Résumé : Cet article propose une réflexion sur la diffusion parallèle de deux versions complémentaires d’une généalogie de rois d’Alfonso de Cartagena. L’auteur avait rédigé son texte en latin ; huit ans plus tard, deux de ses amis en proposent une version castillane accompagnée de gloses. Si le lectorat visé n’est plus le même, la conception de l’œuvre non plus : l’évêque voulait combiner texte et représentation graphique des différents souverains. Que reste-t-il de ce dessein dans la traduction ?