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Classiques Garnier

Bibliographie

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : Le Livre III d’Amadis de Gaule. Traduit par Nicolas Herberay des Essarts
  • Pages : 375 à 388
  • Collection : Textes de la Renaissance, n° 172
  • Série : Romans de chevalerie de la Renaissance, n° 5
  • Thème CLIL : 3439 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques -- Moderne (<1799)
  • EAN : 9782812441646
  • ISBN : 978-2-8124-4164-6
  • ISSN : 2105-2360
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-8124-4164-6.p.0375
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 05/01/2012
  • Langue : Français
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Bibliographie

Bibliographie relative au livre III d’Amadis de Gaule

Pour la bibliographie générale (textes et études critiques) relative au cycle des Amadis, nous renvoyons à celle qui a été fournie au premier livre des Amadis de Gaule, éd. crit. M. Bideaux, Paris, Champion, 2006, p. 131-1571. Ne sont mentionnés ci-dessous que les ouvrages parus depuis la remise du manuscrit établi pour cette édition, ou présentant un intérêt particulier pour le livre III. L’édition du texte espagnol utilisée par le traducteur est, comme pour le livre I, celle de Rome, 1519. Sans indication de lieu d’édition : Paris. La localisation des exemplaires français a bénéficié du concours précieux de Madame Geneviève Guilleminot-Chrétien, Réserve de la Bibliothèque nationale de France et de Madame Juliette Jestaz, conservatrice des livres et manuscrits à la Bibliothèque de l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris. L’annotation a tiré le plus grand profit de l’édition des quatre premiers livres du roman espagnol établie par Juan Manuel Cacho Blecua (Garci Rodriguez de Montalvo, Amadis de Gaula, Madrid, Catedra, 1991, 2 vol.).

Les éditions françaises du livre III d’Amadis de Gaule : description et localisation

Si l’on excepte l’essai de réécriture dont a fait l’objet le premier livre en 1544, la carrière éditoriale du livre III confirme celle de ses devanciers : une cadence annuelle régulière de publication des originales puis, alors qu’Herberay des Essarts a délaissé l’entreprise sans avoir encore trouvé de successeurs, le souci du consortium d’éditeurs de soutenir l’attention

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du public en lui offrant des réimpressions des premiers in-folios ; dans la décennie 1550-1560, alors qu’une nouvelle génération de traducteurs assure, toujours en grand format, la continuité du cycle français, la mise sur le marché d’in-8o répondant aux besoins d’un lectorat moins aisé ; puis la réunion, dans les Flandres espagnoles, de deux collections in-4o (Plantin-Waesberghe et Sylvius) manifestant que, si les éditeurs parisiens se détournent des Amadis, les lecteurs français n’en font rien. Le dernier surgeon, lyonnais, œuvre de Rigaud et de Didier, témoigne, par l’emploi du format in-16, que la recherche d’une clientèle intéressée par des volumes de petite dimension restait toujours d’actualité2.

Cet intérêt soutenu engendre un corpus respectable : douze éditions sur un espace de trente-cinq années. Mais s’il a provoqué l’empressement des libraires à répondre à la demande, il ne les a pas conduits pour autant à une égale vigilance à l’égard du texte. La plupart de ces rééditions sont paresseuses, indifférentes aux scories présentées par leurs devancières et surtout peu soucieuses de le modifier délibérément pour produire des variantes significatives. Deux exemples seulement : une ligne manquante dès l’édition in-8o de 1550 (chapitre v, variante h) n’est jamais suppléée par les éditions ultérieures ; une bourde présente dans l’édition originale (ch. iii : « porter à sa tante » pour « porter à sa tente ») corrigée en 1547, mais reprise en 1550, doit attendre la dernière édition (1577) pour être rectifiée.

