Résumé : Étudiant les reprises médiévales de la très antique métaphore de la flèche, Michèle Guéret-Laferté remarque chez les adaptateurs vernaculaires une étonnante liberté de manœuvre, entre déplacements, additions gnomiques et morceaux de bravoure, ainsi qu’une irrésistible littéralisation du comparant.