Résumé : Cet article s’intéresse à une catégorie particulière de réécriture du Code civil : les commentaires, réputés ternes et sans envergure, qui en ont été réalisés par les enseignants de « l’École de l’Exégèse ». L’analyse montre dans quelle mesure ces réécritures juridiques, fondées sur une lecture approfondie du Code, en éclairent l’inconstance stylistique et invitent à déconstruire un mythe linguistique.