Résumé : Le comte de Charlus a laissé un manuscrit remarquable par son statut de chainon manquant entre la « littérature grise » des journaux de bord et l’écriture du journal personnel, si ce n’est intime. D’où une errance tant formelle que thématique, le récit de voyage proposé se substituant à la description de la société des officiers de marine. La violence de cette peinture pose d’autant plus question que le texte est adressé au « plus tendre des pères », qui est également le ministre de la Marine…