Le choix d’une édition de base ne s’en trouve pas simplifié. Constellée de négligences et de bévues, l’originale de 1542 ne saurait être retenue. Mais sa médiocrité ne l’a pas empêchée d’être suivie assez docilement, dans l’ensemble, dès l’impression du livre in-octavo. Les modifications apportées en 1547 (édition B) révèlent un parti pris sensible de modernisation de la langue et des graphies, même s’il n’est pas constant. Directive du traducteur ou initiative de l’imprimeur ? il est difficile de se prononcer, et cette modernisation des graphies est moins nette dans les derniers chapitres. Les premiers comportent des corrections souvent pertinentes, sans aller jusqu’à la variante stylistique et sans prouver nullement l’intervention d’Herberay. Bonnes ou mauvaises, les modifications introduites par B n’ont guère été conservées après 1548 (sauf par les éditions in-8o de 1548) :

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on préfère alors revenir au texte de 1542. François Didier, à qui l’on doit la dernière publication du livre avant celle-ci, assure son lecteur que le texte a été « reveu, outre les precedentes impressions, et corrigé en une infinité de passages qui estoyent corrompuz ». Il s’en faut de beaucoup : l’examen des variantes en témoigne. On verra encore que B et C sont identiques, que E, F et H présentent beaucoup d’affinités et que le texte des impressions in-8o de 1550 (E) paraît avoir servi de souche à toutes les suivantes, éditions anversoises comprises.

Si l’édition de 1547 a été retenue ici comme texte de base, c’est moins pour ses mérites propres que pour sa position dans la séquence chronologique. Cette année-là, en effet, paraît le dernier volume des Amadis (livre VIII) traduits par Herberay des Essarts, qui se détourne ensuite du cycle amadisien. On ne peut donc tout à fait exclure qu’il en ait revu le texte, même si une telle intervention paraît peu probable. Faute de mieux, a donc été préférée ici la dernière version publiée par l’auteur français alors qu’il était encore engagé dans la traduction du roman espagnol.

Édition A (1542)

Le tiers livre de Amadis de Gaule, contenant les guerres et discordz qui survindrent en la grand Bretaigne, et es environs. À l’occasion du mauvais conseil que receut le Roy Lisuart de Gandandel et Brocadan contre Amadis et les siens. Dont depuis maintz bons Chevaliers d’une part et d’aultre finirent cruellement leurs jours. Paris, 1542

Achevé d’imprimer du 1er décembre 1541 (Sertenas, Janot).

Liminaires : deux pièces de vers de Mathurin Beheu, bailli de Ginaudan et vers grecs de Lascaris.

Exemplaires : BnF Rés. Y2 94 et 106, Microfilm M 14242(3) (Sertenas) et Numm 52934 (Janot) – représentant l’exemplaire BL 12403 h.14 (3)– ; Sorbonne R.ra.125(3) ; Beaux-arts Paris (Rés. Masson 354, Longis) ; BM Lyon Rés. 107713 (Janot) ; Berlin SB ; Bonn UB ; PL Boston ; Budapest, Raday K ; Cambridge Mass ; BU Gand ; HUL ; Kalocsa K ; BN Lisbonne ; BL (Janot, 12403.h.14(3) ; Cambridge Trinity College (Longis) ; SB Münich (P.o. hisp. 4 et P.o. hisp. 1020 q-3) ; Columbia New York ; Oxford TIL, BNC Rome ; ONB Vienne.

Édition B (1547)

Exemplaires : BnF Rés. Y2 118 et 130 ; BnF Numm 5118 et 52935 (Groulleau) ; (Dans l’exemplaire numérisé 5118), imprimé par Groulleau pour Sertenas, qui représente notre texte de base, la page 47 ro est paginée « X », cependant que la page 65 ro réapparaît après la page 65 vo) ; Ars. (Sertenas) Fol. BL.958 Rés. (I,3), relié avec I,1, 1548, Sertenas et I,2, Longis, 1541 ; Chantilly ; Grenoble ; BM Lyon Rés. 157929 ; SB Berlin ; UB Bonn ; Raday K. Budapest ; Harvard ; K. Kalocsa ; BN Lisbonne ; BL (634.l.20.(3) ; SB Munich (2 P.o. hisp.6) ; New York PL ; Oxford ; ONB ;Vienne.

Liminaires : les deux pièces de M. Beheu.

BM Lyon 157929 : la fin du livre imprimé manque, complétée par une copie ms (f. 92 ro -95 vo).

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Édition C (1548)

Paris (Janot, Sertenas, 1548 in-fol. Achevé d’imprimer du 1er décembre 1547 (ex. Vat.). Réimpression à l’identique de l’édition B (Sertenas, 1547) ; L’édition C n’a donc pas été prise en compte lors du relevé des variantes.

Exemplaires : BM Besançon 8661 ; HUB Berlin ; BN Lisbonne ; Rome, Vat. Capponi II,6 ; FSL Washington.

Édition D (1548)

(Groulleau, Sertenas, Longis), Paris, 1548, in-8o, 120 f.

