Résumé : Cet article s’intéresse à l'emploi du vernaculaire comme facteur d'unité et marqueur identitaire d'une communauté. Un emploi qui rentre dans le discours de légitimation des acteurs de la déchirure religieuse face au rôle d'enseignement qu'ils entendent endosser et à leur revendication d'une Église « nouvelle ». Les pratiques de transmission étudiées à partir de l’exemple des index interrogent l’accès du populaire au texte biblique, signe du renouveau évangélique et de la décléricalisation de l’enseignement.