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Classiques Garnier

Table des matières

547

Table des matières

Entrée de jeu   9

Au commencement était le Verbe…   9

Jeu verbal. Une notion ouverte   11

Jarry, Ionesco, Tardieu, Novarina.

Une harmonie de quatre sons   14

Du livre à lespace. Les jeux et les enjeux   17

PREMIÈRE PARTIE

LE JEU VERBAL ET SA RELATION AU THÉÂTRE

Pour une conceptualisation du jeu verbal au théâtre   23

Le jeu et le langage en jeu   23

La gratuité créative et lillusion critique   23

Le langage en jeu ou la « dysfonction du langage »   26

Deux fondements du jeu de langage :
la plaisanterie et le divertissement   29

Le jeu verbal et le théâtre   34

Loralité au théâtre   34

Lillusion dramatique comme contrainte
du jeu verbal « traditionnel »   38

Le jeu verbal dans le théâtre
comique français davant le XXe siècle   43

De Molière à Feydeau.

Trois comiques de mots dans le théâtre dramatique   43

548

Le barbarisme et le comique de caractère chez Molière   44

Le mot desprit et le comique didée chez Marivaux    47

Le jeu de mots et le comique de situation chez Feydeau    49

La « fantaisie verbale » dans le théâtre comique médiéval    54

Le jargon    54

Lincohérence systématique    56

La répétition et lénumération    58

Le jeu verbal et le théâtre
non dramatique du XXe siècle    65

Un théâtre « non dramatique »    65

La modernité du théâtre :
du réel dramatique au réel théâtral    65

Du dialogue à la parole :
la théâtralité sous le signe du rythme    73

Le jeu verbal et sa relation à un théâtre autonome    79

Lautonomie du jeu verbal et le « nouveau comique »    79

De la connivence dramatique à la connivence critique    82

La double attitude envers le langage
et le double mouvement du théâtre    85

Trois axes du jeu verbal dans le théâtre non dramatique    88

Jeux sur létrangeté : barbarisme et solécisme    88

Mots marginaux et mot inventés    88

Dérèglements morphosyntaxiques    93

Jeux sur lincohérence : le carnavalesque et le nonsense    95

Le carnavalesque ou le détournement stylistique    95

Le nonsense ou le détournement sémantique    97

Jeux sur le vide : silence et cacophonie   102

Le silence ou le vide structural   102

La cacophonie ou le vide sémantique   105

549

DEUXIÈME PARTIE

LE JEU VERBAL ET LE THÉÂTRE DU VERBE

DE JARRY À NOVARINA

Alfred Jarry et la pataphysique du langage   111

La pataphysique.

De la quête de léternité à lunion des contraires   111

La pataphysique : un esprit élitiste-potache   111

Léternité comme condition idéale
dun théâtre nouveau   119

Achronie   121

« Nulle Part »   122

Personnage éternel : le grotesque et le fantastique   124

Lunion des contraires   129

Les amusements verbaux pour un « empire pataphysique »   135

Jeux sur la dynamique des mots   142

Archaïsmes, vulgarismes et termes spécifiques   142

Néologismes par détournement   145

Néologismes par construction   151

Le souci du système   156

Jeux sur le dérapage stylistique,
ou lunion des registres contraires   158

Noblesse et trivialité   158

Gravité et enfantillage   161

Chanter le sinistre   165

Jeux sur le glissement sémantique,
ou lunion des signifiés éloignés   169

Jeux de mots à travers le prisme ubuesque   169

Locutions revisitées par une vision potache   175

Inconséquence ou la logique dun pataphysicien   180

Des amusements aux alertes. Un ludique dangereux   184

La naissance du mythe dUbu   185

550

La « marionnette incarnée »
pour un être impersonnel   185

Un classique né du scandale   187

Les Ubus sur la scène française
des années 1950 à nos jours   190

Années 1950-1970 : le mythe restitué   192

Années 1970-1990 : le mythe démythifié   197

Depuis 2000 : retour du mythe   203

La dynamique du langage ubuesque
sur les scènes des trois périodes   209

Jean-Christophe Averty et la fantaisie verbale
transposée au petit écran   211

Antoine Vitez et un Ubu parlant « adulte »   214

Jean-Pierre Vincent et la « distanciation »
vis-à-vis du langage   217

Eugène Ionesco et Jean Tardieu

Jouer avec le nonsense   223

La dramaturgie du nonsense   224

Pour un théâtre « abstrait »   224

Lesprit du temps   225

Un théâtre anti-réaliste   230

Une théâtralité verbale   235

Le nonsense ou le comique dincongruité   238

La divergence   242

Ionesco : le théâtre de dérision et un nonsense dérisoire   244

Simposer en sopposant   244

Le mécanique, ou la caricature des conformismes   247

Linsolite, ou la subversion des conformismes   252

Une tragédie du langage   257

Tardieu : le théâtre du vide et un nonsense poétique   259

Un laboratoire de formes
en quête de « linépuisable Vide »   259

Le ludique   265

Le primitif   267

Lonirique   271

Une comédie du langage   273

551

La « tragédie du langage » et la « comédie du langage »   274

Ionesco et son anti-langage   275

Le mécanique des mots   275

Linsolite des mots   292

Tardieu et son infra-langage   313

Le ludique des mots ou le jeu dénigme   313

Le primitif des mots ou le son avant le sens   325

Lonirique des mots ou la somniloquie   336

La dérision sans fin et le laboratoire ouvert   346

« Et la cantatrice chauve ? » : du nonsense
dérisoire au nonsense tourné en dérision   346

Nicolas Bataille et la genèse dun patrimoine   347

Poursuivre la dérision
en dépoussiérant l« institution »   354

Du nonsense dérisoire au nonsense
tourné en dérision   365

Le laboratoire ouvert pour un théâtre abstrait   374

Polieri ou le visionnaire dun théâtre de demain   376

Le jeu verbal pour un théâtre de la voix   386

Valère Novarina et la logodynamique au théâtre   393

Le « drame du langage » par la « voie négative »   394

Négation de lhomme ?   394

Vide-Dieu, ou la divinité dun langage inhumanisé   407

La « voie négative »
et la nouvelle dimension du jeu verbal   419

Insurrection   421

Résurrection   428

Nouvelle perspective du jeu verbal   432

Une « écriture à trou » pour la logodynamique    436

Galimatias ou une langue insignifiante   438

Négation de la désignation   438

Négation de la structure   448

Négation du sens   453

Verbigération ou une langue génératrice   462

De lécho au psittacisme   463

552

Liste ou litanie   470

Logorrhée   475

Le verbe absolu dans un théâtre de personne   481

Le metteur en scène « invisible » devant le texte absolu   484

Une mise en scène « à trou »   485

Lespace comme support du « drame du langage »   488

Lacteur ou le verbe incarné   490

Un corps vide   491

Clown et trapéziste :
un sacrifice comique et libérateur   494

Créateur de la parole et de lhomme nouveau   499

Le spectateur du théâtre des oreilles   502

Sortie du jeu   505

Jeu négatif   505

Jeu infini   513

Bibliographie   523

Index des noms   543