Exemplaires : Beaux-arts Paris, Rés. Masson 230 (l. I à IV) ; BN Lisbonne ; Munich (2 P.o. hisp. 9-3) ; U. Berlin, Dortmund, Hambourg, Weimar, Wolfenbüttel.

H. Vaganay avait noté (« Les éditions in-octavo de l’Amadis en français », Revue hispanique, LXXV, 1929, p. 4) « l’extrême rareté » de la réédition in-8o des huit premiers livres, faite en 1547-1548, rareté « dont nous ne connaissons pas les causes » ; il n’avait « même jamais vu signaler le livre III », dont il inférait la date de 1548, pour sa réimpression dans cette série (I et II sont réimprimés en 1547, IV à VII ayant été réimprimés en 1548).

Privilège pour « les quatre premiers livres, dedans six ans, à compter du jour qu’ilz seront achevez d’imprimer ».

L’édition D suit le texte de B, avec lequel elle présente peu de différences notables.

Édition E (1550)

Groulleau, Longis, Sertenas, 1550, in-8o. Feuillets mal numérotés : 127-128-131-130-131-132 (sans confusion dans le texte)

Exemplaires : BnF Rés. pY2 3148 (3), relié avec l. IV (Groulleau) ; Ars.(Longis) 8oB.29391(2), pièce no 2 d’un recueil factice ; Harvard ; PL Cleveland ; LB Gotha ; BL (Sertenas, 12450.bbb.3 et 1074.c.1.(1) ; Augsbourg (Groulleau) ; Göttingen et Tübingen (Longis).

Deux liminaires de Beheu (avec « les motz gracieulx »).

Édition F (1555)

Le troisiesme livre d’Amadis de Gaule, mis en francoys par le Seigneur des Essars Nicolas de Herberay, Commissaire ordinaire de l’artillerie du Roy, et Lieutenant en icelle, es païs & gouvernement de Picardie, de monsieur de Bris-//sac, Chevalier de l’ordre, grand maistre & Capitaine general d’icelle artillerie. Acuerdo Olvido. Avec privilege du Roy.

Le privilège est daté de Compiègne, le 2 septembre 1554.

Paris (Groulleau, Longis, Sertenas), 1555, in-8o, 168 f.

Exemplaires : BnF NUMM 52936 (Sertenas) ; Ars.(Longis) Rés. 8oB.29391(2) ; Carpentras N 657 (Longis) ; Harvard ; PL Cleveland ; LB Gotha ; BL (Sertenas, 12450.bbb.3 et 1074.c.1.(1) ; Augsbourg (Groulleau) ; Göttingen et Tübingen (Longis).

L’ex. Ars. Longis. est relié à la suite du l. II (Longis, 1555) et paginé I-CLXVIII f.- Liminaires : les deux pièces de Beheu. Table et liminaires sont insérés avant la fin du l. II.

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Édition G (1557)

Le Troisiesme Livre d’Amadis de Gaule, mis en françois par le seigneur des Essars Nicolas de Herberay,

Paris (Groulleau, Longis, Sertenas, 1557), in-8o, 208 fo.

Exemplaires : BnF (Sertenas) Rés. Y1340 ; Ars. (Longis) Rés. 8-BL-29393 (3) ; Rostock (Groulleau).

Liminaires : les deux pièces de Beheu.

Édition H (1560)

Le troisiesme livre d’Amadis de Gaule, mis en françoys par le Seigneur des Essars Nicolas de Herberay, Commissaire ordinaire de l’artillerie du roy, et Lieutenant en icelle, es païs et gouvernement de Picardie, de monsieur de Brissac, Chevalier de l’ordre, grand maistre et capitaine general d’icelle artillerie. Acuerdo Olvido. Paris (Groulleau, Longis et Le Mangnier, Sertenas), 1560, in-8o.

Exemplaires : BnF (Sertenas) Rés. Y1340, Rés. Y6212 (Groulleau), Rés. 132 (Longis-Le Mangnier) ; Florence (BNC) ; BM La Rochelle ; BL ; BN Madrid ; HSAL New York ; Francfort (Groulleau) ; Stuttgart (Groulleau).

Comme les deux précédentes in-8o, cette édition présente les deux pièces liminaires données par Mathurin Beheu en 1542 et 1547.

