Résumé : L’œuvre riche et plurielle d’Aby Warburg autorise toutes sortes d’hybridations. Dans le cas de son rapprochement avec la biologie, elle permet de mettre en avant une mutation dans la notion de génie, qui justifie le déplacement de ses fonctions essentielles vers les images. L’enjeu sera de montrer que cette migration des théories du génie implique la mise en place d’une génétique iconique, capable de reconnaître cette énergie créatrice au sein même des images.