Résumé : À ceux qui ne veulent ou ne peuvent travailler, l’époque moderne offre une solution alternative : acheter des rentes. Le roi désire préserver ses sujets et l’économie du royaume, des dangers de ce marché, qui flirte avec l’usure et détourne d’utiles capitaux de l’économie réelle, mais le monarque ne peut lui-même ignorer cet instrument de crédit. On assiste donc à un périlleux jeu d’équilibriste entre mesures limitatives et mesures incitatives qui aboutit finalement au développement incontrôlé des rentes.