Résumé : Dans le prolongement de l’article de Corinne Bigot, celui-ci étudie trois autres nouvelles d’Alice Munro et s’interroge sur les enjeux de la désignation de ces nouvelles longues comme novellas, en rapport avec leur caractère rétrospectif. Il s’avère ainsi que la longueur se prête favorablement à un récit dans lequel s’opère une prise de recul permettant une réflexion sur la vie, le bonheur, le vieillissement et la mort – et, comme toujours chez Munro, les rapports entre hommes et femmes.