Résumé : À la fin du xixe siècle, des médecins louent les peintres de génie qui ont su représenter les pathologies dans leurs œuvres. Mais cet éloge est surtout adressé à l’art du passé, tandis que les discours qui portent sur les peintres modernes soulignent surtout leurs pathologies. Le peintre de génie, alors, serait-il condamné à n’être jamais de son temps ?