Selon H. Vaganay (« Les éditions in-octavo de l’Amadis en français », Revue hispanique, LXXV, 1929, p. 30), Groulleau 1550 (éd. E) =Longis-Le Mangnier 1560 (éd. H) « se répondent page à page. Il en est sans doute de même de l’édition de 1555 ». Il n’existe en effet entre ces éditions que d’infimes différences lors des rappels aux changements de page. F (1555, in-8o) présente également un texte très proche des deux précédentes.

Édition I (1561)

Le troisiéme livre d’Amadis de Gaule. Mis en François par le Seigneur des Essars Nicolas de Herberay, Commissaire ordinaire de l’artillerie du Roi, et Lieutenant en icelle, és pais et gouvernement de Picardie, de Monsieur de Brissac, Chevalier de l’ordre, grand Maitre et Capitaine general d’icelle artillerie. Acuerdo Olvido. À Anvers, Chés Jean Waesberghe, sus le Cemetiere notre Dame, à l’Ecu de Flandres, sus le Marché des Toiles. MDLXI. Avec Privilege du Roi. Imprimé pour Plantin.

Exemplaires : BnF Rés. 630 et Numm 54556(3) ; Sorbonne R.ra.402(I)8o ; Münich P.o. hisp. 3 ; Stuttgart ; Chicago V 1565-A-458 ; BL 12450.d.22(3) ; Cambridge, Mass.

Édition J (1573)

Le troisieme livre d’Amadis de Gaule : Mis en François par le Seigneur des Essars Nicolas de Herberay, Commissaire ordinaire de l’artillerie du Roy, et Lieutenant en icelle, es païs et gouvernement de Picardie, de Monsieur de Brissac, Chevalier de l’ordre, grand maistre et capitaine general d’icelle artillerie. ACUERDO OLVIDO. En Anvers, par Guillaume Silvius, imprimeur du Roy. L’an M.D.LXXIII.

Anvers, Sylvius, 1573, in-4o, deux col.

Exemplaires : Ars. Rés.8oB.29383(II,1), relié avec l. IV ; BL C.97.b.20(3).

Dans l’ex. Ars., une note mss indique qu’il est identique à 1561 Plantin-Waesberghe in-4o

Liminaires : les deux pièces de M. Beheu.

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Édition K (1575)

Lyon, B. Rigaud et Jean d’Ogerolle, 1575, in-16, 456 p., table à la fin.

Exemplaires : BnF Rés.Y2 1415 (J. d’Ogerolle) ; BL (245.s.3) ; Münich (P.o. Hisp. 15).

Édition L (1577)

LE TROISIESME LIVRE D’AMADIS DE GAULE, Mis en François par le Seigneur des Essars Nicolas de Herberay, Commissaire ordinaire de l’artillerie du Roy, & Lieutenant en icelle, és païs et gouvernement de Picardie, de Monsieur de Brissac, Chevalier de l’ordre, grand maistre et Capitaine general d’icelle artillerie. Reveu, outre les precedentes impressions, et corrigé en une infinité de passages qui estoyent corrompuz. ACUERDO OLVIDO. Lyon, François Didier, 1577, in-16, 215 f.

Exemplaires : BnF Rés.Y2 6213, Rés. Y2 1364 et Numm 52937 (=Cambridge, Mass.) ; Sorbonne R.ra.9(3) in-24o ; Versailles A 12o E 40 B ; Berlin ; BL(1075.a.7 et G. 16675), Dresde ; Munich P.o. hisp. 1020 q-4 ; Chicago, Cambridge UL.

Lacune et erreur de pagination dans le chap. xi de l’exemplaire numérisé de la BnF.

Études critiques

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Le roman de chevalerie de la Renaissance :
complément bibliographique

La liste d’ouvrages et articles ci-dessous est destinée à compléter la bibliographie contenue dans l’édition critique du premier livre d’Amadis de Gaule (Champion, 2006, p. 131-157) ; elle intègre des informations fournies par Véronique Duché et Jean-Claude Arnould dans leur édition du Cinqiesme Livre d’Amadis de Gaule (Classiques Garnier, 2009, p. 507-510).

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1 Pour les études non mentionnées dans cette bibliographie ou parues depuis 2002, voir infra, p. 377-384.

2 Un dizain liminaire de Jean Maugis pour la réédition du premier livre en in-8o (1548) avait fourni une claire expression de ce souci d’offrir « Amadis en […] petit volume » aux « Dames de cœur humain » : voir ce texte dans Amadis de Gaule, éd. citée, l. I, p. 51, n. 3.