Résumé : De poètes latins aux Romantiques, en passant par le roman médiéval, Catherine Langlois-Pézeret étudie la double et a priori discordante fortune générique du comparant de la « vigne amoureuse » qui enlace son ormeau, fortune qui oscille de l’épithalame à l’éloge funèbre, et en explique l’ambivalence.