Résumé : L’étude des monuments antiques à l’âge de l’humanisme pose le problème de la compréhension des espaces sacrés païens dans un monde devenu chrétien. De ce point de vue, la distinction entre sacré et profane prend un sens tout particulier et les notices du Liber Pontificalis qui décrivent le réinvestissement par les chrétiens d’espaces profanes ou sacrés du paganisme permettent d’en cerner les linéaments.