Résumé : Le cas d’Anvers démontre que les règles sur les garanties et sûretés doivent être étudiées d’un point de vue large, en raison des interactions entre les normes concernant la saisie, l’expropriation et l’insolvabilité, et celles portant sur les gages et hypothèques légaux. Les hésitations des échevins anversois concernant la priorité des dettes mettent notamment en évidence que les législateurs urbains devaient créer des règles en matières commerciales, et non les copier de la pratique marchande.