Résumé : L’idée d’analogie commande la représentation de la nature à la Renaissance. C’est par elle que le monde, tout en étant infiniment varié, peut rester un. Par elle, les divers cantons de la nature se reflètent l’un l’autre et se répondent. Résumé du tout, l’homme-microcosme, mundi copula, assure, entretient et accomplit activement son unité.