chapitre : « Les “lieux” de la pitié dans Athalie », Styles, genres, auteurs, no 3, 2003, p. 91-103 (revue des Presses Universitaires de Paris-Sorbonne).

Annexe du deuxième chapitre : première partie de « Le lieu des effets dans les Amours de Ronsard », Vocabulaire et création poétique dans les jeunes années de la Pléiade (1547-1555), éd. Marie-Dominique Legrand et Keith Cameron, Paris, Champion, 2013, p. 171-182.

Troisième chapitre : « Hiérarchie de l’ethos et du pathos : Drancès dans l’Énéide », Ethos et pathos. Le statut du sujet rhétorique, éd. François Cornilliat et Richard Lockwood, Paris, Champion, 2000, p. 177-199.

Quatrième chapitre : « That is the quaestio : la disputatio dans Hamlet », Échos des voix, échos des textes (Mélanges en l’honneur de Béatrice Périgot), éd. Odile Gannier et Véronique Montagne, Paris, Garnier, 2013, p. 365-383 ; article qui lui-même remaniait « Hamlet, étudiant du xvie siècle », Poétique, no 113, février 1998, p. 3-15.

Cinquième chapitre : « “L’unité de sujet” dans les plaidoiries du xviiie siècle : “roman”, “système”, fiction », Représentations du procès. Droit, théâtre, littérature, cinéma, éd. Christian Biet et Laurence Schifano, Nanterre, Publidix, 2003, p. 135-149.

Sixième chapitre : « La partie et le tout : l’ironie dans l’affaire Rapalli », L’éloquence judiciaire, éd. Anne Vibert, Paris, LITEC, 2003, p. 84-104.

Septième chapitre : « Doxa contre doxa : le pro et contra dans les Arrests et choses jugées (1596) d’Anne Robert », Il Rinascimento giuridico in Francia : diritto, politica e storia, éd. Giovanni Rossi, Rome, Viella, 2008, p. 116-161.

Huitième chapitre : « Les figures de pensée comme grands blocs, unités minimales pour construire un discours », Quintilien ancien et moderne, éd. Perrine Galand, † Fernand Hallyn, Carlos Lévy et Wim Verbaal, Turnhout, Brepols, 2010, p. 529-559.

Neuvième chapitre : « Le recueil de sonnets comme ensemble de tableaux, c’est-à-dire de loci », Programme et invention dans l’art de la Renaissance, éd. Michel Hochmann, Julian Kliemann, Jérémie Koering et Philippe Morel, Paris et Rome, Somogy éditions d’art et Académie de France, 2008, p. 177-202.

Dixième chapitre : de ce chapitre, initialement rédigé pour ce livre, une version courte a été publiée, sous le même titre, dans Montaigne studies, vol. XXVI (2014), p. 37-54.

Les sixième et septième chapitres découlent d’un travail collectif, lors de plusieurs séances du séminaire mensuel de l’équipe Rare, où nous avons lu ensemble les plaidoiries citées, comme nous avons lu les divers commentateurs du Pour Ligarius mentionnés au début du huitième chapitre. Je ne saurais trop remercier les membres de l’équipe pour ces lectures communes, tant elles ont irrigué ma réflexion non seulement dans ces chapitres, mais dans la plupart des autres. Bien entendu, les conclusions présentées ici sont miennes, et n’engagent que moi. Mais j’ai essayé de transmettre un peu de l’excitation intellectuelle qu’avaient suscitée ces lectures et découvertes faites en commun.