Résumé : Venance Fortunat n’utilise pas dans ses élégies la distinction sacré et profane. Pourtant, tout n’est pas sacré. L’article fait d’abord l’inventaire de ce que le poète qualifie de sacré, puis étudie l’élégie IV, 9 (à Léonce 1er) et l’élégie IV, 26 (à Vilithute). Venance Fortunat n’y recourt pas à la notion de sacré pour dire la certitude du divin.