Résumé : Présentant une galerie variée de femmes puissantes, rédigés à la demande d’une amie, les Mémoires de Retz sont un lieu privilégié pour observer les représentations du féminin et du pouvoir. Si la démolition des figures de la Fronde s’opère sans distinction de sexe, les moyens de la critique sont différenciés, répondant à des stéréotypes de genre. Et si la femme de pouvoir peut être admirable, comme l’exemplaire Palatine, c’est à la condition que son pouvoir soit d’influence et non d’éclat.